Quoi d'neuf en
2004 ?
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Le 30 décembre 2004 | Autrefois, chaque canton avait son chasseur de vipère. Certains pouvaient en ramasser 1000 par an. Voici un conte d'André Besson, extrait d'un numéro du "Jura Français" de décembre 1970, qui raconte l'histoire de Ticko, l'un d'entre eux, et l'amusante manière par laquelle il réussi à se faire payer son dû. A lire dans le chapitre "Activités d'antan", à la page "Chasseur de vipères". |
Le 29 décembre 2004 | L'utilisation du système métrique n'a été obligatoire qu'à partir de 1840 (loi du 4 juillet 1837). Jusqu'à cette date, les mesures utilisées étaient diverses et elles pouvaient varier d'un lieu à un autre même au sein d'un même canton. Voici, extraite d'un almanach de revendications de 1736 (chez Claude Joseph Daclin, imprimeur du Roy avec privilège du Roy, à Besançon) une description des anciennes mesures utilisées en Franche Comté à cette période. A lire dans le chapitre "Activités d'antan", la page "Anciennes mesures ". |
Le 20 décembre 2004 | |
Le 16 décembre 2004 | Les rouliers n'étaient pas tous du Grandvaux. Ceux de Foncine ne sont pas entrés dans la légende comme leurs voisins, et pourtant ils jouaient un rôle important dans la vie économique de la région. Un texte, de Madame A. Monnier, tiré du "Gaulois" de juin 1974, nous renseigne sur ces voituriers de Foncine, et sur leurs relations particulières qu'ils entretenaient avec leurs clients genevois. A lire dans le chapitre "Foncine le Bas", sous le titre : "Les rouliers de Foncine". |
Le 13 décembre 2004 | Dans le chapitre "Activités
d'antan", la page "Patois"
est complétée d'une description de la "Langue
paysanne", texte de Charles Steib, tiré d'un numéro
de l'Almanach du "Petit Comtois" de 1941. |
Le 10 décembre 2004 | Une autre industrie nomade du pays
est celle des peigneurs de chanvre, plus connue en Franche-Comté
sous le nom de "pignards" ou "foirloux".
Cultivateurs pendant neuf mois de l'année, leur blé ou leur
orge une fois récoltés et battus, ils partent vers la fin
de septembre et reviennent presque invariablement pour les fêtes
de Noël. A lire dans le chapitre "Activités
d'antan", à la page "Les
Pignards ". |
Le 4 décembre 2004 | Voici un autre château,
plus célèbre sans doute que Château-Vilain, et encore
debout aujourd'hui. D'illustres personnages y ont séjourné,
souvent de force, comme Mirabeau ou Toussaint Louverture. Berthe de Joux
a pris son nom et a laissé autour de ses murs une triste légende.
Plus tard, en 1871, l'armée française en déroute
vers la suisse lui doit son salut. Voici un texte sur le château
de Joux, gardien du col de la Cluse. A lire dans le chapitre : "Les
Planches", à la page de "Château-Vilain"
sous le titre "Château
de Joux". |
Le 28 novembre 2004 | Henri Bouchot, avec le style poétique
qu'on lui connait, nous fait une autre description de Château-Vilain,
de la vallée qu'il surplombe "embrouissaillée de
bois argentés de brouillards" et de ses célèbres
voisines, les "trois commères". A lire
dans le chapitre : "Les
Planches", sous le titre "Château-Vilain"
(description d'Henri Bouchot). |
Le 20 novembre 2004 | Charles Thevenin, dans son article
paru dans le Progrès du dimanche 24 octobre 2004, promène
ses lecteurs dans les cernées du Mont Noir. Il les emmène
à la Queulette, la Cernée, sur les Gits et jusqu'au Creux
Maldru et la grotte à Pira à du Bou. A lire dans
le chapitre "Foncine
le Bas", au chapitre "Les
hameaux", sous le titre "Les
cernées du Mont Noir" |
Le 17 novembre 2004 | Dans le chapitre "Généalogie", rafraîchissement de la base de données généalogique (le nombre d' individus passe de 9000 à 9500). |
Le 16 novembre 2004 | Château-Vilain fut malheureusement
démoli en 1810 pour reconstruire les usines de Bourg de Sirod incendiées.
De ses ruines un tronçon de murailles hérissées de
ronces demeure encore debout, désigné sous le nom de Tour
de Vienne. C'est d'ici que le sire de Château-Vilain faisait
suspendre son beau-frère Guy de Vienne par les pieds et le faisait
tournoyer au dessus du précipice. Jean-Baptiste MUNIER, dans ses
"Recherches historiques sur les Foncines" nous raconte
l'histoire de cette forteresse, "une des plus formidables de
la province", dont on trouve les première traces en 1186.
A lire dans le chapitre : "Les
Planches", sous le titre "Château-Vilain".
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Le 27 octobre 2004 | Henri Bouchot, dans son livre
sur la Franche-Comté (1890), nous décrit l'orage dont il
fut témoin un jour qu'il était en voyage du côté
de Saint-Claude. Il nous raconte dans un style poétique, comment
le tonnerre "a sa manière spéciale de parler aux
montagnes". A lire dans le chapitre "Activités
d'antan", à la page "Climat",
sous le titre "Orage". |
Le 25 octobre 2004 | Au chapitre "Chapelle
des Bois", toujours extrait des "Recherches sur Chapelle
des Bois", un petit inventaire de la faune de la région
entre les années 1820 et 1890. A lire à la page "Faune"
de ce village. |
Le 22 octobre 2004 | Vous serez peut-être surpris d'apprendre que certains mots du patois jurassien ont une origine grecque. Selon l'abbé Léon Bourgeois Moine, le patois a joué le rôle de langue intermédiaire entre les langues mortes, latin ou grec, et le français. Voici, extraite une fois encore de ses "Recherches sur Chapelle des Bois" (1894), une brève présentation du patois de la région de Chapelle des Bois. A lire dans le chapitre "Activités d'antan", à la page "Patois". |
Le 20 octobre 2004 | Plusieurs textes de ce site
font mention de monnaies anciennes comme la livre tournois. Une
autre portait le joli nom de parpaïolle, qui donnerait presque
envie de payer ses impôts en chantant. L'abbé BERTHET dans
son "Histoire des Rousses", publiée en 1988 par
la Société d'Émulation du Jura, donne quelques indications
qui nous permettent d'avoir une idée de la complexité du
système monétaire de l'époque, en particulier en
Franche-Comté, où, jusqu'au rattachement au royaume de France,
cohabitaient deux systèmes : la monnaie estevenante et la monnaie
comtale. A lire dans le chapitre "Activités
d'antan", à la page "Monnaie". |
Le 2 octobre 2004 | Deux descriptions des hivers d'autrefois
: la première extraite d'un manuel scolaire de 1950, écrit
par Antoine Lyonnet, la seconde, plus ancienne, encore une fois tirée
des "Recherches sur Chapelle des Bois" de l'Abbé
Léon Bourgeois Moine. Les deux nous montrent à quoi ressemblaient
ces sept mois durant lesquels les griffes blanches de l'hiver enserraient
cruellement le pays. A lire dans le chapitre "Activités
d'antan", à la page "Climat". |
Le 9 septembre 2004 | Une autre sorte de contrebande que
celle des marchandises existait dans la région de Chapelle des
Bois. Dans la première, on avait à redouter les gardes forestiers
du Canton de Berne, ou de celui de Vaud, dans la seconde, les personnes
à éviter étaient les douaniers français. La
contrebande du bois, se justifiait pour ceux qui l'a pratiquaient, par
le fait que la Suisse s'était emparé de terrains et forêts
au préjudice de certaines localités du canton de Mouthe.
A lire dans le chapitre "Activités
d'antan" , à la page "Contrebande",
sous le titre "La
contrebande du bois" |
Le 3 septembre 2004 | Un nouveau récit de contrebandiers,
à lire dans le chapitre "Activités
d'antan", à la page "Contrebande",
sous le titre "Les contrebandiers"
(de Roger Lombard). |
Le 29 août 2004 | Les mémoires du Général
Vionnet, Vicomte de Maringoné, ex commandant des Grenadiers de
la Vieille-Garde, sont préfacées en 1899, par Rodolphe Vagnair
qui retrace l'itinéraire de celui qui commenca sa vie dans une
mine de fer, avant de la poursuivre comme instituteur à Métabief,
puis sur tous les champs de bataille de la première république
et de l'Empire. Cette préface
vient compléter la page déjà existante sur le Général
Vionnet, dans le chapitre "Généalogie". |
Le 25 août 2004 | Lors d'une réunion de la Société des Beaux-Arts, le chanoine Paul Brune (1862-1920), conservateur des antiquités et objets d'art du Jura, fait une présentation de l'église de la Chaux et de ses fondateurs, Guillaume et Charles de Poupet. Ce texte vient compléter celui du Docteur Chambelland, déjà en ligne. A lire dans "Chaux des Crotenay", au chapitre "L'église", sous le titre "Description du chanoine Brune (les Poupet et l'église)". |
Le 22 août 2004 | Dans son livre "Jura
médiéval" Luc Duboz met en scène un personnage
qui se déplace de village en village et retranscrit ses réflexions
sur ce qu'il observe autour de lui. Lors de son passage au village de
la Chaux des Crotenay, il découvre un manuscrit qui correspond
à l'acte d'affranchissement des communautés de Chaux des
Crotenay et d'Entre deux Monts. A lire dans "Chaux
des Crotenay", au chapitre "Les
seigneurs", sous le titre "Chaux
des Crotenay et Entre deux Monts, "libres" depuis 1294". |
Le 17 août 2004 | Epipactis des marais, calamagrostis
raide, primevère farineuse, cresson de cheval, ... Marinette Toussaint
a fait un bien joli inventaire de toutes les fleurs que l'on peut trouver
sur les rives du Lac à la Dame. Elle nous fait découvrir
ce microcosme riche et fragile. Sur la même page on pourra lire
deux légendes sur l'origine de ce lac. On doit l'une d'entre elle
à Rabelais. A lire dans "Foncine
le Bas", au chapitre "Les
hameaux", sous le titre "Lac
à la Dame (Flore, légende et origine)" |
Le 13 août 2004 | Lors d'une visite à Entre
deux Monts, j'ai pu enfin découvrir les restes du château
de la folie. J'ai inséré ici les quelques photos que j'ai
pu faire de ces vieux murs. Et surtout un texte imaginaire de Luc Duboz,
tiré de son livre "Jura Médiéval",
qui vient ajouter une nouvelle légende à celles qui existaient
déjà autour de ce lieu mystérieux. A lire dans "Entre
deux Monts", à la page "Le
Châtelet", au chapitre "Le Château de
la folie" sous le titre "Autre
folie, autre légende". |
Le 29 juillet 2004 | Jean-Baptiste CATTIN repose
dans l'église de Fort du Plasne. Ce fut un des premiers maîtres
horlogeurs. Il permit à Fort du Plasne, bien avant Morez, d'être
à l'origine de l'industrie horlogère jurassienne. Cet extrait
de l'Histoire du Grandvaux de l'abbé Luc Maillet-Guy, est
à lire dans le chapitre "Foncine
le Bas" à la page "les
horlogeurs de Foncine". |
Le 27 juillet 2004 | Napoléon a laissé
son nom à de nombreuses routes et fontaines. On trouve sa trace
également dans nos villages. L'ancien Hôtel de l'Oranger
des Planches en Montagne, qui existait encore en 1936 et que tenait Esther
Guy, lui doit son nom. Cet extrait du Progrès du 12 juillet 2004
est à lire dans le chapitre "Les
Planches", sous le titre "Sur
les traces de Napoléon". |
Le 23 juillet 2004 | Selon le docteur René Chambelland,
Catherine de Bruges serait inhumée dans l'église de la Chaux
des Crotenay, devant l'autel. Ce ne sont pas seulement ses titres de Princesse
de Steenhuyse, Dame de La Gruthuse, Dame de Famechon, Baronne de Montmirail
et j'en passe, qui l'a rendent intéressante, mais un lien de parenté
avec un personnage illustre, connu principalement pour ses vérités
légendaires. A lire dans le chapitre "Chaux
des Crotenay" sous le titre "de
La Palice à la Chaux des Crotenay". |
Le 15 juillet 2004 | La guerre de 1870 ne s'est terminée,
ni le 4 septembre 1870 lorsque Napoléon III fut fait prisonnier
à Sedan, ni le 28 janvier lorsque la capitulation a été
signée à Paris, mais chez nous, au bas des Gorges de Malvaux,
le 30 janvier 1871. Cette nouvelle page de Charles THEVENIN vient compléter
celles déjà existantes sur cette période. A lire
dans le chapitre "les
Planches", sous le titre "28,
29 janvier 1871". |
Le 11 juillet 2004 | Ajout d'un nouveau chapitre, baptisé
"Itinéraires".
Vous y découvrirez 150 photos sur une première page consacrée
à un voyage Champagnole - lac de Come, via la Suisse et
le canton des Grisons. A voir dans le chapitre "Itinéraires",
sous le titre "vers
Tremezzo". |
Le 4 juin 2004 | |
Le 4 juin 2004 | Morillon est une petite plaine que les automobilistes, sortant d'une gorge de la Lemme, se hâtent de traverser avant d'aborder une autre gorge de la Lemme. Les gens du pays connaissent les sentiers et les chemins de la Chèvre à la côte Coulon, de la Vie de la Serre à la Culotte. Mais qui sait ce qui existe dessous, s'il n'a pas lu l'article de Charles THEVENIN paru fin 2003 dans le Progrès au sujet de la faille X ? A lire dans le chapitre "Entre deux Monts", à la page "Morillon, portes du Haut-Jura", sous le titre "Les dessous de Morillon". |
Le 27 mai 2004 | |
Le 26 mai 2004 | Avant 1674, toute fille de Chatelblanc
devait demander l'autorisation au seigneur pour se marier ailleurs. C'est
lorsque Louis XIV conquit la Franche-Comté que cette contrainte
fut abolie. Avec les mariages et les baptêmes, les enterrements
étaient les seuls événements autour desquels se retrouvaient
les familles. Dans ses "Recherches sur Chapelle des Bois",
l'abbé Léon BOURGEOIS-MOINE nous montre que les
funérailles asseptisées d'aujourd'hui n'ont rien à
voir avec les cérémonies d'antan et que ... l'on savait
mourir en ce temps là ... A lire dans le chapitre "Activités
d'antan" au chapitre "Mariages
et Funérailles". |
Le 7 mai 2004 | Dans le chapitre "Généalogie", ajout d'une page sur l'origine de certains noms. |
Le 4 mai 2004 | La page sur "L'habitat
et l'habillement", dans le chapitre "Activités
d'antan" est complétée d'un chapitre sur le
mobilier. |
Le 11 avril 2004 | Le dernier chapitre des "Recherches
historiques sur les Foncines" de J.B. MUNIER, est intitulé
"La Révolution". L'auteur y expose, dans l'ordre
chronologique, les évènements survenus dans la nation et
dans nos villages durant cette période. Il s'attarde sur quelques
cas particuliers : l'aventure, en 1793, de quatre des plus hautes
autorités du Jura ; la vie du père Claude Ignace PERRENET,
foncinier et religieux; la destruction de Château-Vilain qu'avait
épargné Louis XIX et que la Révolution a condamné;
la querelle avec "l'agent patriote" chargé de
remettre dans le droit chemin les citoyens de Chaux Neuve, qui venait
chasser les suspects jusqu'à Foncine. A lire dans le chapitre "Foncine",
sous le titre "Révolution" |
Le 10 avril 2004 | L'abbé Léon BOURGEOIS-MOINE,
toujours dans ses "Recherches sur Chapelle des Bois",
nous décrit l'habitat de nos ancêtres. A cette époque,
les pièces de la maison s'appelaient Nouva (corridor), Etta
(chambre des époux) ou Afu (pièce principale). Il
décrit plus loin l'évolution de l'habillement, et là
encore on découvre ce qu'étaient les pannes à
maus, goeudets, roulières, ratines ou
encore ce paletôt surnommé, sans doute à cause de
sa longueur, "l'incroyable". A lire dans "Activités
d'antan", sous le titre "Habitat".
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Le 18 mars 2004 | Farfadets, lutins, dames blanches
ou vertes, loups-garous ou encore basilic (croisement d'un coq et d'un
crapaud) autant de superstitions et légendes qui ont pris facilement
racines dans les forêts profondes de nos montagnes. L'abbé
Léon BOURGEOIS-MOINE, dans ses "Recherches sur Chapelle
des Bois", en 1894, nous parle de ces êtres fantastiques
qui ont peuplé les imaginations. On y apprend également
que les fromagers étaient considérés comme des sorciers,
ce qui les préservait des vols et autres malversations. A lire
dans le chapitre "Activités
d'antan", sous le titre : "Superstitions". |
Le 15 mars 2004 | L'abbé Léon BOURGEOIS-MOINE
nous explique qui était "Pierre à du Bourg"
qui donna son nom à cette caverne proche de la Norbière.
On retrouve la trace d'un de ses exploits, en 1773, lorsqu'il conduit
à Morez, 7 louveteaux vivants qu'il avaient capturés au
pied d'un sapin. Voici ce texte extrait des "Recherches sur Chapelle
des Bois". A lire dans le chapitre "Foncine
le Bas", à la page "Combe
David", sous le titre "Grotte
de Pierre à du Bourg" |
Le 11 mars 2004 | Charles THEVENIN, dans le Progrès
du 18 janvier 2004, nous parle de cette richesse qu'était le sel
à une époque où l'on construisait pour son commerce,
des routes et entrepôts gardés. La Suisse le préférait
à celui d'Autriche ou d'Allemagne. Objet de toutes les convoitises,
et symbole du pouvoir royal, il fut naturellement la cible de Mandrin.
Charles THEVENIN nous montre dans son article, les traces encore visibles,
routes où "magasins" d'une époque où le
sel comtois voyageait dans les montagnes. A lire dans le chapitre "Routes
et Chemins", à la page "Chemins
du sel" sous le titre "Le
sel comtois". |
Le 4 mars 2004 | Qui ne s'est jamais plaint au moins
une fois, de la lenteur du courrier ? Ce n'est rien à côté
d'hier. Voici un texte assez court, qui explique de quelle manière
la distribution des dépêches commenca a avoir lieu quotidiennement
à Chapelle des Bois en 1840. A lire dans le chapitre : "Activités
d'antan", à la page "le
facteur". |
Le 29 février 2004 | Charles THEVENIN, dans un article
paru en novembre 2003 dans le Progrès, revient sur les origines
du Chatelet, ancienne forteresse qui abritait aux pieds de ses murailles
un village, qu'on identifie en 1463 et dont six maisons subsistaient encore
en 1763. En 1837, le projet fou de Claude François FUMEY, personnage
taciturne et solitaire, donna à l'endroit une réputation
sulfureuse. Le Château de la Folie et son propriétaire
semblent bel et bien avoir été marqués par une étrange
malédiction. Cet article vient compléter le paragraphe sur
le Château de la Folie, dans la page Châtelet,
au chapitre Entre
deux Monts,à lire sous le titre "la
malédiction du grand rocher". |
Le 26 février 2004 | En 1794, le gouvernement avait
ordonné qu'on fasse disparaître "tous les signes
extérieurs du fanatisme, existants sur les clochers et les grandes
routes". Cet ordre n'avait pas été entièrement
exécuté à Chapelle des Bois. En 1798, JOUFFROY, chargé
de cette mission pour le canton de Mouthe, constate qu'on relève
les croix malgré ses défenses réitérées.
Il va tenter de faire appliquer sa décision mais des habitantes
de Chapelle vont l'en empêcher. A lire sous le titre des
femmes battantes dans le chapitre sur Chapelle
des Bois. |
Le 20 février 2004 | Dans ses "Recherches
sur Chapelle des Bois", en 1894, l'abbé Léon BOURGEOIS-MOINE
consacre un chapitre à la guerre de 1870, et à la manière
dont ces événements furent vécus par la population
de Chapelle des Bois. Un personnage est mis en relief dans ce récit.
Son nom semble tout droit sortit d'un roman tout comme quelques-unes de
ses aventures. Découvrez qui était Télesphore
BOURGEOIS dans le chapitre sur Chapelle
des Bois. |
Le 12 février 2004 | Dans ses "Recherches
sur Chapelle des Bois", en 1894, l'abbé Léon BOURGEOIS-MOINE
décrit la manière dont ont été entrepris,
à partir de 1804, les travaux de construction des premiers chemins
qui reliaient Chapelle des Bois aux deux Foncines. A lire dans "Routes
et Chemins" à la page "1804,
premiers chemins". |
Le 10 février 2004 | Rafraîchissement
de la base
de données généalogique (le nombre d' individus
passe de 8500 à 9000) |
Le 9 février 2004 | Nicolas VERNOT termine son étude
sur le "Sapin
dans les armoiries comtoises". Cette troisième et
dernière partie intitulée "Le
sapin à l"assaut du massif jurassien" est parue
en novembre 2003 dans le numéro 69 de la Racontote (25210 Mont
de Laval). A lire dans le chapitre "Etudes". |
Le 8 février 2004 | La Langouette, le "bout
du monde", les gorges de Malvaux ou celles des Côtes
Chaudes, ce sont les endroits que la Saine a fabriqués au long
de son parcours. Il y en a un autre dont le nom évocateur aura
habité bien des rêves d' enfants. Un endroit où l'
eau prisonnière se transforme certains jours en tourbillon infernal
pour user la roche et devenir "le
Creux des Joyaux". A lire dans la page de la "Saine"
au chapitre "Rivières". |
Le 4 février 2004 | Au XVème siècle, un
trésor fut transporté à dos de mulet non loin de
Foncine. Une autre fois, une impératrice foula les mêmes
chemins avant d'être saisie des douleurs de l'enfantement et venir
accoucher au Château de la Chaux des Crotenay. Le chemin de Nozeroy
à Saint-Claude passait par Foncine, et nombreux sont les illustres
personnages qui l'ont emprunté. A lire dans "Routes
et chemins" sous le titre "Nobles
voyageurs". |
Le 3 février 2004 | Le hameau de la Sange Renaud occupait
sans doute une place importante à l'époque où l'axe
principal qui reliait les Planches à Foncine, passait à
cet endroit. Le bâtiment qui porte ce nom est un des plus anciens
de Foncine. Il est en train de renaître aujourd'hui. A lire dans
"Foncine"
au chapitre les "Hameaux
de Foncine le Bas". |
Le 7 janvier 2004 | On retrouve à Ivry sur
seine, en banlieue parisienne, un nom bien connu des fonciniers. Pendant
près de 60 ans, depuis 1901, une usine a fonctionné et a
occupé ici une centaine d'ouvriers. Il s'agit de la chocolaterie
JACQUIN, dont les propriétaires, Alphonse BOTTIN et Thérèse
JACQUIN reposent au cimetière de Foncine le Bas. La ville d'Ivry
vient récemment de remettre à l'honneur cette entreprise
en donnant son nom à une de ses rues. Dans Foncine,
à la page "Chocolaterie
Jacquin". |