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Quoi d'neuf en 2005 ?

en 2006
en 2004
en 2003, et avant

Le 28 décembre 2005
Aux villes où elle s'arrêtait, la troupe devait recevoir l'Etape, selon le nombre d'hommes dont elle était composée, et le fourrage selon le nombre de chevaux.
A cette occasion, il est intéressant de constater dans les règlements de l'époque, qu'un cheval de colonel mange douze fois plus de fourrage que celui d'un simple soldat. Cette contrainte pénible, était encore aggravée par une pratique malhonnête, à laquelle une ordonnance du roi mit fin en 1702. A lire dans le chapitre "Routes et Chemins", sous le titre "Les Passevolants".
Le 22 décembre 2005

Dans la presqu'île de la Cheverie sur la rive droite de la Saine, on trouve un bloc de rocher singulier, brut et posé debout, tout à fait isolé. Il semblerait que ce lieu ait joué un rôle important dans le culte druidique. Entre autre chose, on y aurait distribué le gui sacré. A une lieue d'ici, le Creux Maldru, non loin de la ferme de la Thieulette, fut lui aussi un lieu de séjour pour les druides, avant d'être à une autre époque, un refuge pour les prêtres réflactaires. A lire dans le chapitre "Foncine le Haut", sous le titre "La Cheverie".

Le 19 décembre 2005

La revue "Chemins de fer régionaux et tramways" a publié en 2005, dans un numéro spécial, une étude approfondie sur les chemins de fer vicinaux du Jura. Cette étude, donne des précisions techniques intéressantes sur la naissance, la courte vie, puis sur l'agonie de ces chemins de fer. Elle fait une place importante aux lignes Clairvaux - Foncine et Champagnole - Foncine le Bas. Foncine le Bas mérite bien cet honneur. En effet, si ce village a eu quelques années de célébrité, il le doit certes à ses scieurs et marchands de bois et à ses diamantaires et lunetiers, mais aussi à sa gare. Dans le chapitre sur "Foncine le Bas", un nouveau chapitre : "Foncine le Bas et sa gare".

Le 13 décembre 2005
Le 6 avril 1921, Maître Paris, notaire à Foncine le bas, dresse l'inventaire de "tous les meubles meublants, effets et objets mobiliers, bétail et matériel de culture, deniers comptants, titres, papiers notes et renseignements de toute nature pouvant dépendre activement et passivement tant de la communauté de biens qui a existé entre les époux Vionnet / Morel-Jean que de la succession de Joseph Vionnet décédé accidentellement le mardi 5 février 1921". Voici, dans le chapitre "Vionnet", à la page "Le cheptel de Joseph Vionnet", une partie de cet inventaire.
Le 5 décembre 2005
"Goûte celle-là, c'est de la bonne". Un peu partout dans le Jura, les bouilleurs de crus retroussent les manches pour, dans les alambics, sortir une prune, une poire, ou un alcool de pomme, aptes à flatter le meilleur du palais. Seul petit hic, la distillation est encadrée par des textes réglementaires très stricts et le service des douanes est là pour éviter les dérapages. La page sur "l'Alambic", dans le chapitre "Activités d'antan" est complétée de quelques anecdotes.
Le 1er décembre 2005
La Franche-Comté connut de nombreux miracles, du début du Moyen Age au XIXe siècle. Les plus célèbres furent ceux liés au Saint Suaire à Besançon, disparu en 1789, et aux hosties de Faverney épargnées lors d'un incendie survenu dans l'église abbatiale le jour de la Pentecôte de l'an 1608. D'autres, restés discrets, se déroulèrent dans des sanctuaires dits "à répit". Voici sur ce sujet, un article de "Pays Comtois" à lire dans le chapitre "Activités d'antan", à la page "Mariages et Funérailles", sous le titre "Sanctuaires à répits".
Le 25 novembre 2005
"La chasse du seigneur avait passé la veille au lever du soleil : les trompes et les cornes avaient soufflé leur chant d'épouvante, et les dieux mauvais de la forêt, réveillés de leur sommeil de pierre, avaient répété de tous côtés et à l'infini l'appel farouche; puis, au galop de la meute qui les menait, le flux des bêtes du canton du Val des Hiboux avait passé en rafale devant la clairière de Gaudry, déserte et silencieuse comme une nécropole abandonnée". Voici un nouveau texte dans le chapitre "Récits", à la page de "Louis Pergaud " sous le titre : "Le miracle de Saint-Hubert".
Le 18 novembre 2005
La paralysie des transports routiers de 1940 à 1947 procura un regain d'activité aux petits trains. Mais le voyage en tacot, qui était déjà une aventure en temps de paix, devenait une épopée périlleuse en cette période trouble. Voici quelques récits de cette époque, tirés du livre "Petits trains à l'assaut du Jura", dans le chapitre "Petits Trains" à la page "Le tram sous l'occupation".
Le 15 novembre 2005
Une petite galerie de photos de l'ancienne voie du Tram, à Foncine le Bas, à voir dans le chapitre "Petits Trains" à la page "La voie du Tram à Foncine".
Le 10 novembre 2005
LeTram arrive toujours à sa destination, mais lorsque le voyageur grimpe dans la voiture dans laquelle il fait un froid au moins égal à celui de l'extérieur, son voyage promet de ne pas être de tout repos. Dans le meilleur des cas, il arrivera simplement en retard. Mais parfois, ce sera pire ... Tous les dysfonctionnements du Tram ne manquèrent pas de générer des plaintes de toutes sortes. En voici quelques unes, tirées du livre "Petits trains à l'assaut du Jura", à lire dans le chapitre "Petits Trains" à la page "Les plaintes".
Le 5 novembre 2005
Dans le chapitre "Chaux des Crotenay", une photo de l'école des filles. A voir à la page "L'école en 1914".
Le 30 octobre 2005
Docteur aux Planches, Jean-Baptiste Munier a laissé un extraordinaire traité sur le fonctionnement des fruitières aux 18 et 19e siècles. On y apprend que ce principe de mise en société de plusieurs petits propriétaires, remonte à l'origine même de nos villages. C'est le sujet de ce nouvel article de Charles Thevenin, tiré du "Progrès", à lire dans le chapitre "Etudes", à la page "J.B. Munier", sous le titre "Le traité du docteur".
Le 27 octobre 2005
Un nouvel itinéraire, avec photos, au départ de Champagnole vers la Suisse et le sommet du Chasseral (1609 m). Au retour, passage par le Creux du Van et le Chasseron, un autre sommet. A voir dans le chapitre : "Itinéraires", sous le titre : "Chasseral".
Le 24 octobre 2005
Une collection de cartes anciennes de Chaux des Crotenay et ses environs, appartenant à Jean-Pierre Fumey, à voir dans le chapitre "Chaux des Crotenay", à la page "Cartes postales".
Le 20 octobre 2005
Nouveau texte dans le chapitre "Récits", à la page de "Louis Pergaud " : "Une pêche aux grenouilles".
Le 18 octobre 2005
Ajout d'une page "Annonces", accessible depuis cette page, et destinée à tous ceux qui souhaiteront communiquer une information (réunion, publication, spectacle, ...).
Le 14 octobre 2005
Au XVIIIe siècle, de nouveaux chemins sont tracés, des ponts construits. Mais les déplacements restent difficiles et dangereux. Les obstacles naturels continuent à dresser leurs barrières. Et à cela s'ajoute encore le danger d'une faune sauvage dont le territoire se confond souvent avec celui de l'homme. Voici un extrait du livre de Michel Vernus : "Paysans Comtois, La vie au village au XVIIIe siècle" qui raconte combien la cohabitation entre l'homme et le loup fut longtemps difficile dans notre région. A lire dans le chapitre "Routes et Chemins", sous le titre "Loin du village, le danger".
Le 7 octobre 2005
En 1638, la guerre entre les Gris, ainsi nommés à cause de la tunique grise qu'ils portaient de France, et les Comtois, ou Quanais, dont le nom dérivait de Séquanais, faisait rage. Pontarlier n'était déjà plus que cendres, bientôt Nozeroy et Saint-Claude subiraient le même sort. Saxe Weimar et ses suédois, payés par Richelieu, mettaient la Comté à feu et à sang. Voici un extrait du livre de Bernadette Maréchal, "L'héritage de la terre Franc-Comtoise" où l'on verra entre autres, la terrible punition que La Plaque et ses hommes réservèrent aux 800 suédois qu'ils firent prisonniers à Chapelle des Bois. A lire dans le chapitre "Routes et Chemins", à la page "Les invasions "sous le titre : "La guerre entre les Gris et les Quanais".
Le 30 septembre 2005
Les grandvalliers, et leurs voisins, voyageaient dans toute la France. D'autres, nombreux aussi, s'expatriaient. L'abbé Léon Bourgeois, dans son "Histoire de Chapelle des Bois", raconte longuement les départs de missionnaires et de religieuses vers les Indes ou la Chine. Il y a aussi ceux qui s'en allaient aux amériques pour y rester. Voici un exemple, tiré de l'"Histoire de Bois d'Amont", de l'abbé Francis Bono. A lire dans le chapitre "Routes et Chemins", sous le titre "Du Haut-Jura au Québec".
Le 29 septembre 2005
Au début du siècle dernier, les paysans ne manipulaient que peu d'argent. Ils tiraient leur nourriture de leur terre et de leur travail. Le jardin fournissait les légumes : le pommier, le poirier, les pruniers et le Mont-Noir donnaient les fruits; le poulailler les oeufs; le clapier la viande. Quant au pain, l'essentiel, il était totalement de fabrication "maison". Dans le chapitre "Raconte-toi Comtois", voici un texte sur la cuisson du pain, à lire sous le titre "Le pain de Marguerite et François".
Le 10 septembre 2005
Les pignards travaillaient en équipe et avaient chacun leur spécialité. Il y avait l'euriblio, le mari, le touéro, et chacun avait sa brita. Le petit texte d'Alphonse Gaillard : "la journée des Pignards", vient complèter la page sur cette petite industrie des peigneurs de chanvre, qui figure déjà dans le chapitre "Activités d'antan".
Le 7 septembre 2005

"Ils ont la pensée rapide et l'expression lente; endurants, calmes comme les Germains, mais vindicatifs comme les Espagnols, et rien n'est plus dissimulé qu'un Comtois, ils savent attendre, sans vous donner l'éveil, l'heure des représailles ...". Voici, à travers deux petits textes, d'autres aspects du caractère jurassien. Ils viennent complèter le texte de Clément Chambard : "la Montagne Jurassienne", dans le chapitre "Raconte-toi Comtois", à lire sous le titre "Portraits de Comtois".

Le 2 septembre 2005
A la fin du Xe siècle, la société féodale est définitivement formée; au XIIIe siècle elle atteint la plénitude de son existence. La terreur des souvenirs et la crainte de nouvelles invasions avaient, dès la fin du siècle précédent, suggéré aux seigneurs bourguignons l'idée de se construire sur les montagnes des forteresses où ils pussent se mettre à l'abri eux et leurs familles. La guerre était partout et partout devait être aussi les instruments de guerre, les moyens de la faire et de la repousser. Dans ses "Recherches historiques sur les Foncines", J.B. Munier nous présente cette société. Voici deux textes tirés de son ouvrage : "Les châteaux" et "Le recrutement des armées", à lire dans le chapitre "Etudes", à la page "J.B. Munier".
Le 30 août 2005
Les colporteurs, ou porte balles, étaient autrefois nombreux, certains voyageaient à leur gré, au hasard des saisons, d'autres au contraire, avaient un itinéraire précis, on les voyait réapparaître deux fois l'an, au printemps et à l'automne. Généralement vêtu d'une veste de velours brun, le colporteur arrivait à pied, avec dans le dos une grosse balle de marchandises, enveloppées de cuir, ou parfois une caisse en bois, qu'il posait sitôt entré, pour soulager ses épaules, ensuite il déballait et présentait ses articles à la mère de famille. A une époque où les voyages à la ville étaient rares, et les boutiques inexistantes dans les campagnes, sa visite était un événement. Découvrez ce petit métier de gagne-misère dans le chapitre "Activités d'antan", sous le titre "Le colporteur ".
Le 25 août 2005
La Billaude, est une des plus belles chutes d'eau de notre région. Elle tirerait son nom d'une famille installée au bord de la Lemme, au XVIIe siècle. Dans le "Progrès" du 14 août 2005, Charles Thevenin nous apprend également, qui était Claude Roy, qui laissa son nom à la cascade un siècle plus tard et qu'on avait oublié. A lire dans le chapitre "Les Rivières", à la page "La Lemme", sous le titre "La Billaude".
Le 12 août 2005
Dans son livre sur le Jura, G. Fraipont, décrit avec justesse le pays qu'il parcourt et les gens qu'il rencontre. Voici deux extraits de ses carnets de voyage à lire dans le chapitre "Récits", à la page "G. Fraipont", sous les titres : "Aux environs de Saint-Laurent" et "Francs-Comtois, caractères, coutumes et légendes".
Le 10 août 2005
Le troglodyte mignon petit oiseau de notre région, n'hésite pas, pour séduire sa compagne, à construire plusieurs nids pour lui laisser le choix. Mais aussitôt conquise, la belle devra terminer seule les travaux et élever la couvée, pendant que ce Don Juan de 9 grammes, repart vers de nouvelles conquêtes. Découvrez ses habitudes en même temps que celles de la mésange à longue queue, du roitelet huppé ou à triple bandeau, du cingle plongeur, dans le chapitre "Chapelle des Bois", à la page "La Faune", sous le titre "Les poids plumes du monde ailé".
Le 7 août 2005
La Chaux des Crotenay avait le château, l'église, les deux foires annuelles, les auberges, les commerçants, plus tard la gare. Entre deux monts n'était qu'un appendice. Et sans histoire, il n'y a pas de patrimoine. Et pourtant, sans remonter à Vercingétorix, le passé de ce village est riche. Dans le chapitre "Entre deux Monts" découvrez son "Patrimoine".
Le 3 août 2005
Ajout d'une petite galerie de photographies sur la maison Michaud de Chapelle des Bois, et le chalet de Fort du Plasne. Dans le chapitre "Photos", sous le titre "Vieux outils".
Le 2 août 2005
Dans le chapitre "Entre deux Monts", la page sur le "Maquis Vauthier" est complétée d'un texte relatant le 27 novembre 1942, la fin de l'armée d'armistice à la caserne Michel de Lons le Saunier. A lire sous le titre "la fin du 15.1".
Le 28 juillet 2005 Dans le chapitre "Généalogie", rafraîchissement de la base de données généalogique.
Le 14 juillet 2005
Il y a sept siècles, la terre jurassienne n'était qu'un désert couvert de forêts sombres et hostiles. Rares étaient les candidats au repeuplement de ces régions inhospitalières. Pour les attirer les princes de Chalon durent faire preuve de générosité. L'abbé Léon Bourgeois-Moine, dans ses "Recherches sur Chapelle des Bois", nous raconte d'où venaient les premiers colons de Chatelblanc, et comment les seigneurs tentèrent d'améliorer leur sort pour les retenir. A lire dans le chapitre "Chapelle des Bois" à la page "Chatelblanc".
Le 7 juillet 2005
"Grand, osseux, l'air rude, sans grande vivacité d'allure, peu exubérant, plutôt froid, à la forte charpente (qu'il doit à l'eau calcaire), ingénieux, se suffisant à lui-même, connaissant tous les métiers, courageux et tenace, levant un front libre et satisfait en maniant les métaux qu'il façonne". Vous reconnaissez-vous ? C'est le portrait que faisait en 1914, Clément Chambard dans son ouvrage de géographie, du montagnard jurassien, bien servi malgré tout, par rapport au bressan ou au breton. Suivent les descriptions de l'habitat et des coutumes de l'époque qui complètent les pages traitant déjà de ces sujets. A lire dans le chapitre "Raconte-toi Comtois" sous le titre "la Montagne Jurassienne".
Le 4 juillet 2005
Dans le chapitre "Routes et Chemins", la page "Les invasions " est complétée d'un chapitre sur les bornes, marquées sur une face du lys de France, et de l'autre du lion Comtois, qui matérialisaient autrefois les limites entre le Royaume de France et la libre Comté ( texte de Charles Thevenin). A lire sous le titre : "La Borne au Lion, entre Royaume et Empire".
Le 1er juillet 2005
Plus de 200 photos des alpes, à découvrir dans un nouvel itinéraire au départ de Champagnole vers Nauders (Autriche). Au retour, passage par l'Aiguille du Midi sous un soleil superbe. A voir dans le chapitre : "Itinéraires", sous le titre : "Nauders".
Le 28 juin 2005
En 1793, sur les vingt et une cloches que possédait Saint-Claude, une seule fut épargnée, les autres furent fondues pour en faire des canons. Toutes les maisons religieuses furent vendues. L'église de Saint-Romain aussi. Le 6 mars 1794, les reliques du saint furent détruites. Voici, extrait une fois encore de "l'Héritage de la terre Franc-Comtoise", de Bernadette Maréchal, le récit de ces événements, suivi de celui de l'incendie de Saint-Claude, en 1799, catastrophe que l'on attribua à la malédiction du Saint. A lire dans le chapitre "Foncine le Bas", la page "Révolution" sous le titre "Le bras de Saint-Claude".
Le 28 mai 2005
C'était il y a 100 ans tout juste. La liste des maires, adjoints, curés et instituteurs des 10 villages du Canton des Planches, en 1905, communiquée par Jean-Pierre Fumey, a été ajoutée dans le chapitre : "Les Planches", à la page de "Il y a cent ans"
Le 26 mai 2005
Il y a 150 ans, la vie restait essentiellement campagnarde et communautaire. Voici, tiré une fois encore, de "l'Héritage de la terre Franc-Comtoise", de Bernadette Maréchal, un texte qui raconte comment s'organisaient les travaux quotidiens au fil des saisons. Un vieux paysan y raconte avec nostalgie, ce rendez-vous annuel qu'était la transhumance (la "désalpe"). Il poursuit son récit et arrive aux moissons et à la batteuse, et termine avec le passage du "triangle" tiré par les boeufs, sur la neige. A lire dans le chapitre : "Activités d'antan" à la page "Les vaches ".
Le 23 mai 2005
De nouveau, Charles Thevenin nous emmène à Morillon pour découvrir cette fois, la combe de Panesière, porte d'entrée du Pays des Lacs. Un vaste étang artificiel occupait autrefois les lieux, les restes du barrage sont encore visibles. Non loin de là, le Mont des Ifs abrite une grotte dans laquelle on trouva au siècle dernier, des os de marmottes fossilisés. A lire dans "Entre deux Monts", à la page "Morillon", sous le titre sous le titre "La Combe de Panesière".
Le 16 mai 2005
Dans le chapitre "Généalogie", rafraîchissement de la base de données généalogique (le nombre d' individus passe de 9500 à 10200).
Le 27 avril 2005
Au XVIe siècle, peu d'années s'écoulaient sans que la terre de Comté ne résonne du pas des envahisseurs. Même lorsqu'elle restait à l'écart des guerres, elle devait subir d'incessants passages de troupes armées, Espagnols ou Italiens en marche vers les Pays-Bas en révolte et se livrant à tous les méfaits possibles.Voici, tiré du livre de Bernadette Maréchal, "L'héritage de la terre Franc-Comtoise", un aperçu de ce siècle durant lequel, entre autres événements terribles, la forêt de Septmoncel gagna son triste nom de "forêt du massacre". A lire dans le chapitre "Routes et Chemins", à la page "Les invasions ".
Le 15 avril 2005
Le 27 avril 1944, le docteur Jean MICHEL était assassiné par les allemands. Il était un peu des nôtres. Sa mère, Agathe VIONNET, appartenait à une famille cousine, et surtout amie, des VIONNET de Morillon. Un film sur sa vie sera projeté le 23 avril à 14h, au cinéma "Le Renoir" de Lons le Saunier. Voici un texte d'André BESSON qui rappelle les événements qui ont abouti à son assassinat. A lire dans le chapitre "Vionnet", à la page "Docteur MICHEL".
Le 14 avril 2005
Les ramoneurs sont nés il y a plus de quatre cents ans. Ils protègent les foyers contre le feu, ce qui leur vaut une popularité sans égale et leur attache la réputation de porte-bonheur. Ces jeunes enfants quittaient leur famille vers douze ou treize ans pour une vie de misère qui les conduisait loin de leur région. Parmi les autres métiers itinérants, il y avait aussi les charbonniers qui passaient de commune en commune pour nettoyer les forêts et fabriquer avec le bois coupé, du charbon de bois. Découvrez ces deux petits métiers, dans le chapitre : "Activités d'antan" à la page "Ramoneurs et charbonniers".
Le 9 avril 2005
La page sur "L'habitat", dans le chapitre "Activités d'antan" est complétée d'un chapitre sur le grenier fort.
Le 6 avril 2005
Dans le chapitre consacré à l'alimentation, il n'était pas ou presque, question du vin. J'ai trouvé dans "l'Héritage de la terre Franc-Comtoise", de Bernadette Maréchal, un texte sur le vin jaune, qui raconte en même temps quelques anecdotes sur Arbois. En particulier sur la curieuse manière qu'avaient les arboisiens pour éloigner des vignes, l'orage qui menace. A lire dans le chapitre "Activités d'antan", à la page "Alimentation de nos ancêtres" sous le titre "La vigne et le vin".
Le 2 avril 2005
Le roulage n'était pas l'unique moyen de transport du bois coupé. Depuis l'époque romaine, et même peut-être bien avant, on convoyait le bois sur tous les cours d'eau issus de contrées forestières. Les fûts, emportés librement par le courant étaient récupérés en aval. Mais à cause des pertes, des vols et de l'artisanat naissant, on les regroupa en grands radeaux, conduits par des hommes. Ils s'appelaient "Les Radeliers ", à lire dans le chapitre : "Activités d'antan".
Le 21 mars 2005
Dans le chapitre "Foncine le Bas", la page sur "Jouef" est complétée par un petit historique de l'entreprise, tiré du Progrès de février 2005.
Le 17 mars 2005
Je termine le chapitre sur le Général VIONNET en y ajoutant sa "Généalogie", et une question, pour ceux qui pourraient apporter une précision sur un détail obscur de sa vie : a-t-il été marié deux fois ?
Le 15 mars 2005
Pierre MAYET est le neuvième représentant d'une lignée d'horlogers qui remonte à 1648. Il a la gentillesse de m'autoriser à intégrer dans le chapitre "Foncine le Bas", à la page des "Horlogeurs", sous le titre : "Les Mayet et l'horlogerie"son intéressante étude sur la "saga des Mayet". J'ai également ajouté à la suite de cette étude, un extrait du livre de Jean-Baptiste MUNIER consacré à l'horlogerie de Foncine.
Le 12 mars 2005
Dernier volet des extraits des "Souvenirs sur les campagnes de Russie et de Saxe" du Général Vionnet. Nous sommes en 1814, Napoléon abdique et Louis Stanislas Xavier est proclamé Roi de France. Vionnet est fidèle au nouveau Roi, il reste au Quesnoy avec le 2em régiment de tirailleurs jusqu'à son départ pour Paris où il épousera Mademoiselle de Beuzelin le 9 février 1815; à lire sous le titre :"Il devient Général et se marie".
Le 10 mars 2005 Nouveau texte dans le chapitre "Récits", à la page de "Louis Pergaud " : "Le Retour".
Le 1er mars 2005

Avant dernier volet des extraits des "Souvenirs sur les campagnes de Russie et de Saxe" du Général Vionnet :"La vaccine". Louis Joseph VIONNET y décrit son vaccin contre la variole. Un chapitre a également été ajouté à la suite du "Du passage de la Beresina" : le 14 décembre 1812, ce qui reste de la Grande Armée n'est plus qu'en ramassis d'hommes sans armes, une suite effrayante de fantômes qui traverse le Niemen et quitte la Russie. Vionnet en fait partie et raconte ce terrible mois de décembre. A lire sous le titre "La déroute dans le froid".

Le 25 février 2005

La mémoire collective a retenu la retraite de Russie et le passage de la Beresina. Elle oublie un peu la campagne de Saxe aussi funeste que la précédente. Louis Joseph VIONNET arrive à Lutzen le 3 mai 1813. Il vient d'être promu colonel et prend le commandement du 2em régiment de la Garde Impériale. Le 21 mai il se distingue à Warzen, bataille qui "aurait pu amener la paix si l'Empereur avait été plus juste dans ses demandes et moins obstiné dans ses prétentions". Voici le sixième volet des "Souvenirs sur les campagnes de Russie et de Saxe" du Général Vionnet : "1813 campagne de Saxe ".

Le 18 février 2005
Nouveau texte dans le chapitre "Récits", à la page de "Louis Pergaud " : "L'arrivée du maître".
Le 17 février 2005
Cinquième volet des extraits des "Souvenirs sur les campagnes de Russie et de Saxe" du Général Vionnet :"Le passage de la Beresina".
Le 11 février 2005
Dans le chapitre "Récits", à la page de "Louis Pergaud ", ajout de sa biographie et d'un nouveau texte : "L'évasion de Kinkin".
Le 10 février 2005
Quatrième volet des extraits des "Souvenirs sur les campagnes de Russie et de Saxe" du Général Vionnet :"Le départ de Moscou".
Le 3 février 2005
Troisième volet des extraits des "Souvenirs sur les campagnes de Russie et de Saxe" du Général Vionnet :"Moscou était beau ". A lire dans le chapitre "Vionnet" (Généalogie) à la page du "Général Vionnet", sous le titre "Souvenirs sur les campagnes de Russie et de Saxe".
Le 27 janvier 2005
En relisant dernièrement les oeuvres de Louis Pergaud, j'ai eu envie de lui consacrer quelques pages. Voici pour commencer trois nouvelles qui dépeignent, comme chaque fois, avec un sens aigu de l'observation et un art de conteur savoureux, l'atmosphère de la vie des paysans francs-comtois du début du XXe siècle : "La chute", "La dernière heure du condamné" et "L'argument décisif", à lire dans la partie "Récits".
Le 23 janvier 2005
Deuxième volet des extraits des "Souvenirs sur les campagnes de Russie et de Saxe" du Général Vionnet :"L'incendie de Moscou". A lire dans le chapitre "Vionnet" (Généalogie) à la page du "Général Vionnet", sous le titre "Souvenirs sur les campagnes de Russie et de Saxe".
Le 20 janvier 2005
Dans le chapitre "Récits", à la page de "Numa Magnin", ajout de sa biographie, sous le titre "Numa Magnin, le pédagogue franc-comtois".
Le 17 janvier 2005
Un grand nombre de quolibets locaux sont difficiles ou impossibles à expliquer. Ils font allusion à des moeurs disparues, à des usages ou à des faits historiques oubliés. En voici quelques-uns qui vous donneront un aperçu des railleries en cours autrefois dans les villages. Dans le chapitre "Généalogie", à la page sur l'origine de certains noms, sous le titre "Sobriquets".
Le 14 janvier 2005
Louis Joseph Vionnet (1769-1834), fils de cordonnier, retiré de l'école pour aller travailler à l'extraction dans une mine de fer, puis instituteur, troqua contre un sabre son abécédaire pour suivre l'empereur sur tous les champs de bataille. Plusieurs extraits de ses mémoires figurent déjà sur ce site dans un chapitre qui lui est consacré. Je le complète aujourd'hui par de nouveaux récits tirés de ses "Souvenirs sur les campagnes de Russie et de Saxe", rangés sous 8 titres. Voici le premier texte de cette série, intitulé "Du Niemen à Moscou", il nous relate l'arrivée à Moscou, du 6 au 14 septembre 1812. A lire dans le chapitre "Vionnet" (Généalogie) à la page du "Général Vionnet", sous le titre "Souvenirs sur les campagnes de Russie et de Saxe".
Le 13 janvier 2005
Je retrouve en fouillant mes malles, différents textes qui dépeignent, chacun à sa manière, l'atmosphère comtoise d'autrefois. J'ai inséré dans la partie "Récits", un nouveau chapitre baptisé "Raconte-toi Comtois" pour les réunir petit à petit. "l'Antoine" est la première de ces histoires.
Le 6 janvier 2005
Le pot au feu tenait autrefois dans l'alimentation de nos ancêtres une place plus importante qu'aujourd'hui, à la ville surtout. A la campagne, où il restait rare, il entrait d'ordinaire dans le menu de la fête patronale. Selon les dires de leurs voisins de Mouthe, les gens de Foncine le Haut étaient si pauvres qu'ils ne pouvaient jamais s'offrir un pot au feu. Ils avaient, paraît-il, trouvé une manière économique pour se payer ce plat à tour de rôle. L'histoire du pot au feu, à lire dans le chapitre "Activités d'antan", la page "Alimentation de nos ancêtres" sous le titre "Pot au feu".

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