Le 22/02/2024 | Au fil de mes randonnées bretonnes ou jurassiennes, je ramasse souvent des galets dont la forme, la couleur ou la texture m'ont attiré l'oeil. En voici quelques uns que j'ai transformés avant de les reposer sur d'autres sentiers.  Chapitre : Photos eau  Page : Nos rivières  Sous le titre : Galets peints. |
Le 12/01/2024 | Jacqueline Gensse a rassemblé dans un album les photos des classes de l'école de Foncine le bas depuis 1930 jusqu'en 1998 avec les noms de chaque élève.
Au fil des pages on découvre ou on reconnait, ceux qui se sont succédés entre ces murs. La galerie se termine avec un texte de son mari Gérard. Merci à eux pour cette jolie contribution.  Chapitre : Foncine le Bas  Page : L'école de Foncine le bas  Sous le titre : Les photos des classes de 1930 à 1998. | Le 28/02/2014 | Francis Bono, dans son livre sur Chapelle des Bois, raconte l’émigration des habitants de ce village vers le Canada à la fin du 19e siècle. Il y est question en particulier de Paul Alexandre Blondeau, qui fit ce voyage de 13000 kilomètres en 1895, avec son épouse Anna Pagnier et leurs 9 enfants.
Paul emporta dans ses bagages l’ancienne statue de Notre-Dame des Bois, en bois sculptée au couteau, qui ornait l’oratoire de Combe David.
Il existe au sud du Québec, un village du nom de Notre-Dame des Bois. C'est ce que m'apprend Mireille Guay qui connait bien Entre deux Monts et qui habite aujourd'hui au Québec.
Ce village a une altitude moyenne de 550 mètres et est l'un des plus hauts du pays. En septembre 2007, cet endroit a été reconnu 1ère "réserve de ciel étoilé" à l’échelle mondiale. C’est ici que se trouve le Parc national du Mont-Mégantic et son observatoire astronomique.
C’est aussi un lieu de pèlerinage, une chapelle du même nom, se situe au sommet du Mont Saint-Joseph.
Il est tentant d’établir un lien entre la statue de Notre Dame des Bois, rapportée de la Norbière et le nom de cette paroisse. Ce lien est incertain, car une distance de 3500 km sépare Domrémy, village du Québec où elle débarqua en 1895 et le village de Notre-Dame des Bois au pied des montagnes de marbre qui forment les frontières du New Hampshire et du Maine.
Francis Bono nous dit que cette statue était toujours à Domrémy en 1952.  Chapitre : Chapelle des Bois  Page : Combe David : Notre Dame des bois  Sous le titre : L'émigration vers l'Amérique. | Le 23/09/2013 | | Le 07/02/2013 | | Le 15/01/2013 | | Le 10/01/2013 | | Le 30/12/2012 | | Le 18/12/2012 | Cela ne se passait pas à Foncine le Bas. Les fonciniers n'était pas frondeurs. Mais en général la population du jura n'était pas disposée à laisser porter atteinte à ses intérêts économiques. Elle avait horreur de tout ce qui choquait l'égalité. Cet événement eut une grande répercussion dans toute a région où il imprima des traces profondes et durables.  Chapitre : Activités d'antan  Page : La contrebande  Sous le titre : La guerre des pommes de terre. | Le 10/12/2012 | Mireille Guay, qui habite le Québec et dont les parents et grands-parents habitaient Côte Pourret lieu dit de la commune d' Entre deux Monts, à l'est du village, a la gentillesse de m'envoyer plusieurs petites histoires racontées par sa maman, Colette Sergent. Elles font revivre d'une jolie manière la vie d'autrefois de nos villages. Voici la première de ces histoires.  Chapitre : Récits  Page : Raconte toi Comtois  Sous le titre : Une bonne farce. | Le 23/11/2012 | Le procès verbal des délibérations du Conseil Général du Jura d'avril 1889 consacre 40 pages aux routes et chemins du canton des Planches en Montagne.
Il faudra six ans de délibérations pour parvenir à un accord entre les communes sur la construction d'un chemin de grande communication.
Voici quelques extraits des délibérations :
 Chapitre : Routes et chemins  Page : Les côtes chaudes  Sous le titre : Les routes des Planches en 1889. | Le 10/07/2012 | | Le 09/07/2012 | | Le 15/06/2012 | | Le 05/02/2012 | Le fascicule concernant les "nouvelles destinations T.G.V entre Rhin et Rhône" distribué par la SNCF en décembre dernier, veut nous faire croire une fois de plus, qu'Alésia est en Bourgogne.  Chapitre : Rivières  Page : La Saine  Sous le titre : Même le TGV se trompe sur Alésia. | Le 25/01/2012 | Dans l' annuaire du département du Jura pour l'année 1848, Désiré Monnier nous en apprend un peu plus sur l'histoire de Cesancey qui ne s'est pas toujours orthographié de cette manière.  Chapitre : Généalogie  Page : Chavanelle  Sous le titre : Cesancey qui fut Sesencey. | Le 11/01/2012 | La "Voix du Jura" nous annonce le 22 décembre 2011 le décès d’ André Depierre, "un prêtre à peu près inconnu dans le Jura". Fin juillet puis début août 1995 ce journal lui a déjà consacré un long interview titré "François Mauriac m’a fait l’honneur de m’appeler son ami", qui en dit long sur cette vie surprenante.
Mais qui sait que c’est au Lac des Rouges Truites que ce tout jeune prêtre a eu la vocation de devenir le prêtre des plus pauvres ?  Chapitre : Entre deux Monts  Page : Le maquis Vauthier  Sous le titre : André Depierre, prêtre ouvrier. | Le 23/11/2011 | Jean Amadou qui nous a quitté le 23 octobre, n'avait pas oublié Lons le Saunier où il était né en 1929, route de Macornay.
En 2004 dans son livre "Et puis encore ... que sais-je ?" il consacre une page "aux petits trains haletant et crachant qui, les jours de marché, s’emplissaient de cageots, de légumes et de cages à volailles". Le tacot était de ceux là.  Chapitre : Trains  Page : Le temps du Tacot  Sous le titre : Amadou prend le tacot. | Le 15/11/2011 | Une étude a été publiée il y a quelques années, par les historiens de la forêt, Pierre Gresser et François Vion Delphin. Elle raconte les pratiques et les coutumes qui constituaient le quotidien des usagers de la Faye, entre Montrond, Crotenay et Champagnole. Entre le représentant de l'ordre, le gruyer, et les délinquants, les mésusants, les rapports étaient parfois tendus.  Page : Activités d'antan  Sous le titre : Mésusants et Gruyer. | Le 05/11/2011 | "Paysan Comtois" de septembre 1995 consacre dix pages à la race montbéliarde. Ce titre existe depuis 1872, mais il reste longtemps méconnu. Les vaches sont "de Morteau, de Maiche ... ". Mais en 1954, c’est le début d’une épopée. Et ce début se passe près de chez nous.  Chapitre : Activités d'antan  Page : La contrebande  Sous le titre : Montbeliardes en contrebande. | Le 23/10/2011 | Dans un article du "Progrès" de 2002, Charles Thevenin nous explique la législation compliquée et parfois cocasse, qui s’est construite au fil du temps sur l’usage de ces pâturages communaux que nous appelons les "pâquiers".  Chapitre : Villages  Page : Foncine le Haut  Sous le titre : Les paquiers. | Le 10/09/2011 | La délinquance est le reflet des tensions et conflits qui existent au sein d'une société. Dans une étude datée de 1983, Michel Vernus nous apprend le rôle que joue le "monitoire" dans l'enquête judiciaire sous l'ancien régime, et esquisse une typologie des formes de délinquance dans le Jura, à cette époque.  Chapitre : Routes et chemins  Page : Loin du village, le danger  Sous le titre : Les monitoires. | Le 28/08/2011 | | Le 22/08/2011 | Pêle mêle une série de photos, sous des ciels bleus ou noirs, de Chapelle des Bois, du Pic de l Aigle et d'autres endroits déjà connus.  Chapitre : Photos  Page : Photos voyages  Sous le titre : Paysages d été. | Le 15/08/2011 | Voici une suite d'articles concernant notre région, tirés des archives du journal "Le petit Comtois", pour la période 1893 à 1903. Ce quotidien régional apparait en 1893 et rencontre un succès qui va perdurer jusqu'à la fin de sa publication. Celle-ci intervient en 1944 à la suite d'un ordre de la Kommandatur.  Page : Activités d'antan  Sous le titre : Le Petit Comtois. | Le 01/08/2011 | Louis CLEMENT, maitre-émailleur est né à Foncine le Bas le 7 juillet 1882, et mort à Limoges le 30 juillet 1877.
On lui connaît sept tableaux, qu’il a donnés en 1956, au musée de Morez. L’un, l’ "Ecce Homo" est classé au patrimoine culturel.  Chapitre : Villages  Page : Foncine le Bas  Sous le titre : Louis Clement émailleur. | Le 23/07/2011 | Françoise Desbief, dans sa "Balade ferroviaire à travers le Jura", passe au pays des lacs, pays des fées et des chevaliers où les sorcières dansent.
Grandvalliere qu’elle est, elle ajoute que "du côté de Foncine, vers le Lac à la Dame, les sorciers ont les mêmes travers" et elle cite ce cas :  Chapitre : Foncine le Bas  Page : Les hameaux de Foncine le Bas  Sous le titre : Le Lac à la Dame. | Le 17/06/2011 | Il y a 250 ans, le facteur n'était pas fonctionnaire, mais salarié personnel du directeur de la poste, le receveur d'aujourd'hui, et son salaire était fonction des étrennes. Les archives de Besançon nous apprennent la malheureuse aventure d'un facteur bisontin au moment des étrennes.  Chapitre : Activités d'antan  Page : Le facteur  Sous le titre : Les étrennes d'un facteur en 1773. | Le 12/06/2011 | | Le 20/05/2011 | Syamour (Marguerite Gagneur) est connue pour ses œuvres et un peu plus encore depuis que l'on vient de proposer aux mairies, comme modèle pour la statue de Marianne, sa statue érigée dans le cimetière de Chatelneuf.
Ce que l’on ne savait pas, c’est qu’une œuvre inconnue de Syamour existe dans le cimetière de Chaux des Crotenay.
Cette découverte nous apporte également une réponse sur l’identité de celui qui repose dans l’énorme tombeau à la place 166.
 Chapitre : Chaux des Crotenay  Page : Eglise de Chaux des Crotenay  Sous le titre : Syamour et Richard Hammer. | Le 25/04/2011 | | Le 11/04/2011 | C’était au printemps 1939, un jeudi ou un dimanche. L’abbé Gaston FAURE emmene ses potaches en promenade.
Deux d'entre eux s'échappent discrètement pour venir demander un autographe au président de l'Assemblée Nationale, Edouard Herriot.  Chapitre : Récits  Page : Raconte toi Comtois  Sous le titre : Edouard Herriot à Bourg en Bresse. | Le 25/03/2011 | Avant 1905, les biens et les finances de la paroisse étaient gérés par Conseil de Fabrique, (bureau des margouillés). Entre deux Monts, propriétaire pour un tiers de ces biens avait un représentant à ce conseil.
Le 30 octobre 1841, Pierre MONNIER, maire d’Entre deux Monts est élu trésorier. Le 21 octobre 1844, Elie GIROD le remplace.
 Chapitre : Villages  Page : Entre deux Monts  Sous le titre : Sacrés catouillés. | Le 17/03/2011 | | Le 11/03/2011 | Il est beau ce col. Mais ce n’est pas à la nature qu’il doit sa beauté. C’est au maire d’Entre deux Monts. Le général Terrasson, relayé par Jean-Pierre Fumey nous le rappelle :  Chapitre : Villages  Page : Entre deux Monts  Sous le titre : Le col du Gyps. | Le 01/03/2011 | Il y a deux cents ans, détruire les loups était une nécessité.
L’administration créait les lieutenants de louveterie pour les battues et distribuait une prime pour chaque bête.
Un rapport de Christian Dugas de la Boissonny nous informe sur cette réglementation particulière.
Suit un texte d'Alfred de Vigny : "La mort du Loup".  Chapitre : Routes et chemins  Page : Loin du village, le danger  Sous le titre : La chasse au loup. | Le 15/02/2011 | L'histoire se passe au début du siècle dernier. La Thieulette et la Cernée sont deux pâtures au milieu du Mont Noir, que Joseph Vionnet (le Joussé à Gros Pierre), occupe chaque été avec son troupeau et ses fils. Ici, les vaches sont heureuses et les hommes tout autant.  Chapitre : Récits  Page : Raconte toi Comtois  Sous le titre : La Thieulette et la Cernée. | Le 01/02/2011 | | Le 11/01/2011 | Qui était cette Béatrix, de Chauvirey, de Joux, que l’on chantait ? dont la beauté est passée à la légende et dont J.B. Munier avoue que sa vie tient du roman, ce qui est vrai.
C’est qu’elle était la grand-mère de Nicolette de Salins, la femme de Simon de Commercy, le premier des sires de la Chaux des Crotenay. Elle est donc l’une des ancêtres, par filiation, mariage ou cousinage de tous nos sires, qu’ils soient de Commercy, d’Arbon, Poupet ou la Baume. Une longue lignée qui va de la gloire à la ruine.
Elle nous conduit aussi, par son ascendance, aux sires de Salins, connus, eux, depuis le Moyen Age, et dont Rougebief a écrit une histoire remarquable.  Chapitre : Les Planches  Page : Château-Vilain  Sous le titre : Béatrix de Salins. | Le 03/01/2011 | Les événements du 30 août 1944 ont été plusieurs fois relatés. Le récit émouvant qu’en a fait l’abbé Monneret, alors curé de Foncine le Haut, et qu’a repris le père Doudier dans son histoire de 1815-1980 est sans doute le plus connu. Mais l’origine de cet épisode tragique l’est beaucoup moins.
Georges ROUSSEAU a rédigé un compte-rendu qui relate les faits quart d’heure par quart d’heure, citant les lieux et les noms, les ordres et les mouvements.
Sans reprendre la totalité de son rapport concernant le Maquis du secteur "Les Planches Champagnole", en voici quelques extraits concernant les Foncines.
 Chapitre : Foncine le Haut  Page : Le 30 août 1944 à Foncine le Haut  Sous le titre : Le 30 aout 1944 par Georges Rousseau. | Le 01/12/2010 | | Le 10/11/2010 | Il est bien difficile de ne pas voir au cimetière de Chaux des Crotenay, à quelques mètres de l’entrée de l‘église, l’énorme tombeau au sommet duquel règne le portrait de Richard Hammer dont la notoriété est confirmée par une palme académique bien effeuillée.
On devine quelques autres noms pratiquement illisibles. Les cent ans de concession sont manifestement épuisés. Qui donc repose ici ?  Chapitre : Chaux des Crotenay  Page : Eglise de Chaux des Crotenay  Sous le titre : Célébrités ignorées du cimetière de la Chaux. | Le 01/11/2010 | Jean Druhen, dans son livre "700 ans déjà", en cent pages à peine, résume l’histoire de sa famille en la situant dans l’histoire de France, avec une verve, et un franc-parler extraordinaires.
Puisque l’année 2010 a été l’année d’Henri IV, que la presse et la télévision ont porté aux nues, pourquoi ne pas relire un extrait des quelques pages qu’il lui consacre :  Chapitre : Généalogie  Page : Origine de certains noms et sobriquets  Sous le titre : Henri IV, un autre visage du "bon roi". | Le 25/10/2010 | Un explorateur, au tout début du 19e siècle, avait décrit une pratique tout à fait originale de débardage, dans les hauts plateaux jurassiens.  Page : Activités d'antan  Sous le titre : Schlitteurs des neiges. | Le 19/10/2010 | | Le 13/10/2010 | On sait que l’église de la Chaux des Crotenay possède quelques meubles ou statues classés. L’une des statues, pourtant précieuse est peu connue, c’est la "Vierge à l’enfant" qui, ignorée des historiens d’art, n’a été tirée de l’oubli qu’en 2004. Un "véritable petit joyau", dit l’historienne Véronique Boucherat, qui lui consacre quatre pages dont voici un extrait :
 Chapitre : Chaux des Crotenay  Page : Eglise de Chaux des Crotenay  Sous le titre : La Vierge et l'enfant. | Le 12/10/2010 | | Le 02/09/2010 | | Le 26/08/2010 | Il n’y a pas que Vercingétorix qui a laissé son nom à Cornu. La Chaux des Crotenay à baptisé l’un de ses points touristiques "Belvédère à Taiclet" et ce point se trouve, comme l’ex-Alésia, à Cornu.
Qui était donc ce Taiclet qui mérite cet honneur?
Jean-Pierre FUMEY qui cumule les archives du village, le connaît bien. Il possède à son sujet, un dossier important, trop important pour trouver place ici. En voici quelques extraits :
 Chapitre : Villages  Page : Chaux des Crotenay  Sous le titre : Taiclet Joseph, hommicidé !. | Le 24/06/2010 | | Le 21/05/2010 | En juin 1864, un émigré qui veut revoir son cher Jura et le village où est né son père, fait étape à l'hôtel de la poste de Saint-Laurent en Grandvaux. Il écrit à un ami une suite de lettres, dans lesquelles il relate ses impressions et ses souvenirs d'enfance. (auteur Paule Méré, extraits de "la revue des deux mondes" 1864).
 Chapitre : Routes et chemins  Page : Le tracé de la RN5  Sous le titre : L'hôtel de la Poste de Saint-Laurent. | Le 27/04/2010 | | Le 26/03/2010 | Les Vionnet viennent de Vaulruz en Gruyère, et la Gruyère est le berceau du fromage du même nom. Ce sont les fromagers de cette région qui l’ont importé dans le Jura ... où il est devenu Comté. Comment les suisses fabriquaient-ils ce fromage ? C’est à travers les lettres de Madame de Gauthier, une française en voyage en Suisse au moment de la révolution, que nous l'apprenons, en même temps que ses impressions sur la Suisse et ses habitants. Cette dame de passage à Berne, veut voir Lauterbrunn et Gründenval pour y trouver des beautés que l’on ne trouve que dans les Alpes. Voici 3 pages extraites de sa correspondance qui viennent compléter le chapitre Itinéraires déjà existant déjà pour cette destination :  Chapitre : Itinéraires  Page : De Champagnole à Grindelwald (Suisse)  Sous le titre : Lettres d'une Française en Suisse en 1789. | Le 08/03/2010 | | Le 23/02/2010 | | Le 17/02/2010 | Il était né le 22 juin 1923 à la Chaux du Dombief et avait grandi aux Planches en Montagne. Il est décédé dans le Gard à Venejean, le 1er septembre 2009. Il y a une dizaine d’années, il m’avait prêté quelques pages où il racontait des souvenirs de son enfance à Montliboz. Je viens de retrouver ces pages et je suis heureux d’en offrir quelques extraits à ses cousins.  Chapitre : Généalogie  Page : Vionnet  Sous le titre : Jean Vionnet. | Le 03/02/2010 | En février 1943 avec la bénédiction de Vichy, les allemands créent le Service du Travail Obligatoire, imposé à tous les jeunes hommes nés en 1920, 1921 et 1922. Ils exigent immédiatement 150 000 ouvriers qualifiés. Voici comment, sans blessure et sans gloire, mais avec un brin de mémoire, je suis devenu réfractaire, clandestin, puis « terroriste ».  Chapitre : Entre deux Monts  Page : Le maquis Vauthier  Sous le titre : Le STO en 1943. | Le 25/01/2010 | La mobilisation du 2 septembre 1939 avait privé l’école "La Poyat" de Saint-Claude de plusieurs professeurs et surveillants. Pour les remplacer, le directeur avait fait appel à quelques anciens, à trois jeunes de moins de 20 ans. Voici les souvenirs de cette époque d'un "professeur malgré lui".  Chapitre : Récits  Page : Raconte toi Comtois  Sous le titre : La Poyat. | Le 04/01/2010 | C‘était en 1940, à la veille de la Pentecôte, et de trois jours de vacances. C’était aussi la fin de la drôle de guerre et la veille de la débâcle. J’avais prévu de monter jusqu’à Foncine depuis Saint-Claude. Mon vélo était lourd; il faisait chaud et je n’allais pas réussir à étancher ma soif avant mon arrivée. Voici pourquoi :  Chapitre : Raconte toi Comtois  Page : Vacances en Grandvaux en août 1940  Sous le titre : Cinquième colonne. | Le 14/12/2009 | | Le 16/11/2009 | Qui étaient les habitants des Foncines et des Planches il y a 350 ans ?
Un ouvrage intitulé "La population de Franche Comté au lendemain de la guerre de trente ans", reprend les recensements nominatifs de 1654, 1657 et 1666 et donne quelques éléments de réponse.  Chapitre : Villages  Page : Foncine le Bas  Sous le titre : Recensement de 1657. | Le 30/10/2009 | A l’origine les chemins n’étaient que de simples sentiers tracés presque au hasard. En 1726, après la chute du système Law (quelque chose comme la crise de 2009), l’état déplorable des chemins et des routes avait déterminé les intendants à exiger des communautés quelques journées pour les réparer et en faire de nouveaux. C’est l’origine des Corvées.  Chapitre : Routes et chemins  Page : La construction des premières routes de Chapelle des Bois  Sous le titre : Les corvées. | Le 25/10/2009 | Louis XI est passé deux fois à Saint-Claude, et ce n’est pas à son premier passage qu’il a mérité que son nom soit donné à une place. Un rapport concernant ce premier pèlerinage ne manque pas d’intérêt. En voici un extrait :  Chapitre : Routes et chemins  Page : Nobles voyageurs  Sous le titre : Louis XI à Saint-Claude. | Le 18/10/2009 | Morillon est connu depuis longtemps.
En 1213, et sans doute avant, on trouve ce nom autant dans l’histoire du Grandvaux que dans celle du Haut-Doubs.
La "Vie de la Serre" - une courte partie de l’ancienne route de Salins à Genève - a survécu jusqu’à l’arrivée du chemin de fer. C’est dans cette période que Morillon a vécu ses "années de gloire".
Voici, pour compléter les pages qui existent déjà, quelques lignes, relevées sur de vieux ouvrages, qui témoignent de sa célébrité.  Chapitre : Entre deux Monts  Page : Morillon, porte du Haut-Jura  Sous le titre : Morillon, un relais important. | Le 16/10/2009 | | Le 15/10/2009 | | Le 08/10/2009 | Dans son livre "Ce que je n’oublierai jamais", Victoria Cordier raconte simplement et sans gloriole, sa vie et celle de son équipe de1941 à 1945. De Foncine le bas, en passant par la Grange à l’Olive, Combe David, la Norbière, jusqu'au Risoux et le Gy de l’Echelle, c’est un plaisir de retrouver ces sentiers qu’elle a parcourus à pied, à vélo, à cheval avec son équipe de "passeurs".
Voici, tiré de son livre, le récit de deux de ses actions dangereuses et pittoresques :  Chapitre : Entre deux Monts  Page : Le maquis Vauthier  Sous le titre : Victoria Cordier. | Le 10/09/2009 | En 1798, notre député Lequinio, en voyage dans le Jura, s'etonne sans cesse de ce qu'il découvre.
Avant d'arriver à Foncine, il passe aux Planches et compare les gorges de la Langouette à une rue étroite de Paris, dont les facades auraient le double de hauteur.  Chapitre : Morillon, porte du Haut-Jura  Page : Mourillons sur l'Esme  Sous le titre : Lequinio à Foncine. | Le 05/09/2009 | J.B.Munier consacre, dans l’un de ses livres, un chapitre sur les "Cavernes et grottes du canton des Planches en montagne". Deux de ces grottes se situent sur Foncine le Bas. De toutes celles du canton, ce sont les plus intéressantes. Elles viennent après la Grande Cheminée. la grotte du curé Morel, les cavernes à l’ours, Poutin, le Trou du chapeau, le Rocher. Elles sont de loin, les plus profondes et apparemment les moins connues.
Voici les pages concernant ces deux grottes :  Chapitre : Villages  Page : Foncine le Bas  Sous le titre : Grottes et caverne de Foncine. | Le 27/08/2009 | Thaïs Paget est née à Foncine le Haut en 1816. D’abord institutrice à Sombacour, puis maîtresse des novices des sœurs blanches de la rue Picpus de Paris, elle devient sœur Cyrilla et le 15 décembre 1842 part pour les îles Sandwich. Le voilier fait naufrage au large des Malouines; c’est seulement en 1870 que son frère, Jean-Olympe sut ce qui s’était passé; il le raconta à l’abbé Léon Bourgeois :  Chapitre : Routes et chemins  Page : Du Haut-Jura au Québec  Sous le titre : Les Soeurs Paget. | Le 22/08/2009 | Joseph Marie Lequinio (1755 - 1814), le député breton qui voyageait dans le Jura en l’an VI, venait de passer à Champagnole qu’un incendie resté dans les mémoires, avait détruit. A Syam il avait constaté que les taupes avaient saccagé toutes les prairies. Il avait également remarqué d'autres curiosités.
Il nous apprend qu'en 1798, une promenade le long du Rachet pouvait consoler un député de ses déboires.  Chapitre : Entre deux Monts  Page : Morillon, porte du Haut-Jura  Sous le titre : Mourillons sur l'Esme. | Le 15/08/2009 | On sait que le marquis Albert Eugène de Lullin seigneur de Genève Lullin, épousa en juillet 1622, Catherine de la Baume, dite aussi Catherine de Bruges, qu’il devint par ce mariage, seigneur de la Chaux des Crotenay où il vint habiter amenant avec lui la famille d’Avonay, et que sa Catherine fut inhumée dans l’église de la Chaux.
On sait moins qu’il était, en 1668, gouverneur de Gray, où il se trouva en face de XIV et d’un autre franc-comtois, bien connu, Dom Juan de Watteville.
Henry Mercier nous raconte dans son livre, d’abord la légende, puis l’histoire de Dom Juan de Watteville.  Chapitre : Chaux des Crotenay  Page : Les seigneurs de la Chaux  Sous le titre : Le marquis de Lullin face à Louis XIV. | Le 15/06/2009 | | Le 10/06/2009 | Joseph Marie Lequinio (1755-1814) est un breton qui se distingue durant la Révolution par son activité politique.
En 1798 il est inspecteur des forêts. C’est sans doute ce qui lui permet de visiter le Jura et de rédiger un rapport qui lui vaut d’être encore cité souvent par les historiens de chez nous. Le Jura n’est pas la Bretagne et le surprend souvent. Les tuyés, qui sont pour lui des "tuyaux", l’étonnent.
Il consacre cinq pages à la description des habitations. Voici un extrait où il décrit l'étrange cheminée :  Chapitre : Activités d'antan  Page : L'habitation de nos ancêtres  Sous le titre : Les tuyés, vus par Lequinio. | Le 30/05/2009 | | Le 20/05/2009 | | Le 15/05/2009 | Chacun sait que la bataille d'Alésia s'est déroulée à Cornu, et non à Salins. La troisième bataille l’a démontré. Il serait cependant dommage que l’on oublie les quelques pages que Max Buchon consacre à Vercingétorix dans son "Histoire de Salins". Il est vrai que Max Buchon était un fanatique de son pays. Il est vrai aussi qu’il écrivait cette histoire en 1862, c’est à dire juste un siècle avant le portrait robot créé par André Berthier. Voici un extrait de son livre :
 Chapitre : Entre deux Monts  Page : Le col du Gyps  Sous le titre : Alésia selon Max Buchon. | Le 04/05/2009 | | Le 06/04/2009 | C’est dans les années 1920 que l’électricité arrive dans les communes du canton des Planches. A Foncine le bas, c’est Albert VUILLET, avec ses fils Fernand et Maurice, qui s'occupe de ce projet.  Chapitre : Villages  Page : Foncine le Bas  Sous le titre : Foncine électrifié. | Le 01/04/2009 | Cela se passe en 1791 et c’est un suisse qui raconte son voyage.
Son journal est doublement Intéressant puisqu'il nous décrit comment se passait un voyage en diligence, et que cette diligence passait, comme celle du grandvallier Bouvet, devant la Vierge de Morillon, puis par Maison Neuve devenu notre Pont de la Chaux. En voici des extraits:
 Chapitre : Activités d'antan  Page : Les diligences  Sous le titre : De Genève à Paris, par Morillon, en 1791. | Le 30/03/2009 | Thérèse Bailly a eu la gentillesse de m'envoyer trois photos et quelques informations pour complèter la page sur la chocolaterie JACQUIN.  Chapitre : Villages  Page : Foncine le Bas  Sous le titre : Famille Jacquin. | Le 23/03/2009 | | Le 05/03/2009 | | Le 02/03/2009 | | Le 25/02/2009 | En 1845, Xavier Marmier dans ses souvenirs de voyage, nous décrit une activité d'appoint pratiquée par les habitants d'Entre les Fourgs durant l'Hiver : Cloutier.  Page : Activités d'antan  Sous le titre : Cloutier à Entre les Fourgs. | Le 23/02/2009 | Entre 1815 et 1848, a lieu une nouvelle tentative de colonisation de la Guyane Française, en particulier dans le secteur de la rivière Mana. 200 colons venus du Jura s’y installent. Ils cultivent le rocou, le coton, la canne à sucre, et le clou de girofle. Mais la découverte de mines d’or fait oublier ces cultures.
Henri A. Coudreau, dans ses "Etudes sur les Guyanes et l’Amazone" rapporte un cas particulier intéressant :  Chapitre : Routes et chemins  Page : Du Haut-Jura au Québec  Sous le titre : du Jura à la Guyane. | Le 18/02/2009 | | Le 12/02/2009 | | Le 09/02/2009 | Les " Serrettes", c'est un petit coin à 1500 mètres du village, caché entre les sapins du Mont Noir et la Sainette.
Au delà, il n’y a que des sentiers qui partent à travers bois. Les voitures ne vont pas plus loin.
C’est ici qu’est née Micheline, qu’elle a grandi, qu’elle a vu vivre et travailler ses parents à une époque où on ne connaissait ni l’électricité ni l’essence.
Elle s’en souvient et le raconte, à sa façon, et c’est un plaisir de la lire. Voici, toute crue, sa page sur la batteuse :  Chapitre : Raconte toi Comtois  Page : La vie aux Serettes  Sous le titre : La batteuse à Foncine. | Le 05/02/2009 | | Le 02/02/2009 | La chasse aux sorciers s'installe dans la Haut-Jura à la fin du XVIe siècle. Une quarantaine de procès se dérouleront sur une période d'environ soixante ans. Un texte tiré du Progrès de septembre 2007, nous rappelle qui était Henry Boguet, Grand Juge de Saint-Claude, qui menait cette inquisition.  Chapitre : Activités d'antan  Page : Superstitions  Sous le titre : L'inquisition dans le Haut-Jura. | Le 26/01/2009 | En 1754, Mandrin et sa bande traversent par 4 fois le Jura.
En juillet, la troupe passera par Champagnole. Mandrin n'y commet aucune nuisance. Mais les dégâts "collatéraux" ont détruit une bonne partie de la vieille enceinte médiévale. Voici un article du "Progrès" qui rappelle ces 4 raids éclairs.  Chapitre : Les chemins du sel  Page : Le sel comtois  Sous le titre : 1754, une année de feu. | Le 23/01/2009 | | Le 22/01/2009 | En glanant dans l"Histoire des Foncines" de Jean-Baptiste Munier, je trouve quelques passages qui viennent complèter le chapitre de ce site consacré aux mariages d'autrefois.  Page : Activités d'antan  Sous le titre : Mariages et Funérailles. | Le 19/01/2009 | Un article du Progrès du 25 juillet 2007, donne quelques informations sur l'origine du nom du hameau des "Ruines".  Chapitre : Villages  Page : Foncine le Haut  Sous le titre : Les Ruines. | Le 15/01/2009 | La "Vie du Rail", dans son numéro de décembre 1965, consacre à JOUEF quatre pages très illustrées. On y lit qu'à cette époque, Foncine était considéré comme le "Royaume du jouet ferroviaire".
Laissant de côté les paragraphes techniques, voici quelques lignes intéressantes et photos tirées de ce numéro.
 Chapitre : Villages  Page : Foncine le Bas  Sous le titre : Jouef et les lunetteries. | Le 26/12/2008 | | Le 20/12/2008 | Jean MICHEL donne quelques renseignements sur la famille d’Aubin POUX-BERTHE, qui a tenu une place importante à Foncine le bas, vers les années 1880- 1930. Par son épouse, Anne Pouillard, il appartient à cette famille qu’il connaît bien.
Je suis heureux de pouvoir, grâce à lui, ajouter à la page sur les familles de Foncine, quatre photos de cette époque, et un texte tiré d’un récit écrit en 1883, concernant Achille POUX, celui qui a quitté Foncine avec sa famille pour la Pennsylvanie.  Chapitre : Foncine le Bas  Page : Les fonciniers en 1756  Sous le titre : Famille Poux. | Le 16/12/2008 | Joseph Liboz (1906 - 1998) fut le dernier patron de la forge de Foncine le Bas. Ce bâtiment, qui fait parti du patrimoine du village, appartient à la famille Liboz depuis 1834. On trouve la trace de l'installation d'un martinet à cet emplacement, en 1790.
 Chapitre : Foncine le Bas  Page : Les scieries de Foncine le Bas  Sous le titre : La forge de Joseph Liboz. | Le 11/12/2008 | Madame Longchamp vivait dans le hameau des Ruines près de Foncine le Haut. Dans sa jeunesse, elle descendait deux fois par jour, à pied, été comme hiver, travailler dans une lunetterie de Foncine le Bas.
En 1986, elle racontait entre deux cigarettes, ses souvenirs de cette période à un journaliste du "Progrès".  Chapitre : Foncine le Haut  Page : Les Ruines  Sous le titre : Lunetiers des Ruines. | Le 05/12/2008 | Il y a des gens qui aiment les chevaux; d'autres les chiens; d'autres les chats, ... Combien y en a-t-il qui portent aux boeufs un intérêt analogue ?
Le boeuf n'a ni le coûteux éclat du cheval, ni la servilité du chien, ni l'indolence du chat, ni la maussaderie de l'âne, et cependant le boeuf est sobre et robuste comme l'âne, songeur comme le chat, sympathique comme le chien et fort comme le cheval.
Dans son livre "Le Matachin", Max Buchon (né en 1818 à Salins) rend au boeuf un bel hommage.  Chapitre : Activités d'antan  Page : Les voituriers  Sous le titre : Un hommage au boeuf. | Le 25/11/2008 | | Le 18/11/2008 | Son nom apparaît sur tous les livres parus depuis 50 ans et traitant d’Alésia. Il figure sur toutes les cartes.
Ce col donnait passage à une "vie" importante et en l’an 52 avant J.C., il fut le témoin de la fin de la Gaule.
Une des missions du château de Chaux des Crotenay était de protéger la route de Genève et donc ce col. Vous trouverez sur cette page quelques photos des vestiges de ce château.
 Chapitre : Villages  Page : Entre deux Monts  Sous le titre : Le col du Gyps. | Le 08/11/2008 | Le 13 juin 1940 marque le début de la grande vague de l’exode des populations venues d’Alsace et de Lorraine. Elle atteint son paroxysme le 16 juin. Il y a ceux qui partent en train, comme le raconte Jean Cuynet dans son livre "La bataille du Rail en Franche Comté", et ceux qui sont jetés sur les routes. Durant ces jours sombres, la route de Malvaux mérita bien son nom.  Chapitre : Raconte toi Comtois  Page : Vacances en Grandvaux en août 1940  Sous le titre : Juin 1940 à Foncine le Bas. | Le 27/10/2008 | | Le 23/10/2008 | Voici, pour complèter la page "Portraits de Comtois", une nouvelle description du caractère du Haut-Jurassien, tirée du livre de Michel Grand-Clément. Il y est aussi question de Lamartine, dont les ancêtres étaient originaires de la région de Saint-Claude.  Chapitre : Raconte toi Comtois  Page : La montagne jurassienne  Sous le titre : Portraits de comtois. | Le 20/10/2008 | Entre 1275 et 1291, se tint trois chapitres généraux, chargés de la codification des règlements de l'Abbaye de Saint-Claude.
Les moines devaient être habillés d'étamine, étoffe de laine ou lin de fil léger, couleur blanche ou écrue.
Un article précise que, défense est faite aux religieux de prêter leurs robes aux farceurs.
Ceci prouve que des farceurs se travestissaient à certains jours avec de doctes défroques, pour amuser le public.
Michel Grand-Clément, dans son livre "Histoires populaires du Haut-Jura", tente de retrouver dans ces manifestations populaires de carnaval qui remontent au XIIIe siècle, l’origine des "Soufflaculs" de Saint-Claude.
 Chapitre : L'habitation de nos ancêtres  Page : Autres coutumes  Sous le titre : Les Soufflaculs. | Le 08/10/2008 | | Le 05/09/2008 | Qui êtes vous Monsieur Asantcheeff ?
C'est le titre d'un dossier de 23 pages, oeuvre de Gérard Hartmann, trouvé au cours d'une promenade sur internet.
Les fonciniers qui se souviennent de Monsieur Asantcheeff qui vivait discrètement avec sa famille sur les bords du Galaveau, se sont peut-être posé la même question. Voici la réponse de Gérard Harmann, tirée de son dossier, les parties trop techniques étant écartées.  Chapitre : Villages  Page : Foncine le Bas  Sous le titre : Monsieur Asantcheeff. | Le 26/07/2008 | | Le 21/07/2008 | En octobre 1968, Antoinette BRENET, à peine sortie de la Sorbonne, arrive au lycée Laveran de Constantine. Elle y retrouve André Berthier, directeur de la circonscription archéologique de Constantine.
Voilà réunis deux latinistes qui vont lire, relire et retraduire les textes de Jules César et de Salluste et découvrir qu'Alésia est à la Chaux des Crotenay et nulle part ailleurs ... Encore fallait-il le confirmer sur le terrain, et c'est là que débuta une guerre de trente ans.
Elle me permettra d'emprunter deux pages de son livre "Les escargots de la Muluccha" où elle relate la découverte de notre canton, en 1963, par deux grands savants venus de Constantine.  Chapitre : Rivières  Page : La Saine  Sous le titre : Que la nature est belle entre Saine et lemme. | Le 17/07/2008 | Le 6 Avril 1951, j'avais pour la première fois les honneurs du journal officiel. Je figurais sur la liste des sous officiers de chancellerie inscrits au tour de départ pour l'Extrème-Orient avec le numéro 27 sur 51.
J'allais passer 2 ans et demi dans un pays étonnant dont voici quelques souvenirs.  Chapitre : Récits  Page : Raconte toi Comtois  Sous le titre : de Foncine à la Cochinchine. | Le 10/07/2008 | | Le 30/05/2008 | | Le 14/05/2008 | On trouve dans le livre de L'abbé Berthet, "Les Rousses" (1988), une étude de l'évolution de la circulation des personnes et des marchandises, depuis le XVIIIe siècle.
Il y est question des taxes sur les marchandises transportées.
Jusqu'à la conquête française, il n'y eut pas de douanes à proprement parler à la frontière. Le commerce était presque totalement libre. Toutefois, les péages prélevaient une taxe sur les marchandises. L'abbé Berthet nous rappelle de quelle manière ces pratiques ont évolué après le traité de Nimègue, avec la mise en place, par Colbert, pour la collecte de l'impôt, de la toute puissante "Ferme Générale", et enfin avec la création en 1791, de l'administration des Douanes.  Chapitre : Routes et chemins  Page : La construction des premières routes de Chapelle des Bois  Sous le titre : Evolution du trafic routier. | Le 25/04/2008 | | Le 11/04/2008 | Les sapins du Mont-Noir sont exploités depuis que la région est habitée. Ils ont été utilisés d’abord par les particuliers, puis par les scieries, mais bien vite les plus beaux ont été réservés pour la Marine, civile ou plus souvent militaire. Il fallait donc les transporter et bien loin. L‘almanach Comtois de 2008 publie à ce sujet un article très intéressant.
 Chapitre : Activités d'antan  Page : Les voituriers  Sous le titre : Le transport du bois. | Le 04/04/2008 | On lit dans l’Almanach Comtois de 2008 deux pages intéressantes sur un revenant du Lac de Bonlieu et je me permets de les emprunter pour tenir compagnie à celles consacrées au Lac à la Dame. Ce lac est superbe, bien plus beau que le nôtre. Se promener sur sa rive sud est un délice. Monter jusqu’au belvédère au coucher du soleil tout autant. Le revenant de Brigitte Rochelandet est certes un enfant de choeur comparé à nos sorciers et sorcières, ou à nos loups-garous. Mais le lac de Bonlieu a aussi ses légendes, témoin celle de Claude Vaudrey, le sire de l’Aigle, qui fut enlevé de son château directement au ciel sur son cheval blanc par la fée Burgondia et que l'on apperçoit quelques fois dans les airs au dessus du lac de Bonlieu, armé et casqué. Le magnifique coursier semble parfois effleurer le sol pour rebondir vers une cime. Ce lac a aussi son histoire.
 Chapitre : Les hameaux de Foncine le Bas  Page : Le Lac à la Dame  Sous le titre : Le Lac de Bonlieu. | Le 15/03/2008 | C’est un petit lac, très poissonneux, de deux ou trois hectares et profond d’à peine 15 mètres. Sur sa rive nord un petit hameau, à l’extrémité ouest les Monnets, à l’autre extrémité une seule maison proche d’un pont qui donne passage au Seigne, ruisselet, qui s’en va rejoindre la Saine par Grataloup, au bas de Malvaux. Outre la route qui le relie à Foncine le Bas par les Fumey et à Fort du Plasne, ce hameau est proche d’un chemin forestier menant à la Vie du Four puis à Entre deux Monts. Ce chemin était encore très fréquenté en 1925. La Gabrielle, la sage femme de la Sange Renaud, comme le père Blondeau menuisier à Foncine le bas l’empruntaient régulièrement, à pied bien sûr.
 Chapitre : Foncine le Bas  Page : Les hameaux de Foncine le Bas  Sous le titre : Le Lac à la Dame. | Le 01/03/2008 | Lucien RUTY est à la fois généalogiste et historien. Ses ancêtres vivaient, dès le XVème siècle, aux Ruines. C’est donc tout naturellement que dans ses livres on retrouve soit le hameau des Ruines, soit des habitants des Ruines, en opérations contre les Schwedes, ou avec Charles le Téméraire, les Croisés, Bonaparte, Napoléon ...
Il me pardonnera de lui emprunter quelques extraits de son récit historique "Les sept vies du Burgonde" que certains fonciniers n’ont peut-être pas lus.
 Chapitre : Villages  Page : Foncine le Haut  Sous le titre : Les Ruines. | Le 17/02/2008 | C’est au début des années 1900 que l’industrie du marbre fut la plus développée dans le Jura.
Il y avait 3 grands sites : la région doloise, la région de Saint Amour, la région de Saint-Claude.
Il y avait aussi de nombreuses petites carrières exploitées localement. Au Moyen-Age, Foncine le Bas faisait partie de ces sites et a produit des blocs à l'origine de sculptures prestigieuses telles le tombeau de Marguerite d'Autriche ou celui de Jean sans Peur.
 Chapitre : Foncine le Bas  Page : Les scieries de Foncine le Bas  Sous le titre : Foncine, un pays de marbre. | Le 14/02/2008 | Le 31 mai 1793 la révolution française bascule : la convention, c'est à dire l'assemblée nationale, s'en prend à une partie d'elle-même. La faction montagnarde appuyée par la commune parisienne, se débarrasse des républicains modérés, les Girondins. Une vingtaine sont arrêtés, jugés sommairement et guillotinés. Les autres en fuite connaitront une fin tragique. Jean-Baptiste Louvet est l'un des rares députés girondins à passer à travers les mailles du filet. Devenu clandestin il se réfugie en Suisse via le Jura. Il se cachera comme beaucoup d'autres pendant plusieurs mois, au Creux-Maldru.
 Chapitre : Foncine le Bas  Page : La révolution à Foncine  Sous le titre : Un Girondin au Creux Maldru. | Le 08/02/2008 | On sait que c'est Pierre Hyacinthe Caseaux, qui fabriquait du fil de fer grâce à l'eau du Bief de Chaille à Morez, qui a amené la lunetterie dans cette région. On sait moins que les lunettes étaient connues bien avant. Dans son "Histoire des Rousses", l'abbé Marc Berthet consacre quelques pages à cette vie antérieure qui ne manque pas d'intérêt.
 Page : Activités d'antan  Sous le titre : Apparition de la lunetterie. | Le 28/01/2008 | Comme beaucoup de ceux qui ont grandi à Foncine le Bas et qui ont dû s’expatrier, Claude Amanton se souvient avec émotion et nostalgie du temps où notre village "était encore relativement vierge et sauvage, où on ne parlait ni de remembrement ni de plan d’occupation des sols, où les oiseaux pouvaient encore nicher".
Il vient de commettre ce qu’il appelle un "roman inspiré de faits historiques et dont les personnages sont imaginaires."
L’action de ce roman se situe en partie en Algérie, au temps des "opérations de maintien de l’ordre" et en partie autour de la poste de Foncine le bas où il a grandi.
Il a bien voulu m’autoriser à lui voler quelques paragraphes tirés de cette seconde partie. Je sais que certains de ceux qui ont quitté Foncine les liront avec plaisir.
 Chapitre : Raconte toi Comtois  Page : La vie aux Serettes  Sous le titre : Souvenirs d'enfance à Foncine. | Le 24/01/2008 | Cet autre livre, d'Auguste Bailly, après un court roman, comporte treize nouvelles.
Le quartier des Rochats, où l’auteur a vécu sa retraite, y est souvent cité. Le sont aussi les villages du Grandvaux et les chemins qui conduisent au Brassus en passant par le Mont-Noir et le Risoux. Les expressions, les attitudes d'il y a 150 ans, y sont étonnamment vivantes de réalisme.
Ces textes sont souvent des farces burlesques, quelques unes sont plus émouvantes, voire tragiques. Le style imagé d’Auguste Bailly qui connaît bien son monde, nous offre une fois encore, une série de personnages au caractère trempé et de tableaux de la vie au Grandvaux, qui viennent complèter la collection que nous avions déjà.
Comme chez Numa Magnin, la morale n'est jamais loin. Mais là où son compatriote parle du bien, Auguste Bailly termine souvent ses textes par une pointe de désespoir en soulignant l'injustice qui s'abat sur son personnage, parfois au delà de la mort, et en montrant souvent le côté sombre de l'esprit humain.
 Chapitre : Récits  Page : Auguste Bailly  Sous le titre : L'Homme Errant. | Le 17/12/2007 | L'oeuvre poétique de Louis Pergaud se compose de deux recueils parus, le premier, "l'Aube", en 1904, le second, "l'Herbe d'Avril" en 1908, et d'un assez grand nombre de poèmes publiés dans de petites revues depuis longtemps oubliées ou demeurés inédits. Tous, à une exception près, sont antérieurs à "De Goupil à Margot". Voici quelques poèmes tirés de son deuxième recueil.  Chapitre : Récits  Page : Louis Pergaud  Sous le titre : Poèmes de L. Pergaud. | Le 13/12/2007 | Quelques extraits de "Saint-Esprit", choisis hors de la trame du roman, mais relatant la vie des hommes, celle de la faune, des oiseaux, des sapins … de tout ce qui peuple le Mont-Noir.
"Saint-Esprit" n'a pas eu, comme "la Carcasse et le Tord Cou", les honneurs du cinéma, et il est maintenant bien oublié. C'est dommage !
Rappelons que tout ceci se passe avant 1926.
 Chapitre : Récits  Page : Auguste Bailly  Sous le titre : Saint-Esprit. | Le 12/12/2007 | Dans cet extrait de "Saint-Esprit", la scène se déroule dans le café de Chapelle des Bois. Le personnage principal tente de convaincre son auditoire, de renoncer à remplacer le chalet communal, corporatif, par un chalet modèle. Il énumère les inconvénients qu'il devine dans ce progrès et rappelle les habitudes et les coutumes qui disparaîtront irrémédiablement avec lui.  Chapitre : Récits  Page : Auguste Bailly  Sous le titre : Le vieux chalet. | Le 11/12/2007 | Le tableau se passe à Fort du Plasne et les acteurs sont des granvalliers. C'est normal, l'auteur, Auguste Bailly (1878-1967) né à Lons-le-saunier, d’un père granvallier et d’une mère piémontaise, vivait à Saint-Laurent.
Mais qui se souvient que "l'héroïne" est une foncinière et mieux encore de Foncine le bas. Alors les granvalliers me pardonneront d'emprunter à ce chef d'oeuvre quelques morceaux choisis, dans lesquels les fonciniers du bas, surtout ceux qui sont expatriés, se reconnaîtront.
 Chapitre : Récits  Page : Auguste Bailly  Sous le titre : La Carcasse et le Tord Cou. | Le 10/12/2007 | Auguste Bailly (1878-1967) naît à Lons-le-saunier, d’un père grandvallier et d’une mère piémontaise. Il aurait été dommage de ne pas lui consacrer un chapitre sur ce site, puisque plusieurs de ses romans ("La Carcasse et le Tord-Cou", "Saint-Esprit", "L'homme errant") se déroulent non loin de notre région.
En voici quelques extraits :  Page : Récits  Sous le titre : Auguste Bailly. | Le 10/11/2007 | Nozeroy a célébré cette année le 500e anniversaire de la naissance de Gilbert COUSIN. Ceux qui se sont trouvés des ancêtres dans le secteur de Mouthe ou Nozeroy, ont sans doute découvert que cet homme célèbre était un peu leur lointain cousin, et ils seront heureux de lire ou de relire l'article, paru dans le Progrès de Lyon en 2005.  Chapitre : Généalogie  Page : Origine de certains noms et sobriquets  Sous le titre : Gilbert Cousin, un humaniste Comtois. | Le 31/10/2007 | L'impôt qui soulevait le plus de malédictions était la gabelle, parce qu'elle était aussi cruelle par les vexations de sa perception que meurtrière par l'énormité de son chiffre. C'est peut-être, selon Jean-Baptiste Munier, à cause d'elle que les jurassiens sont devenus contrebandiers.  Chapitre : La contrebande  Page : Les contrebandiers du sel  Sous le titre : La Gabelle. | Le 22/10/2007 | Quelles sont les origines de la Séquanie, de la Franche-Comté, de tel lieu ou de telle plante connue dans la région ? Des questions, auxquelles les légendes apportent souvent des réponses pittoresques. Voici un extrait du livre de Georges Bidalot : "Franche-Comté, terre de légendes".  Chapitre : Activités d'antan  Page : Superstitions  Sous le titre : Les origines. | Le 16/10/2007 | Ceux qui ont eu 15 ans à Foncine dans les années 30 se souviennent de la Zulma qui tirait les cartes et de son mari, le Boër, dont on se demandait d’où lui venait ce nom. Pierre Longchamp nous apporte la réponse.  Chapitre : Raconte toi Comtois  Page : La vie aux Serettes  Sous le titre : La Zulma et le Boër. | Le 10/10/2007 | Jadis, les superstitions pour retarder ou éviter la mort, ne manquaient pas. Il y avait les présages, signes inéluctables annonçant qu'elle était proche, et il y avait les mille et une petites choses, auxquelles il fallait prendre garde pour entraver son oeuvre. Toujours tirés du livre "Médecins, médecines et superstitions dans la Franche-Comté d'autrefois" voici un nouvel extrait.  Chapitre : Activités d'antan  Page : Superstitions  Sous le titre : La mort et les superstitions. | Le 29/09/2007 | Garder la santé, soulager la douleur, retarder la mort, tout cela sans recourir aux soins d'un médecin était un soucis quotidien pour nos ancêtres. Il suffisait pour cela de fabriquer soi-même ses remèdes à partir de recettes transmises de génération en génération. Parallèlement, le roi Louis XIV avait ordonné qu'il soit envoyé, chaque année, dans les campagnes, des remèdes destinés aux pauvres. Voici sur ces sujets, un extrait du livre "Médecins, médecines et superstitions dans la Franche-Comté d'autrefois" de Jean-Louis Clade.  Chapitre : Activités d'antan  Page : L'hygiène au XIXeme siècle  Sous le titre : Remèdes royaux et remèdes miracle. | Le 01/09/2007 | Pierre Longchamp, qui connaît bien Foncine et les fonciniers, a eu la gentillesse de m'envoyer une cassette sur laquelle il a enregistré oralement, toute une série d'anecdotes. Il raconte, entre autres, une visite durant l'été 1968, chez Mme Jules Jobard, que tout le monde, à Foncine, prénommait "tante Rose". Voici une copie de cette scène. Certains pourront y retrouver une atmosphère qu'ils connaissent.  Chapitre : Récits  Page : Raconte toi Comtois  Sous le titre : Un après midi chez Tante Rose. | Le 15/08/2007 | Le calendrier de l'abbé Léon Bourgeois-Moine, tiré de ses "Recherches historiques sur Chapelle des Bois" est complèté par une liste d'évènements, qui débute en 790, date à laquelle Charlemagne concède à Richebert, abbé de Condat, la forêt du Jura jusqu'à l'Orbe, et se termine en 1760.  Chapitre : Villages  Page : Chapelle des Bois  Sous le titre : Chapelle des Bois, de 790 à 1760. | Le 08/08/2007 | | Le 26/07/2007 | Qui était ce TATI qui a laissé son nom à un pont routier de la RN5, entre le Pont de la Chaux et la Billaude ? Le "Progrès" donne la réponse dans un de ses numéros de mai 2007.  Chapitre : Routes et chemins  Page : Le tracé de la RN5  Sous le titre : Le Pont Tati. | Le 18/07/2007 | | Le 13/07/2007 | Au départ de champagnole, un autre itinéraire vers la Suisse, à destination de Lauterbrunnen, près de Grindelwald, pour découvrir le Schiltorn, avant de revenir par le Val d'Hérens.  Page : Itinéraires  Sous le titre : de Champagnole à Lauterbrunnen (Suisse). | Le 03/07/2007 | Désiré MONNIER (1788-1867), érudit autodidacte, connu pour ses nombreux écrits sur l’histoire de la Séquanie et du Jura, a écrit en 1823 "Mémoires et dissertations sur les antiquités nationales et étrangères" dont une grande partie se rapporte au Haut-Jura et à la Bresse. Voici quelques extraits.  Chapitre : Activités d'antan  Page : L'habitation de nos ancêtres  Sous le titre : Autres coutumes. | Le 27/05/2007 | | Le 17/05/2007 | Dans ses "Recherches historiques sur Chapelle des Bois", l'abbé Léon Bourgeois-Moine, a rédigé un calendrier qui, de 1761 à 1899, retrace une multitude d'évènements où la petite histoire se mêle à la grande. Tout est noté, depuis l'introduction de la filature du coton, des fromageries, des premiers lapins, les catastrophes naturelles, les problèmes d'empiètement avec nos voisins suisses, les travaux de l'église, la construction des routes ... Tous les drames de ce petit village sont notés au fil des ans au milieu d'une autre histoire, qui va de la prise de la Bastille à la Commune de Paris, en passant par les batailles Napoléonienne auxquels ont participé quelques chapelans, où par la guerre de 1870 où on apprend que le premier soldat français tué était de Petite-Chaux.  Chapitre : Villages  Page : Chapelle des Bois  Sous le titre : Chapelle des Bois, de 1761 à 1799. | Le 07/04/2007 | Cet hiver 2006 aura été estival, et le printemps débuta par une semaine hivernale. Le jour du printemps, le département était placé en alerte orange. On attendait 40 cm de neige dans la nuit, en plus de ce qui était déjà tombé les 3 jours précédents. Un temps idéal pour une petite sortie en traineau à chiens. Voici quelques photos du "printemps 2007".  Chapitre : Photos  Page : Photos Neige  Sous le titre : Neige et chiens de Traineaux. | Le 05/04/2007 | A la fin du XVIIe siècle, une invention fit son apparition dans les villes. Elle apporta un progrès considérable en permettant d'y circuler en sécurité la nuie venue. Celui qui fut à l'origine de ce progrès, était de chez nous, ou presque.  Chapitre : Foncine le Bas  Page : Jean-Baptiste Munier  Sous le titre : L'invention du réverbère. | Le 08/03/2007 | En 1815 le général Vionnet est au sommet de sa réussite. Napoléon a laissé sa place au roi Louis XVIII. Vionnet est fait général et a encore quinze années de carrière militaire devant lui. Cependant, il ne retrouve pas dans l’armée de la Restauration, l’état d’esprit de la Garde Impériale. Ses fonctions l’amènent à combattre ses anciens amis. Il est, dirait-on aujourd’hui, en contrat temporaire. On comprend que les cahiers où figuraient ses mémoires de cette dernière période, n’aient pas été beaucoup recherchés. Voici cependant quelques renseignements qui pourront remplir ce vide.  Chapitre : Vionnet  Page : Le Lieutenant Général Vionnet, Vicomte de Maringoné  Sous le titre : Le Général Vionnet après 1814. | Le 23/02/2007 | Le 22 juin 1940, Hitler décide d’occuper une partie de la France vaincue. Pour cela il impose une ligne de démarcation séparant la zone occupée, soumise à un gouverneur militaire allemand, de la zone non-occupée, restant sous l’autorité théorique du gouvernement de Vichy. Le tracé ne tint évidemment pas compte des intérêts légitimes des populations. Il fut pourtant quelques fois modifié. Il pouvait être facile de la franchir sans y prendre garde.  Chapitre : Récits  Page : Raconte toi Comtois  Sous le titre : Vacances en Grandvaux en août 1940. | Le 16/02/2007 | Dans les années 1750, selon le docteur Munier, "Fatigués de toutes les difficultés, de tous les procès sans cesse renaissants suscités par les seigneurs de Château Vilain, les habitants des Foncines et des Planches cherchèrent un terme". Le 25 février 1756 ils se réunirent et délibérèrent. Cette réunion eut lieu sur la place publique de Foncine le Haut. Le compte-rendu comporte 219 noms, on y trouve les noms d’une bonne partie des chefs de familles des Foncines et des Planches en 1756. Voici un essai concernant l'origine de quelques familles de Foncine le Bas.  Chapitre : Villages  Page : Foncine le Bas  Sous le titre : Les fonciniers en 1756. | Le 03/02/2007 | Au XVIIIe siècle, les médecins n'éprouvaient aucune difficulté à décrire les symptômes des maladies. Ils le faisaient à grands renforts de détails avant d'aboutir à un diagnostic. Il n'en allait pas de même quand ils abordaient le problème de l'origine des maladies. Certains médecins fondaient les causes sur toutes sortes d'élucubrations plus ou moins farfelues. Des siècles auparavant, la dernière épidémie de peste eut lieu en Franche-Comté (1636-1644). Là encore, la médecine restait impuissante et les efforts se limitaient à éviter la contagion. Pour cela, les magistrats mirent en place un "personnel de peste" pour veiller au respect des réglements.  Chapitre : Activités d'antan  Page : L'hygiène au XIXeme siècle  Sous le titre : L'origine des maladies. | Le 25/01/2007 | Situé dans la forêt du Croz, le belvédère du Bulay est perché sur un rocher à 1139 mètres d'altitude. Il domine la vallée de la Saine, le Grandvaux, son horizon sud est barré par les monts du Jura et le Risoux, par-dessus lequel émerge la chaîne du Mont-Blanc lorsque le temps est clair. Voici quelques photos de ce belvédère.  Chapitre : Villages  Page : Foncine le Haut  Sous le titre : Le Bulay, phare du Haut Jura. | Le 22/01/2007 | La liste des maires de Foncine le Bas est complétée par quelques lignes sur le premier d'entre eux, Alexis Bourgeois Greffier et son rôle d'agent national sous la révolution.  Chapitre : Villages  Page : Foncine le Bas  Sous le titre : Les Maires de Foncine le Bas. | Le 31/12/2006 | | Le 24/12/2006 | | Le 16/12/2006 | Dans son livre "l'Arbézie", paru en 1997, Maryse Obez-Arbez, nous raconte avec beaucoup de coeur et d'une jolie manière, l'histoire insolite de cette frontière franco-suisse, déplacée au fil du temps, et de la famille Ponthus, qui sut tirer parti durant 33 ans, d'une situation unique.  Chapitre : Jean-Baptiste Munier  Page : Les bois du Risoux  Sous le titre : L'Arbezie. | Le 11/12/2006 | | Le 07/12/2006 | Il y a trois siècles et demi que la Franche-Comté est française. Elle aurait pu le devenir trois siècles et demi plus tôt, grâce à Jeanne de Bourgogne et à son mariage avec Philippe le Long, le second fils de Philippe le Bel.  Chapitre : Jean-Baptiste Munier  Page : La société féodale  Sous le titre : Jeanne de Bourgogne. | Le 21/11/2006 | Le cheval blanc, tantôt paissant aux abords de la source sacrée de la Sène, tantôt galopant, tel Pégase, à la cime de la montagne, est une tradition gauloise. Le Docteur Munier, ancien maire de Foncine le Haut, atteste que le cheval blanc est de notoriété publique, et cela vers 1850.  Chapitre : Superstitions  Page : Les chevaux de la légende  Sous le titre : Le cheval ailé. | Le 16/11/2006 | Nos parents et grands parents se souvenaient de l'inondation de 1910. La ferme de Morillon était noyée et isolée. Voici quelques extraits de journaux, relevés par Michel Vernus, qui dépeignent la situation dans le Jura à cette période.  Chapitre : Foncine le Bas  Page : Les hivers de Foncine  Sous le titre : Les inondations de 1910. | Le 12/11/2006 | La progression dans un cimetière n'est jamais promenade insouciante, même lorsqu'on n'a pas de tombe familière à visiter. Dès la grille pesante et grinçante, tandis que les pas crissent sur le gravier, l'allure est retenue, la voix se fait moins nuancée. Celui de Saint-Etienne de Coldre qui semble abandonné, est un endroit particulièrement surprenant.  Chapitre : Activités d'antan  Page : Mariages et funérailles  Sous le titre : Saint-Etienne de Coldre. | Le 08/11/2006 | | Le 28/10/2006 | C'est en 1875 que date un exploit accomplit par un de nos concitoyens, Paul Jacquemin, alors âgé de 17 ans. En 1874, aidé par un mécanicien de Lons le Saunier et par le charron Friaglia de Morez, il entreprit de construire une voiture à vapeur.  Chapitre : Activités d'antan  Page : Les diligences  Sous le titre : La naissance de l'automobile. | Le 23/10/2006 | Silhouettes insolites, profils surprenants, figures originales : Paul s'est efforcé de dépeindre en quelques traits de plumes certains personnages qu'il a côtoyés à Foncine à l'époque de son enfance.  Chapitre : Raconte toi Comtois  Page : La vie aux Serettes  Sous le titre : Silhouettes insolites. | Le 20/10/2006 | Au début du XIXeme siècle, la rue de Foncine le Bas qui va de l'ex boulangerie BARRAS à la poste, était bordée de deux rangées de maisons parallèles et semblables. En 1910, un incendie a détruit complètement les logements côté Galaveau, environ dix familles. Voici le récit qu'a fait de cet incendie un foncinier né en 1904.  Chapitre : Villages  Page : Foncine le Bas  Sous le titre : L'incendie de Foncine le Bas. | Le 05/10/2006 | Micheline a retrouvé dans son grenier quelques lettres datées de 1950. Voici quatre extraits de ces lettres qui racontent ce qu'était la neige il y a 50 ans.  Chapitre : Villages  Page : Foncine le Bas  Sous le titre : Les hivers de Foncine. | Le 01/10/2006 | Deux livres parus récemment, consacrés, l'un au patrimoine industriel des communes du Jura, l'autre au secteur Grandvaux et Malvaux du parc Régional du Haut-Jura, disent quelques mots sur Foncine le Bas. On y parle de la forge de Joseph Liboz, de la scierie du haut et des lunetteries.  Chapitre : Foncine le Bas  Page : Les scieries de Foncine le Bas  Sous le titre : Le patrimoine de Foncine le Bas. | Le 08/09/2006 | Une galerie de photos, noir et blanc, aimablement communiquées par Madame Gaïd Ribault.  Page : Photos  Sous le titre : Vues anciennes du Jura. | Le 05/09/2006 | | Le 01/09/2006 | Gaïd Ribault, arrière petite fille du Docteur René Chambelland, m'a transmis une copie des cahiers rédigés par son arrière-arrière grand-père, Louis. Il y dépeint avec détails la vie dans nos campagnes entre 1870 et 1890. Voici un extrait, consacré aux jeux que pratiquaient les enfants d'autrefois pour passer le temps en gardant les troupeaux. A suivre, un extrait du livre de Michel Vernus, "Paysans Comtois au XVIIIe siècle", consacré à une tradition comtoise : le jeu de quilles.  Page : Activités d'antan  Sous le titre : Les jeux d'autrefois. | Le 25/08/2006 | | Le 19/08/2006 | Au temps de César et Vercingétorix, on admirait déjà la Saine. Antoinette Brenet, collaboratrice de la première heure d'André Berthier, nous le rappelle en se référant à Sénèque dans son livre "Les escargots de Muluccha" consacré aux tribulations, puis au succès de son maître.Voici quelques paragraphes de ce livre qui intéresseront ceux qui aiment la Saine et ses cascades.
 Chapitre : Rivières  Page : La Saine  Sous le titre : La Saine il y a 2000 ans. | Le 03/08/2006 | Aujourd'hui, une "récolteuse" est capable d'abattre, d'équarrir, de tronconner, 500 arbres par jour. C'est le rendement nécessaire pour rentabiliser le coût de ces machines. Elles ont remplacé les bûcherons tout comme auparavant les tracteurs avaient remplacé les chevaux. Voici un texte qui nous parle d'une époque pas très éloignée et pourtant si différente, où le respect de la nature et le goût du travail bien fait, primaient encore sur le commerce.  Chapitre : Raconte toi Comtois  Page : La vie aux Serettes  Sous le titre : Le travail du bois. | Le 26/07/2006 | Toujours au départ de champagnole, un autre itinéraire à nouveau vers la Suisse, à destination de Brienz, pour découvrir le Rothorn, avec le chemin de fer à crémaillère le plus ancien de Suisse, suivi d'une visite du musée suisse de l'habitat rural de Ballenberg et des gorges de l'Aar.  Page : Itinéraires  Sous le titre : De Champagnole à Brienz (Suisse). | Le 12/07/2006 | Au départ de champagnole, un nouvel itinéraire vers la Suisse en direction de Grindelwald, avec un voyage sur les chemins de fer de la Jungfrau jusqu'à la gare la plus haute d'Europe (3454m), puis Zermatt avec une montée, toujours en train, à Gornergrat pour admirer le Cervin au milieu de 29 autres "quatre mille".  Page : Itinéraires  Sous le titre : De Champagnole à Grindelwald (Suisse). | Le 27/06/2006 | Marcel Yerly, personnage hors du commun a passé 45 ans de sa vie à constuire des maquettes en bois. Machines agricoles, locomotives, bateaux, avions, motos et 90 peintures représentant des paysages jurassiens sont rassemblés dans une belle exposition, à Clairvaux.  Chapitre : Photos  Page : Vieux murs  Sous le titre : Des machines à nourrir le monde. | Le 26/06/2006 | | Le 09/06/2006 | Gaïd Ribault est l'arrière petite fille du Docteur René Chambelland, bien connu dans notre région pour ses études sur l'église et la baronnie de la Chaux des Crotenay. Il était le fils de Louis Chambelland, instituteur, originaire de Bulle. Elle a la gentillesse de me donner une copie des cahiers rédigés par son arrière-arrière grand-père, Louis, qui dépeint avec détails la vie dans nos campagne entre 1870 et 1890. Voici un extrait de ces textes où l'on découvre la vie des bergers et la manière qu'avait le fruitier, de faire les comptes de ses sociétaires, avant l'avènement du carnet.  Chapitre : Activités d'antan  Page : Mémoire de fruitier  Sous le titre : Le lait et les bergers. | Le 23/05/2006 | Tout le monde connait Lacuzon. Moins célèbre que lui, un autre patriote comtois se distingua dans la résistance contre Weimar. Né vers 1600 à Mouthe, Claude Cart-Broumet était surnommé "La Plaque", il doit ce surnom à une blessure à la joue qu'il masquait par une plaque de métal. Jean-Baptiste Munier, dans ses "Recherches historiques sur les Foncines" relate quelques uns de ses exploits, en même temps qu'il nous raconte comment les paysans de nos montagnes s'organisaient pour combattre l''ennemi.  Chapitre : Routes et chemins  Page : Les invasions  Sous le titre : Cart Broumet ou La Plaque. | Le 15/05/2006 | Un nouveau texte tiré du livre de Pierre Doudier "Foncine le Haut - 1815 - 1980" décrit le tracé compliqué de l'ancien chemin qui reliait les deux Foncines. Les études pour la construction de la nouvelle route commencèrent en 1840, les deux villages furent réunis en 1869.  Chapitre : Routes et chemins  Page : Les côtes chaudes  Sous le titre : La grande route. | Le 15/04/2006 | Micheline a passé son enfance à Foncine le Bas, à la ferme des Serrettes. Elle a eu la bonne idée de raconter ses souvenirs d'une jolie manière, dans un recueil de petits textes. Elle a la gentillesse de m'autoriser à en publier quelques uns. Voici pour commencer, 4 souvenirs.  Chapitre : Récits  Page : Raconte toi Comtois  Sous le titre : La vie aux Serettes. | Le 13/04/2006 | Le 26 avril 1944, le commandant Foucaud était abattu par les allemands à Saint Georges. Sa fille, madame Michèle MIREBEAU qui a eu connaissance du chapitre consacré sur ce site, à la mort de son père, a bien voulu envoyer une copie de l'allocution prononcée à l'occasion de l'inauguration de la rue du Commandant Foucaud, à Lons le Saunier le 8 mai 1982, ainsi que plusieurs journaux de l'époque qu'elle a conservés. Avec son autorisation et au moment où on va célébrer l'anniversaire de sa mort, je suis heureux de pouvoir rappeler, grâce à elle, qui était le commandant Foucaud et dans quelles conditions il est mort.  Chapitre : Entre deux Monts  Page : Le maquis Vauthier  Sous le titre : Le commandant Foucaud. | Le 29/03/2006 | Depuis longtemps la paroisse de Sirod, qui va de Champagnole aux Foncines appartient aux sires de SALINS. C'est Nicolette de Salins qui va, par son mariage avec Simon de Broye de COMMERCY, apporter la Chaux des Crotenay aux COMMERCY. Elle est fille de Hubert IV de Salins et petite fille de Hubert III de Salins qui est mort à Lausanne en revenant de la Croisade de 1147. Le docteur René Chambelland, dans son "historique de la Baronnie de la Chaux des Crotenay", nous explique comment se sont succéder les sires de la Chaux de 1200 jusqu'à la révolution.  Chapitre : Chaux des Crotenay  Page : Les seigneurs de la Chaux  Sous le titre : Les sires de la Chaux de 1200 à la révolution. | Le 24/03/2006 | René Favre, membre de la commission du patrimoine de la commune de Massongy (74), a lu "Les Comtois dans la tourmente" du père Doudier, avec d'autant plus d'intérêt que lui aussi fait des recherches sur l'immigration des fonciniers vers son village au cours de la guerre de dix ans. Ce sont quinze familles bourguignonnes, dont beaucoup de Foncine, qui s'y sont réfugiées. Voici ce qu'écrit René Favre.  Page : Routes et chemins  Sous le titre : Du Haut-Jura au Québec. | Le 13/03/2006 | La Vouivre, dont le nom dérive du latin vipera, c'est la fée aux serpents; elle porte un diadème orné d'un rubis fabuleux, qu'elle n'enlève et ne pose que pour se baigner; ceux qui essaient à ce moment de dérober la pierre, sont attaqués et dévorés par des serpents, ou entrainés à tout jamais dans les profondeurs des eaux sombres. Voici deux textes sur cette créature du folklore jurassien.  Chapitre : Activités d'antan  Page : Superstitions  Sous le titre : La Vouivre. | Le 08/03/2006 | Qui sait si notre sort actuel, celui de tous les français, et peut-être des autres, n’aurait pas été différent sans le Jura ? Tout au moins sans un brave jurassien, qui le premier entra dans la Bastille le 14 juillet 1789. A lire dans le chapitre "Foncine le Bas", à la page "Révolution", sous le titre "Le héros oublié". Un autre texte toujours tiré des "Mystères du Jura" de Roger Jay, nous raconte quelques unes des nombreuses abbérations de la révolution, dont le Jura ne fut pas épargné.  Chapitre : Foncine le Bas  Page : La révolution à Foncine  Sous le titre : Faux en tout genre. | Le 02/03/2006 | "L’eau courante à domicile, l’eau sur l’évier à tous les étages, sont à l’heure actuelle une nécessité de confort moderne.
Chacun comprendra le grand intérêt qu’il a à prendre une concession d’eau à sa cuisine, l’hygiène et le bien-être s’en trouveront accrus et toutes les ménagères apprécieront la commodité d’avoir ainsi à leur disposition 15 sceaux d’eau tombant à leur cuisine pour 4 sous par jour". C'est en ces termes que Victor Macle, maire de Foncine le Bas en 1937, cherchait à convaincre ses concitoyens de souscrire un abonnement au service de distribution d’eau potable.  Chapitre : Villages  Page : Foncine le Bas  Sous le titre : L'arrivée de l'eau Courante à Foncine le Bas. | Le 28/02/2006 | "le médecin des pauvres" de Xavier de Montepin fut longtemps le livre de chevet de tous les jurassiens. Le Hérisson c'est le domaine de Lacuzon et de ses deux adjoints, le capitaine Varroz et le curé Marquis. Leur refuge c'est l'imaginaire trou des Gangones. Ce fut également dans les environs que le maquis Vauthier demeura en 1944. Voici un extrait du livre de Xavier de Montepin, qui donne une description du lieu qu'ont fréquenté, à 300 ans d'intervalle, deux catégories de résistants à deux envahisseurs aux pratiques barbares identiques.  Chapitre : Entre deux Monts  Page : Le maquis Vauthier  Sous le titre : De Vauthier à Lacuzon. | Le 10/01/2006 | Vers la fin du XVIe siècle et jusque bien avant dans le XVIIe, une épidémie singulière se déclara dans cette région âpre et mystérieuse du Haut-Jura qui s'appelle le "Grandvaux" et que les vieilles chartes latines dénomment la vallée maudite, mala vallis. La promenade au clair de lune était alors déconseillée, particulièrement autour du lac des Rouges Truites, où rodaient d'inquiétants personnages. Voici, toujours à la page "Superstitions", un extrait du livre de Noël Amaudru.  Chapitre : Activités d'antan  Page : Superstitions  Sous le titre : Le Grandvaux et ses sorciers. | Le 04/01/2006 | Dans le Jura, l'eau est omniprésente sous toutes ses formes : lacs, rivières, cascades. Les sources nombreuses, ont de tous temps joué un rôle dans la vie des hommes. On les considérait comme sacrées dans les anciennes religions, mais elles furent également à l'origine de beaucoup de légendes, puisqu'on y trouve souvent d'étranges animaux venus s'y désaltérer. Voici, tirées des "Mystères du Jura" de Roger JAY, quelques-unes de ces légendes.  Chapitre : Activités d'antan  Page : Superstitions  Sous le titre : Les chevaux de la légende. |