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Quoi d'neuf en 2004 ?

la source de la Saine, à Foncine le haut

en 2006
en 2005
en 2003 et avant
Le 30 décembre 2004 Autrefois, chaque canton avait son chasseur de vipère. Certains pouvaient en ramasser 1000 par an. Voici un conte d'André Besson, extrait d'un numéro du "Jura Français" de décembre 1970, qui raconte l'histoire de Ticko, l'un d'entre eux, et l'amusante manière par laquelle il réussi à se faire payer son dû. A lire dans le chapitre "Activités d'antan", à la page "Chasseur de vipères".
Le 29 décembre 2004 L'utilisation du système métrique n'a été obligatoire qu'à partir de 1840 (loi du 4 juillet 1837). Jusqu'à cette date, les mesures utilisées étaient diverses et elles pouvaient varier d'un lieu à un autre même au sein d'un même canton. Voici, extraite d'un almanach de revendications de 1736 (chez Claude Joseph Daclin, imprimeur du Roy avec privilège du Roy, à Besançon) une description des anciennes mesures utilisées en Franche Comté à cette période. A lire dans le chapitre "Activités d'antan", la page "Anciennes mesures ".
Le 20 décembre 2004
Un texte de saison, extrait du livre de Bernard Clavel : "l'hiver". A lire dans le chapitre "Récits", à la page "Clavel".
Le 16 décembre 2004

Les rouliers n'étaient pas tous du Grandvaux. Ceux de Foncine ne sont pas entrés dans la légende comme leurs voisins, et pourtant ils jouaient un rôle important dans la vie économique de la région. Un texte, de Madame A. Monnier, tiré du "Gaulois" de juin 1974, nous renseigne sur ces voituriers de Foncine, et sur leurs relations particulières qu'ils entretenaient avec leurs clients genevois. A lire dans le chapitre "Foncine le Bas", sous le titre : "Les rouliers de Foncine".

Le 13 décembre 2004
Dans le chapitre "Activités d'antan", la page "Patois" est complétée d'une description de la "Langue paysanne", texte de Charles Steib, tiré d'un numéro de l'Almanach du "Petit Comtois" de 1941.
Le 10 décembre 2004
Une autre industrie nomade du pays est celle des peigneurs de chanvre, plus connue en Franche-Comté sous le nom de "pignards" ou "foirloux". Cultivateurs pendant neuf mois de l'année, leur blé ou leur orge une fois récoltés et battus, ils partent vers la fin de septembre et reviennent presque invariablement pour les fêtes de Noël. A lire dans le chapitre "Activités d'antan", à la page "Les Pignards ".
Le 4 décembre 2004
Voici un autre château, plus célèbre sans doute que Château-Vilain, et encore debout aujourd'hui. D'illustres personnages y ont séjourné, souvent de force, comme Mirabeau ou Toussaint Louverture. Berthe de Joux a pris son nom et a laissé autour de ses murs une triste légende. Plus tard, en 1871, l'armée française en déroute vers la suisse lui doit son salut. Voici un texte sur le château de Joux, gardien du col de la Cluse. A lire dans le chapitre : "Les Planches", à la page de "Château-Vilain" sous le titre "Château de Joux".
Le 28 novembre 2004
Henri Bouchot, avec le style poétique qu'on lui connait, nous fait une autre description de Château-Vilain, de la vallée qu'il surplombe "embrouissaillée de bois argentés de brouillards" et de ses célèbres voisines, les "trois commères". A lire dans le chapitre : "Les Planches", sous le titre "Château-Vilain" (description d'Henri Bouchot).
Le 20 novembre 2004
Charles Thevenin, dans son article paru dans le Progrès du dimanche 24 octobre 2004, promène ses lecteurs dans les cernées du Mont Noir. Il les emmène à la Queulette, la Cernée, sur les Gits et jusqu'au Creux Maldru et la grotte à Pira à du Bou. A lire dans le chapitre "Foncine le Bas", au chapitre "Les hameaux", sous le titre "Les cernées du Mont Noir"
Le 17 novembre 2004 Dans le chapitre "Généalogie", rafraîchissement de la base de données généalogique (le nombre d' individus passe de 9000 à 9500).
Le 16 novembre 2004
Château-Vilain fut malheureusement démoli en 1810 pour reconstruire les usines de Bourg de Sirod incendiées. De ses ruines un tronçon de murailles hérissées de ronces demeure encore debout, désigné sous le nom de Tour de Vienne. C'est d'ici que le sire de Château-Vilain faisait suspendre son beau-frère Guy de Vienne par les pieds et le faisait tournoyer au dessus du précipice. Jean-Baptiste MUNIER, dans ses "Recherches historiques sur les Foncines" nous raconte l'histoire de cette forteresse, "une des plus formidables de la province", dont on trouve les première traces en 1186. A lire dans le chapitre : "Les Planches", sous le titre "Château-Vilain".
Le 27 octobre 2004
Henri Bouchot, dans son livre sur la Franche-Comté (1890), nous décrit l'orage dont il fut témoin un jour qu'il était en voyage du côté de Saint-Claude. Il nous raconte dans un style poétique, comment le tonnerre "a sa manière spéciale de parler aux montagnes". A lire dans le chapitre "Activités d'antan", à la page "Climat", sous le titre "Orage".
Le 25 octobre 2004
Au chapitre "Chapelle des Bois", toujours extrait des "Recherches sur Chapelle des Bois", un petit inventaire de la faune de la région entre les années 1820 et 1890. A lire à la page "Faune" de ce village.
Le 22 octobre 2004

Vous serez peut-être surpris d'apprendre que certains mots du patois jurassien ont une origine grecque. Selon l'abbé Léon Bourgeois Moine, le patois a joué le rôle de langue intermédiaire entre les langues mortes, latin ou grec, et le français. Voici, extraite une fois encore de ses "Recherches sur Chapelle des Bois" (1894), une brève présentation du patois de la région de Chapelle des Bois. A lire dans le chapitre "Activités d'antan", à la page "Patois".

Le 20 octobre 2004
Plusieurs textes de ce site font mention de monnaies anciennes comme la livre tournois. Une autre portait le joli nom de parpaïolle, qui donnerait presque envie de payer ses impôts en chantant. L'abbé BERTHET dans son "Histoire des Rousses", publiée en 1988 par la Société d'Émulation du Jura, donne quelques indications qui nous permettent d'avoir une idée de la complexité du système monétaire de l'époque, en particulier en Franche-Comté, où, jusqu'au rattachement au royaume de France, cohabitaient deux systèmes : la monnaie estevenante et la monnaie comtale. A lire dans le chapitre "Activités d'antan", à la page "Monnaie".
Le 2 octobre 2004
Deux descriptions des hivers d'autrefois : la première extraite d'un manuel scolaire de 1950, écrit par Antoine Lyonnet, la seconde, plus ancienne, encore une fois tirée des "Recherches sur Chapelle des Bois" de l'Abbé Léon Bourgeois Moine. Les deux nous montrent à quoi ressemblaient ces sept mois durant lesquels les griffes blanches de l'hiver enserraient cruellement le pays. A lire dans le chapitre "Activités d'antan", à la page "Climat".
Le 9 septembre 2004
Une autre sorte de contrebande que celle des marchandises existait dans la région de Chapelle des Bois. Dans la première, on avait à redouter les gardes forestiers du Canton de Berne, ou de celui de Vaud, dans la seconde, les personnes à éviter étaient les douaniers français. La contrebande du bois, se justifiait pour ceux qui l'a pratiquaient, par le fait que la Suisse s'était emparé de terrains et forêts au préjudice de certaines localités du canton de Mouthe. A lire dans le chapitre "Activités d'antan" , à la page "Contrebande", sous le titre "La contrebande du bois"
Le 3 septembre 2004
Un nouveau récit de contrebandiers, à lire dans le chapitre "Activités d'antan", à la page "Contrebande", sous le titre "Les contrebandiers" (de Roger Lombard).
Le 29 août 2004
Les mémoires du Général Vionnet, Vicomte de Maringoné, ex commandant des Grenadiers de la Vieille-Garde, sont préfacées en 1899, par Rodolphe Vagnair qui retrace l'itinéraire de celui qui commenca sa vie dans une mine de fer, avant de la poursuivre comme instituteur à Métabief, puis sur tous les champs de bataille de la première république et de l'Empire. Cette préface vient compléter la page déjà existante sur le Général Vionnet, dans le chapitre "Généalogie".
Le 25 août 2004

Lors d'une réunion de la Société des Beaux-Arts, le chanoine Paul Brune (1862-1920), conservateur des antiquités et objets d'art du Jura, fait une présentation de l'église de la Chaux et de ses fondateurs, Guillaume et Charles de Poupet. Ce texte vient compléter celui du Docteur Chambelland, déjà en ligne. A lire dans "Chaux des Crotenay", au chapitre "L'église", sous le titre "Description du chanoine Brune (les Poupet et l'église)".

Le 22 août 2004
Dans son livre "Jura médiéval" Luc Duboz met en scène un personnage qui se déplace de village en village et retranscrit ses réflexions sur ce qu'il observe autour de lui. Lors de son passage au village de la Chaux des Crotenay, il découvre un manuscrit qui correspond à l'acte d'affranchissement des communautés de Chaux des Crotenay et d'Entre deux Monts. A lire dans "Chaux des Crotenay", au chapitre "Les seigneurs", sous le titre "Chaux des Crotenay et Entre deux Monts, "libres" depuis 1294".
Le 17 août 2004
Epipactis des marais, calamagrostis raide, primevère farineuse, cresson de cheval, ... Marinette Toussaint a fait un bien joli inventaire de toutes les fleurs que l'on peut trouver sur les rives du Lac à la Dame. Elle nous fait découvrir ce microcosme riche et fragile. Sur la même page on pourra lire deux légendes sur l'origine de ce lac. On doit l'une d'entre elle à Rabelais. A lire dans "Foncine le Bas", au chapitre "Les hameaux", sous le titre "Lac à la Dame (Flore, légende et origine)"
Le 13 août 2004
Lors d'une visite à Entre deux Monts, j'ai pu enfin découvrir les restes du château de la folie. J'ai inséré ici les quelques photos que j'ai pu faire de ces vieux murs. Et surtout un texte imaginaire de Luc Duboz, tiré de son livre "Jura Médiéval", qui vient ajouter une nouvelle légende à celles qui existaient déjà autour de ce lieu mystérieux. A lire dans "Entre deux Monts", à la page "Le Châtelet", au chapitre "Le Château de la folie" sous le titre "Autre folie, autre légende".
Le 29 juillet 2004
Jean-Baptiste CATTIN repose dans l'église de Fort du Plasne. Ce fut un des premiers maîtres horlogeurs. Il permit à Fort du Plasne, bien avant Morez, d'être à l'origine de l'industrie horlogère jurassienne. Cet extrait de l'Histoire du Grandvaux de l'abbé Luc Maillet-Guy, est à lire dans le chapitre "Foncine le Bas" à la page "les horlogeurs de Foncine".
Le 27 juillet 2004
Napoléon a laissé son nom à de nombreuses routes et fontaines. On trouve sa trace également dans nos villages. L'ancien Hôtel de l'Oranger des Planches en Montagne, qui existait encore en 1936 et que tenait Esther Guy, lui doit son nom. Cet extrait du Progrès du 12 juillet 2004 est à lire dans le chapitre "Les Planches", sous le titre "Sur les traces de Napoléon".
Le 23 juillet 2004
Selon le docteur René Chambelland, Catherine de Bruges serait inhumée dans l'église de la Chaux des Crotenay, devant l'autel. Ce ne sont pas seulement ses titres de Princesse de Steenhuyse, Dame de La Gruthuse, Dame de Famechon, Baronne de Montmirail et j'en passe, qui l'a rendent intéressante, mais un lien de parenté avec un personnage illustre, connu principalement pour ses vérités légendaires. A lire dans le chapitre "Chaux des Crotenay" sous le titre "de La Palice à la Chaux des Crotenay".
Le 15 juillet 2004
La guerre de 1870 ne s'est terminée, ni le 4 septembre 1870 lorsque Napoléon III fut fait prisonnier à Sedan, ni le 28 janvier lorsque la capitulation a été signée à Paris, mais chez nous, au bas des Gorges de Malvaux, le 30 janvier 1871. Cette nouvelle page de Charles THEVENIN vient compléter celles déjà existantes sur cette période. A lire dans le chapitre "les Planches", sous le titre "28, 29 janvier 1871".
Le 11 juillet 2004
Ajout d'un nouveau chapitre, baptisé "Itinéraires". Vous y découvrirez 150 photos sur une première page consacrée à un voyage Champagnole - lac de Come, via la Suisse et le canton des Grisons. A voir dans le chapitre "Itinéraires", sous le titre "vers Tremezzo".
Le 4 juin 2004
Ajout d'un paragraphe à la page des Horlogers de Foncine, sur Jean-Marie FUMEY, médaillé à la première exposition universelle de 1855. Dans le chapitre "Foncine" à la page des "Horlogers".
Le 4 juin 2004

Morillon est une petite plaine que les automobilistes, sortant d'une gorge de la Lemme, se hâtent de traverser avant d'aborder une autre gorge de la Lemme. Les gens du pays connaissent les sentiers et les chemins de la Chèvre à la côte Coulon, de la Vie de la Serre à la Culotte. Mais qui sait ce qui existe dessous, s'il n'a pas lu l'article de Charles THEVENIN paru fin 2003 dans le Progrès au sujet de la faille X ? A lire dans le chapitre "Entre deux Monts", à la page "Morillon, portes du Haut-Jura", sous le titre "Les dessous de Morillon".

Le 27 mai 2004
La page sur les "Horlogers de Foncine" est complétée d'un chapitre sur Pierre Ambroise POUX-LANDRY, qui fut "horloger et professeur en serrurerie et mécanique" de Louis XVI. A lire dans le chapitre "Foncine" à la page des "Horlogers".
Le 26 mai 2004
Avant 1674, toute fille de Chatelblanc devait demander l'autorisation au seigneur pour se marier ailleurs. C'est lorsque Louis XIV conquit la Franche-Comté que cette contrainte fut abolie. Avec les mariages et les baptêmes, les enterrements étaient les seuls événements autour desquels se retrouvaient les familles. Dans ses "Recherches sur Chapelle des Bois", l'abbé Léon BOURGEOIS-MOINE nous montre que les funérailles asseptisées d'aujourd'hui n'ont rien à voir avec les cérémonies d'antan et que ... l'on savait mourir en ce temps là ... A lire dans le chapitre "Activités d'antan" au chapitre "Mariages et Funérailles".
Le 7 mai 2004 Dans le chapitre "Généalogie", ajout d'une page sur l'origine de certains noms.
Le 4 mai 2004
La page sur "L'habitat et l'habillement", dans le chapitre "Activités d'antan" est complétée d'un chapitre sur le mobilier.
Le 11 avril 2004
Le dernier chapitre des "Recherches historiques sur les Foncines" de J.B. MUNIER, est intitulé "La Révolution". L'auteur y expose, dans l'ordre chronologique, les évènements survenus dans la nation et dans nos villages durant cette période. Il s'attarde sur quelques cas particuliers : l'aventure, en 1793, de quatre des plus hautes autorités du Jura ; la vie du père Claude Ignace PERRENET, foncinier et religieux; la destruction de Château-Vilain qu'avait épargné Louis XIX et que la Révolution a condamné; la querelle avec "l'agent patriote" chargé de remettre dans le droit chemin les citoyens de Chaux Neuve, qui venait chasser les suspects jusqu'à Foncine. A lire dans le chapitre "Foncine", sous le titre "Révolution"
Le 10 avril 2004
L'abbé Léon BOURGEOIS-MOINE, toujours dans ses "Recherches sur Chapelle des Bois", nous décrit l'habitat de nos ancêtres. A cette époque, les pièces de la maison s'appelaient Nouva (corridor), Etta (chambre des époux) ou Afu (pièce principale). Il décrit plus loin l'évolution de l'habillement, et là encore on découvre ce qu'étaient les pannes à maus, goeudets, roulières, ratines ou encore ce paletôt surnommé, sans doute à cause de sa longueur, "l'incroyable". A lire dans "Activités d'antan", sous le titre "Habitat".
Le 18 mars 2004
Farfadets, lutins, dames blanches ou vertes, loups-garous ou encore basilic (croisement d'un coq et d'un crapaud) autant de superstitions et légendes qui ont pris facilement racines dans les forêts profondes de nos montagnes. L'abbé Léon BOURGEOIS-MOINE, dans ses "Recherches sur Chapelle des Bois", en 1894, nous parle de ces êtres fantastiques qui ont peuplé les imaginations. On y apprend également que les fromagers étaient considérés comme des sorciers, ce qui les préservait des vols et autres malversations. A lire dans le chapitre "Activités d'antan", sous le titre : "Superstitions".
Le 15 mars 2004
L'abbé Léon BOURGEOIS-MOINE nous explique qui était "Pierre à du Bourg" qui donna son nom à cette caverne proche de la Norbière. On retrouve la trace d'un de ses exploits, en 1773, lorsqu'il conduit à Morez, 7 louveteaux vivants qu'il avaient capturés au pied d'un sapin. Voici ce texte extrait des "Recherches sur Chapelle des Bois". A lire dans le chapitre "Foncine le Bas", à la page "Combe David", sous le titre "Grotte de Pierre à du Bourg"
Le 11 mars 2004
Charles THEVENIN, dans le Progrès du 18 janvier 2004, nous parle de cette richesse qu'était le sel à une époque où l'on construisait pour son commerce, des routes et entrepôts gardés. La Suisse le préférait à celui d'Autriche ou d'Allemagne. Objet de toutes les convoitises, et symbole du pouvoir royal, il fut naturellement la cible de Mandrin. Charles THEVENIN nous montre dans son article, les traces encore visibles, routes où "magasins" d'une époque où le sel comtois voyageait dans les montagnes. A lire dans le chapitre "Routes et Chemins", à la page "Chemins du sel" sous le titre "Le sel comtois".
Le 4 mars 2004
Qui ne s'est jamais plaint au moins une fois, de la lenteur du courrier ? Ce n'est rien à côté d'hier. Voici un texte assez court, qui explique de quelle manière la distribution des dépêches commenca a avoir lieu quotidiennement à Chapelle des Bois en 1840. A lire dans le chapitre : "Activités d'antan", à la page "le facteur".
Le 29 février 2004
Charles THEVENIN, dans un article paru en novembre 2003 dans le Progrès, revient sur les origines du Chatelet, ancienne forteresse qui abritait aux pieds de ses murailles un village, qu'on identifie en 1463 et dont six maisons subsistaient encore en 1763. En 1837, le projet fou de Claude François FUMEY, personnage taciturne et solitaire, donna à l'endroit une réputation sulfureuse. Le Château de la Folie et son propriétaire semblent bel et bien avoir été marqués par une étrange malédiction. Cet article vient compléter le paragraphe sur le Château de la Folie, dans la page Châtelet, au chapitre Entre deux Monts,à lire sous le titre "la malédiction du grand rocher".
Le 26 février 2004
En 1794, le gouvernement avait ordonné qu'on fasse disparaître "tous les signes extérieurs du fanatisme, existants sur les clochers et les grandes routes". Cet ordre n'avait pas été entièrement exécuté à Chapelle des Bois. En 1798, JOUFFROY, chargé de cette mission pour le canton de Mouthe, constate qu'on relève les croix malgré ses défenses réitérées. Il va tenter de faire appliquer sa décision mais des habitantes de Chapelle vont l'en empêcher. A lire sous le titre des femmes battantes dans le chapitre sur Chapelle des Bois.
Le 20 février 2004
Dans ses "Recherches sur Chapelle des Bois", en 1894, l'abbé Léon BOURGEOIS-MOINE consacre un chapitre à la guerre de 1870, et à la manière dont ces événements furent vécus par la population de Chapelle des Bois. Un personnage est mis en relief dans ce récit. Son nom semble tout droit sortit d'un roman tout comme quelques-unes de ses aventures. Découvrez qui était Télesphore BOURGEOIS dans le chapitre sur Chapelle des Bois.
Le 12 février 2004
Dans ses "Recherches sur Chapelle des Bois", en 1894, l'abbé Léon BOURGEOIS-MOINE décrit la manière dont ont été entrepris, à partir de 1804, les travaux de construction des premiers chemins qui reliaient Chapelle des Bois aux deux Foncines. A lire dans "Routes et Chemins" à la page "1804, premiers chemins".
Le 10 février 2004
Rafraîchissement de la base de données généalogique (le nombre d' individus passe de 8500 à 9000)
Le 9 février 2004
Nicolas VERNOT termine son étude sur le "Sapin dans les armoiries comtoises". Cette troisième et dernière partie intitulée "Le sapin à l"assaut du massif jurassien" est parue en novembre 2003 dans le numéro 69 de la Racontote (25210 Mont de Laval). A lire dans le chapitre "Etudes".
Le 8 février 2004
La Langouette, le "bout du monde", les gorges de Malvaux ou celles des Côtes Chaudes, ce sont les endroits que la Saine a fabriqués au long de son parcours. Il y en a un autre dont le nom évocateur aura habité bien des rêves d' enfants. Un endroit où l' eau prisonnière se transforme certains jours en tourbillon infernal pour user la roche et devenir "le Creux des Joyaux". A lire dans la page de la "Saine" au chapitre "Rivières".
Le 4 février 2004
Au XVème siècle, un trésor fut transporté à dos de mulet non loin de Foncine. Une autre fois, une impératrice foula les mêmes chemins avant d'être saisie des douleurs de l'enfantement et venir accoucher au Château de la Chaux des Crotenay. Le chemin de Nozeroy à Saint-Claude passait par Foncine, et nombreux sont les illustres personnages qui l'ont emprunté. A lire dans "Routes et chemins" sous le titre "Nobles voyageurs".
Le 3 février 2004
Le hameau de la Sange Renaud occupait sans doute une place importante à l'époque où l'axe principal qui reliait les Planches à Foncine, passait à cet endroit. Le bâtiment qui porte ce nom est un des plus anciens de Foncine. Il est en train de renaître aujourd'hui. A lire dans "Foncine" au chapitre les "Hameaux de Foncine le Bas".
Le 7 janvier 2004
On retrouve à Ivry sur seine, en banlieue parisienne, un nom bien connu des fonciniers. Pendant près de 60 ans, depuis 1901, une usine a fonctionné et a occupé ici une centaine d'ouvriers. Il s'agit de la chocolaterie JACQUIN, dont les propriétaires, Alphonse BOTTIN et Thérèse JACQUIN reposent au cimetière de Foncine le Bas. La ville d'Ivry vient récemment de remettre à l'honneur cette entreprise en donnant son nom à une de ses rues. Dans Foncine, à la page "Chocolaterie Jacquin".
et avant 2004 ?

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