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Quoi d'neuf ?

Mois/Année :

Le 22/02/2024
Au fil de mes randonnées bretonnes ou jurassiennes, je ramasse souvent des galets dont la forme, la couleur ou la texture m'ont attiré l'oeil. En voici quelques uns que j'ai transformés avant de les reposer sur d'autres sentiers. Chapitre : Photos eau Page : Nos rivières Sous le titre : Galets peints.
Le 12/01/2024
Jacqueline Gensse a rassemblé dans un album les photos des classes de l'école de Foncine le bas depuis 1930 jusqu'en 1998 avec les noms de chaque élève. Au fil des pages on découvre ou on reconnait, ceux qui se sont succédés entre ces murs. La galerie se termine avec un texte de son mari Gérard. Merci à eux pour cette jolie contribution. Chapitre : Foncine le Bas Page : L'école de Foncine le bas Sous le titre : Les photos des classes de 1930 à 1998.
Le 28/02/2014
Francis Bono, dans son livre sur Chapelle des Bois, raconte l’émigration des habitants de ce village vers le Canada à la fin du 19e siècle. Il y est question en particulier de Paul Alexandre Blondeau, qui fit ce voyage de 13000 kilomètres en 1895, avec son épouse Anna Pagnier et leurs 9 enfants. Paul emporta dans ses bagages l’ancienne statue de Notre-Dame des Bois, en bois sculptée au couteau, qui ornait l’oratoire de Combe David. Il existe au sud du Québec, un village du nom de Notre-Dame des Bois. C'est ce que m'apprend Mireille Guay qui connait bien Entre deux Monts et qui habite aujourd'hui au Québec. Ce village a une altitude moyenne de 550 mètres et est l'un des plus hauts du pays. En septembre 2007, cet endroit a été reconnu 1ère "réserve de ciel étoilé" à l’échelle mondiale. C’est ici que se trouve le Parc national du Mont-Mégantic et son observatoire astronomique. C’est aussi un lieu de pèlerinage, une chapelle du même nom, se situe au sommet du Mont Saint-Joseph. Il est tentant d’établir un lien entre la statue de Notre Dame des Bois, rapportée de la Norbière et le nom de cette paroisse. Ce lien est incertain, car une distance de 3500 km sépare Domrémy, village du Québec où elle débarqua en 1895 et le village de Notre-Dame des Bois au pied des montagnes de marbre qui forment les frontières du New Hampshire et du Maine. Francis Bono nous dit que cette statue était toujours à Domrémy en 1952. Chapitre : Chapelle des Bois Page : Combe David : Notre Dame des bois Sous le titre : L'émigration vers l'Amérique.
Le 23/09/2013
Après "Foncine le Bas, le passé simple d'un village jurassien", publié en 2012, c'est à Entre deux Monts que s'intéresse mon deuxième livre, toujours en autoédition. Chapitre : Villages Page : Entre deux Monts Sous le titre : Entre deux Monts, Porte d'Alésia.
Le 07/02/2013
C'était début décembre, l'hiver n'était pas commencé mais la neige était déjà là. Chapitre : Photos Page : Photos Neige Sous le titre : Décembre 2012.
Le 15/01/2013
Une troisième histoire envoyée du Québec par Mireille Guay, rédigée par Colette Sergent, sa maman. Chapitre : Raconte toi Comtois Page : Une bonne farce Sous le titre : La confession.
Le 10/01/2013
En décembre 2012, Claude Charnaux-Guillaume m'envoie quelques photos de la scierie Thouverey et de Foncine le Bas. Chapitre : Foncine le Bas Page : Les scieries de Foncine le Bas Sous le titre : Scierie Thouverey.
Le 30/12/2012
Une deuxième histoire envoyée du Québec par Mireille Guay, rédigée par Colette Sergent, sa maman. Chapitre : Raconte toi Comtois Page : Une bonne farce Sous le titre : La cloche.
Le 18/12/2012
Cela ne se passait pas à Foncine le Bas. Les fonciniers n'était pas frondeurs. Mais en général la population du jura n'était pas disposée à laisser porter atteinte à ses intérêts économiques. Elle avait horreur de tout ce qui choquait l'égalité. Cet événement eut une grande répercussion dans toute a région où il imprima des traces profondes et durables. Chapitre : Activités d'antan Page : La contrebande Sous le titre : La guerre des pommes de terre.
Le 10/12/2012
Mireille Guay, qui habite le Québec et dont les parents et grands-parents habitaient Côte Pourret lieu dit de la commune d' Entre deux Monts, à l'est du village, a la gentillesse de m'envoyer plusieurs petites histoires racontées par sa maman, Colette Sergent. Elles font revivre d'une jolie manière la vie d'autrefois de nos villages. Voici la première de ces histoires. Chapitre : Récits Page : Raconte toi Comtois Sous le titre : Une bonne farce.
Le 23/11/2012
Le procès verbal des délibérations du Conseil Général du Jura d'avril 1889 consacre 40 pages aux routes et chemins du canton des Planches en Montagne. Il faudra six ans de délibérations pour parvenir à un accord entre les communes sur la construction d'un chemin de grande communication. Voici quelques extraits des délibérations : Chapitre : Routes et chemins Page : Les côtes chaudes Sous le titre : Les routes des Planches en 1889.
Le 10/07/2012
Au mois de mai, je suis parti sur les Replats à la recherche de Mycènes. Chapitre : Villages Page : Foncine le Bas Sous le titre : Mycènes sur les Replats.
Le 09/07/2012
J'ai publié en juin dernier, en autoédition, un livre sur Foncine le Bas : "Le passé simple d'un village jurassien". Chapitre : Villages Page : Foncine le Bas Sous le titre : Le passé simple d'un village jurassien.
Le 15/06/2012
La forge de Joseph Liboz va peut-être être restaurée. Chapitre : Villages Page : Foncine le Bas Sous le titre : La forge de Joseph.
Le 05/02/2012
Le fascicule concernant les "nouvelles destinations T.G.V entre Rhin et Rhône" distribué par la SNCF en décembre dernier, veut nous faire croire une fois de plus, qu'Alésia est en Bourgogne. Chapitre : Rivières Page : La Saine Sous le titre : Même le TGV se trompe sur Alésia.
Le 25/01/2012
Dans l' annuaire du département du Jura pour l'année 1848, Désiré Monnier nous en apprend un peu plus sur l'histoire de Cesancey qui ne s'est pas toujours orthographié de cette manière. Chapitre : Généalogie Page : Chavanelle Sous le titre : Cesancey qui fut Sesencey.
Le 11/01/2012
La "Voix du Jura" nous annonce le 22 décembre 2011 le décès d’ André Depierre, "un prêtre à peu près inconnu dans le Jura". Fin juillet puis début août 1995 ce journal lui a déjà consacré un long interview titré "François Mauriac m’a fait l’honneur de m’appeler son ami", qui en dit long sur cette vie surprenante. Mais qui sait que c’est au Lac des Rouges Truites que ce tout jeune prêtre a eu la vocation de devenir le prêtre des plus pauvres ? Chapitre : Entre deux Monts Page : Le maquis Vauthier Sous le titre : André Depierre, prêtre ouvrier.
Le 23/11/2011
Jean Amadou qui nous a quitté le 23 octobre, n'avait pas oublié Lons le Saunier où il était né en 1929, route de Macornay. En 2004 dans son livre "Et puis encore ... que sais-je ?" il consacre une page "aux petits trains haletant et crachant qui, les jours de marché, s’emplissaient de cageots, de légumes et de cages à volailles". Le tacot était de ceux là. Chapitre : Trains Page : Le temps du Tacot Sous le titre : Amadou prend le tacot.
Le 15/11/2011
Une étude a été publiée il y a quelques années, par les historiens de la forêt, Pierre Gresser et François Vion Delphin. Elle raconte les pratiques et les coutumes qui constituaient le quotidien des usagers de la Faye, entre Montrond, Crotenay et Champagnole. Entre le représentant de l'ordre, le gruyer, et les délinquants, les mésusants, les rapports étaient parfois tendus. Page : Activités d'antan Sous le titre : Mésusants et Gruyer.
Le 05/11/2011
"Paysan Comtois" de septembre 1995 consacre dix pages à la race montbéliarde. Ce titre existe depuis 1872, mais il reste longtemps méconnu. Les vaches sont "de Morteau, de Maiche ... ". Mais en 1954, c’est le début d’une épopée. Et ce début se passe près de chez nous. Chapitre : Activités d'antan Page : La contrebande Sous le titre : Montbeliardes en contrebande.
Le 23/10/2011
Dans un article du "Progrès" de 2002, Charles Thevenin nous explique la législation compliquée et parfois cocasse, qui s’est construite au fil du temps sur l’usage de ces pâturages communaux que nous appelons les "pâquiers". Chapitre : Villages Page : Foncine le Haut Sous le titre : Les paquiers.
Le 10/09/2011
La délinquance est le reflet des tensions et conflits qui existent au sein d'une société. Dans une étude datée de 1983, Michel Vernus nous apprend le rôle que joue le "monitoire" dans l'enquête judiciaire sous l'ancien régime, et esquisse une typologie des formes de délinquance dans le Jura, à cette époque. Chapitre : Routes et chemins Page : Loin du village, le danger Sous le titre : Les monitoires.
Le 28/08/2011
Le Progrès raconte sous le titre "21 Août 1944" quelques opérations survenues à la Billaude. Voici un extrait de cet article : Chapitre : Entre deux Monts Page : Le maquis Vauthier Sous le titre : Août 1944 au Pont de la Chaux.
Le 22/08/2011
Pêle mêle une série de photos, sous des ciels bleus ou noirs, de Chapelle des Bois, du Pic de l Aigle et d'autres endroits déjà connus. Chapitre : Photos Page : Photos voyages Sous le titre : Paysages d été.
Le 15/08/2011
Voici une suite d'articles concernant notre région, tirés des archives du journal "Le petit Comtois", pour la période 1893 à 1903. Ce quotidien régional apparait en 1893 et rencontre un succès qui va perdurer jusqu'à la fin de sa publication. Celle-ci intervient en 1944 à la suite d'un ordre de la Kommandatur. Page : Activités d'antan Sous le titre : Le Petit Comtois.
Le 01/08/2011
Louis CLEMENT, maitre-émailleur est né à Foncine le Bas le 7 juillet 1882, et mort à Limoges le 30 juillet 1877. On lui connaît sept tableaux, qu’il a donnés en 1956, au musée de Morez. L’un, l’ "Ecce Homo" est classé au patrimoine culturel. Chapitre : Villages Page : Foncine le Bas Sous le titre : Louis Clement émailleur.
Le 23/07/2011
Françoise Desbief, dans sa "Balade ferroviaire à travers le Jura", passe au pays des lacs, pays des fées et des chevaliers où les sorcières dansent. Grandvalliere qu’elle est, elle ajoute que "du côté de Foncine, vers le Lac à la Dame, les sorciers ont les mêmes travers" et elle cite ce cas : Chapitre : Foncine le Bas Page : Les hameaux de Foncine le Bas Sous le titre : Le Lac à la Dame.
Le 17/06/2011
Il y a 250 ans, le facteur n'était pas fonctionnaire, mais salarié personnel du directeur de la poste, le receveur d'aujourd'hui, et son salaire était fonction des étrennes. Les archives de Besançon nous apprennent la malheureuse aventure d'un facteur bisontin au moment des étrennes. Chapitre : Activités d'antan Page : Le facteur Sous le titre : Les étrennes d'un facteur en 1773.
Le 12/06/2011
Quelques photos d'une excursion au Mont Tendre, près de Morges en Suisse début juin. Chapitre : Photos Page : Photos voyages Sous le titre : Le Mont Tendre.
Le 20/05/2011
Syamour (Marguerite Gagneur) est connue pour ses œuvres et un peu plus encore depuis que l'on vient de proposer aux mairies, comme modèle pour la statue de Marianne, sa statue érigée dans le cimetière de Chatelneuf. Ce que l’on ne savait pas, c’est qu’une œuvre inconnue de Syamour existe dans le cimetière de Chaux des Crotenay. Cette découverte nous apporte également une réponse sur l’identité de celui qui repose dans l’énorme tombeau à la place 166. Chapitre : Chaux des Crotenay Page : Eglise de Chaux des Crotenay Sous le titre : Syamour et Richard Hammer.
Le 25/04/2011
Les familles d'Entre deux Monts en 1930. De Côte Pourret à Morillon Chapitre : Villages Page : Entre deux Monts Sous le titre : Entre deux Monts en 1930.
Le 11/04/2011
C’était au printemps 1939, un jeudi ou un dimanche. L’abbé Gaston FAURE emmene ses potaches en promenade. Deux d'entre eux s'échappent discrètement pour venir demander un autographe au président de l'Assemblée Nationale, Edouard Herriot. Chapitre : Récits Page : Raconte toi Comtois Sous le titre : Edouard Herriot à Bourg en Bresse.
Le 25/03/2011
Avant 1905, les biens et les finances de la paroisse étaient gérés par Conseil de Fabrique, (bureau des margouillés). Entre deux Monts, propriétaire pour un tiers de ces biens avait un représentant à ce conseil. Le 30 octobre 1841, Pierre MONNIER, maire d’Entre deux Monts est élu trésorier. Le 21 octobre 1844, Elie GIROD le remplace. Chapitre : Villages Page : Entre deux Monts Sous le titre : Sacrés catouillés.
Le 17/03/2011
En 1819, Joseph MICHEL Maire d'Entre deux Monts, interdisait aux chèvres de paitre en liberté. Chapitre : Villages Page : Entre deux Monts Sous le titre : Chèvres à Entre deux Monts.
Le 11/03/2011
Il est beau ce col. Mais ce n’est pas à la nature qu’il doit sa beauté. C’est au maire d’Entre deux Monts. Le général Terrasson, relayé par Jean-Pierre Fumey nous le rappelle : Chapitre : Villages Page : Entre deux Monts Sous le titre : Le col du Gyps.
Le 01/03/2011
Il y a deux cents ans, détruire les loups était une nécessité. L’administration créait les lieutenants de louveterie pour les battues et distribuait une prime pour chaque bête. Un rapport de Christian Dugas de la Boissonny nous informe sur cette réglementation particulière. Suit un texte d'Alfred de Vigny : "La mort du Loup". Chapitre : Routes et chemins Page : Loin du village, le danger Sous le titre : La chasse au loup.
Le 15/02/2011
L'histoire se passe au début du siècle dernier. La Thieulette et la Cernée sont deux pâtures au milieu du Mont Noir, que Joseph Vionnet (le Joussé à Gros Pierre), occupe chaque été avec son troupeau et ses fils. Ici, les vaches sont heureuses et les hommes tout autant. Chapitre : Récits Page : Raconte toi Comtois Sous le titre : La Thieulette et la Cernée.
Le 01/02/2011
L'anecdote se passe en 1944, après la libération du Jura, à l’époque où les objets réquisitionnés par les maquis attendaient d’être rendus à leurs propriétaires. Chapitre : Raconte toi Comtois Page : Vacances en Grandvaux en août 1940 Sous le titre : La motocyclette.
Le 11/01/2011
Qui était cette Béatrix, de Chauvirey, de Joux, que l’on chantait ? dont la beauté est passée à la légende et dont J.B. Munier avoue que sa vie tient du roman, ce qui est vrai. C’est qu’elle était la grand-mère de Nicolette de Salins, la femme de Simon de Commercy, le premier des sires de la Chaux des Crotenay. Elle est donc l’une des ancêtres, par filiation, mariage ou cousinage de tous nos sires, qu’ils soient de Commercy, d’Arbon, Poupet ou la Baume. Une longue lignée qui va de la gloire à la ruine. Elle nous conduit aussi, par son ascendance, aux sires de Salins, connus, eux, depuis le Moyen Age, et dont Rougebief a écrit une histoire remarquable. Chapitre : Les Planches Page : Château-Vilain Sous le titre : Béatrix de Salins.
Le 03/01/2011
Les événements du 30 août 1944 ont été plusieurs fois relatés. Le récit émouvant qu’en a fait l’abbé Monneret, alors curé de Foncine le Haut, et qu’a repris le père Doudier dans son histoire de 1815-1980 est sans doute le plus connu. Mais l’origine de cet épisode tragique l’est beaucoup moins. Georges ROUSSEAU a rédigé un compte-rendu qui relate les faits quart d’heure par quart d’heure, citant les lieux et les noms, les ordres et les mouvements. Sans reprendre la totalité de son rapport concernant le Maquis du secteur "Les Planches Champagnole", en voici quelques extraits concernant les Foncines. Chapitre : Foncine le Haut Page : Le 30 août 1944 à Foncine le Haut Sous le titre : Le 30 aout 1944 par Georges Rousseau.
Le 01/12/2010
Pour Entre deux Monts, 1910 a débuté par une inondation mémorable dont le Quartier du bas surtout a souffert. Puis sept enfants son nés (4 garçons, et 3 filles) dont deux (un garçon et une fille) ont fêter leurs cent ans en 2010. Chapitre : Villages Page : Entre deux Monts Sous le titre : Deux centenaires en 2010 à Entre deux Monts.
Le 10/11/2010
Il est bien difficile de ne pas voir au cimetière de Chaux des Crotenay, à quelques mètres de l’entrée de l‘église, l’énorme tombeau au sommet duquel règne le portrait de Richard Hammer dont la notoriété est confirmée par une palme académique bien effeuillée. On devine quelques autres noms pratiquement illisibles. Les cent ans de concession sont manifestement épuisés. Qui donc repose ici ? Chapitre : Chaux des Crotenay Page : Eglise de Chaux des Crotenay Sous le titre : Célébrités ignorées du cimetière de la Chaux.
Le 01/11/2010
Jean Druhen, dans son livre "700 ans déjà", en cent pages à peine, résume l’histoire de sa famille en la situant dans l’histoire de France, avec une verve, et un franc-parler extraordinaires. Puisque l’année 2010 a été l’année d’Henri IV, que la presse et la télévision ont porté aux nues, pourquoi ne pas relire un extrait des quelques pages qu’il lui consacre : Chapitre : Généalogie Page : Origine de certains noms et sobriquets Sous le titre : Henri IV, un autre visage du "bon roi".
Le 25/10/2010
Un explorateur, au tout début du 19e siècle, avait décrit une pratique tout à fait originale de débardage, dans les hauts plateaux jurassiens. Page : Activités d'antan Sous le titre : Schlitteurs des neiges.
Le 19/10/2010
C’est en février 1943 que dans le Haut-Jura, fut pour la dernière fois, chassé le sanglier à l’épieu. Un acte de braconnage bien compréhensible à l’époque des restrictions où la viande était rare. Voici ce récit tiré d'un exemplaire de la "Voix jurassienne" de 1989 : Chapitre : Raconte toi Comtois Page : Vacances en Grandvaux en août 1940 Sous le titre : Le dernier sanglier tué à l'épieu.
Le 13/10/2010
On sait que l’église de la Chaux des Crotenay possède quelques meubles ou statues classés. L’une des statues, pourtant précieuse est peu connue, c’est la "Vierge à l’enfant" qui, ignorée des historiens d’art, n’a été tirée de l’oubli qu’en 2004. Un "véritable petit joyau", dit l’historienne Véronique Boucherat, qui lui consacre quatre pages dont voici un extrait : Chapitre : Chaux des Crotenay Page : Eglise de Chaux des Crotenay Sous le titre : La Vierge et l'enfant.
Le 12/10/2010
La page sur Gregori Stiwitcheff, le soldat Russe de Foncine le Haut, est complétée par un paragraphe tiré du journal de route du colonnel Victor Petit. Chapitre : Le 30 août 1944 à Foncine le Haut Page : Gregori Stiwitcheff, le soldat Russe de Foncine Sous le titre : Les Russes de Foncine.
Le 02/09/2010
Voici quelques lignes tirées des "Recherches historiques" de J.B. Munier qui racontent les différentes démarches qui précédèrent l'autonomie de l'église de Foncine le Bas. Chapitre : Foncine le Bas Page : L'église de Foncine le Bas Sous le titre : L'église de Foncine autonome.
Le 26/08/2010
Il n’y a pas que Vercingétorix qui a laissé son nom à Cornu. La Chaux des Crotenay à baptisé l’un de ses points touristiques "Belvédère à Taiclet" et ce point se trouve, comme l’ex-Alésia, à Cornu. Qui était donc ce Taiclet qui mérite cet honneur? Jean-Pierre FUMEY qui cumule les archives du village, le connaît bien. Il possède à son sujet, un dossier important, trop important pour trouver place ici. En voici quelques extraits : Chapitre : Villages Page : Chaux des Crotenay Sous le titre : Taiclet Joseph, hommicidé !.
Le 24/06/2010
Qui était Gregori Stiwitcheff, ce russe, dont le corps a été retrouvé le 31 août 1944, carbonisé, dans l’une des maisons de Foncine le Haut que les allemands avaient incendiées la veille ? On trouve la réponse dans le livre de Louis et Nicole Porchet-Marrel intitulé "Les combattants volontaires de Franche-Comté" édité en 1990. Chapitre : Foncine le Haut Page : Le 30 août 1944 à Foncine le Haut Sous le titre : Gregori Stiwitcheff, le soldat Russe de Foncine.
Le 21/05/2010
En juin 1864, un émigré qui veut revoir son cher Jura et le village où est né son père, fait étape à l'hôtel de la poste de Saint-Laurent en Grandvaux. Il écrit à un ami une suite de lettres, dans lesquelles il relate ses impressions et ses souvenirs d'enfance. (auteur Paule Méré, extraits de "la revue des deux mondes" 1864). Chapitre : Routes et chemins Page : Le tracé de la RN5 Sous le titre : L'hôtel de la Poste de Saint-Laurent.
Le 27/04/2010
Voici un chemin qu’à suivi le Général Vionnet en 1799-1800 et qui est sans doute un des plus spectaculaire et des plus dangereux. Quelques pages tirées de la "Suisse pittoresque" de 1836 méritent d’être relues. Il s'agit du chemin qui conduit du Lac de Come à Coire (Chur) par le col du Splügen et la Via Mala. Chapitre : Vionnet Page : Le Lieutenant Général Vionnet, Vicomte de Maringoné Sous le titre : Le Général Vionnet dans la Via Mala.
Le 26/03/2010
Les Vionnet viennent de Vaulruz en Gruyère, et la Gruyère est le berceau du fromage du même nom. Ce sont les fromagers de cette région qui l’ont importé dans le Jura ... où il est devenu Comté. Comment les suisses fabriquaient-ils ce fromage ? C’est à travers les lettres de Madame de Gauthier, une française en voyage en Suisse au moment de la révolution, que nous l'apprenons, en même temps que ses impressions sur la Suisse et ses habitants. Cette dame de passage à Berne, veut voir Lauterbrunn et Gründenval pour y trouver des beautés que l’on ne trouve que dans les Alpes. Voici 3 pages extraites de sa correspondance qui viennent compléter le chapitre Itinéraires déjà existant déjà pour cette destination : Chapitre : Itinéraires Page : De Champagnole à Grindelwald (Suisse) Sous le titre : Lettres d'une Française en Suisse en 1789.
Le 08/03/2010
Une explication sur l'origine des armes des Guerillot, seigneurs de Chaux des Crotenay Chapitre : Chaux des Crotenay Page : Les seigneurs de la Chaux Sous le titre : Origine des armes des Guerillot.
Le 23/02/2010
Une collection de photos anciennes de déneigeuses sur les routes du Jura. Chapitre : Photos Page : Photos Neige Sous le titre : Chasse Neige.
Le 17/02/2010
Il était né le 22 juin 1923 à la Chaux du Dombief et avait grandi aux Planches en Montagne. Il est décédé dans le Gard à Venejean, le 1er septembre 2009. Il y a une dizaine d’années, il m’avait prêté quelques pages où il racontait des souvenirs de son enfance à Montliboz. Je viens de retrouver ces pages et je suis heureux d’en offrir quelques extraits à ses cousins. Chapitre : Généalogie Page : Vionnet Sous le titre : Jean Vionnet.
Le 03/02/2010
En février 1943 avec la bénédiction de Vichy, les allemands créent le Service du Travail Obligatoire, imposé à tous les jeunes hommes nés en 1920, 1921 et 1922. Ils exigent immédiatement 150 000 ouvriers qualifiés. Voici comment, sans blessure et sans gloire, mais avec un brin de mémoire, je suis devenu réfractaire, clandestin, puis « terroriste ». Chapitre : Entre deux Monts Page : Le maquis Vauthier Sous le titre : Le STO en 1943.
Le 25/01/2010
La mobilisation du 2 septembre 1939 avait privé l’école "La Poyat" de Saint-Claude de plusieurs professeurs et surveillants. Pour les remplacer, le directeur avait fait appel à quelques anciens, à trois jeunes de moins de 20 ans. Voici les souvenirs de cette époque d'un "professeur malgré lui". Chapitre : Récits Page : Raconte toi Comtois Sous le titre : La Poyat.
Le 04/01/2010
C‘était en 1940, à la veille de la Pentecôte, et de trois jours de vacances. C’était aussi la fin de la drôle de guerre et la veille de la débâcle. J’avais prévu de monter jusqu’à Foncine depuis Saint-Claude. Mon vélo était lourd; il faisait chaud et je n’allais pas réussir à étancher ma soif avant mon arrivée. Voici pourquoi : Chapitre : Raconte toi Comtois Page : Vacances en Grandvaux en août 1940 Sous le titre : Cinquième colonne.
Le 14/12/2009
Rafraîchissement de la base de données généalogique. Page : Généalogie Sous le titre : Base de données généalogique.
Le 16/11/2009
Qui étaient les habitants des Foncines et des Planches il y a 350 ans ? Un ouvrage intitulé "La population de Franche Comté au lendemain de la guerre de trente ans", reprend les recensements nominatifs de 1654, 1657 et 1666 et donne quelques éléments de réponse. Chapitre : Villages Page : Foncine le Bas Sous le titre : Recensement de 1657.
Le 30/10/2009
A l’origine les chemins n’étaient que de simples sentiers tracés presque au hasard. En 1726, après la chute du système Law (quelque chose comme la crise de 2009), l’état déplorable des chemins et des routes avait déterminé les intendants à exiger des communautés quelques journées pour les réparer et en faire de nouveaux. C’est l’origine des Corvées. Chapitre : Routes et chemins Page : La construction des premières routes de Chapelle des Bois Sous le titre : Les corvées.
Le 25/10/2009
Louis XI est passé deux fois à Saint-Claude, et ce n’est pas à son premier passage qu’il a mérité que son nom soit donné à une place. Un rapport concernant ce premier pèlerinage ne manque pas d’intérêt. En voici un extrait : Chapitre : Routes et chemins Page : Nobles voyageurs Sous le titre : Louis XI à Saint-Claude.
Le 18/10/2009
Morillon est connu depuis longtemps. En 1213, et sans doute avant, on trouve ce nom autant dans l’histoire du Grandvaux que dans celle du Haut-Doubs. La "Vie de la Serre" - une courte partie de l’ancienne route de Salins à Genève - a survécu jusqu’à l’arrivée du chemin de fer. C’est dans cette période que Morillon a vécu ses "années de gloire". Voici, pour compléter les pages qui existent déjà, quelques lignes, relevées sur de vieux ouvrages, qui témoignent de sa célébrité. Chapitre : Entre deux Monts Page : Morillon, porte du Haut-Jura Sous le titre : Morillon, un relais important.
Le 16/10/2009
Quelques photos d'une excursion au Creux du Van en septembre. Chapitre : Photos Page : Photos voyages Sous le titre : Le Chasseral et le Creux du Van.
Le 15/10/2009
La peste vient de l’Orient, mais le goitre ? Un médecin a lu la réponse à cette question dans un article de 1853 de Désiré Monnier. En voici quelques lignes qui concernent la Chaux du Dombief. Chapitre : Activités d'antan Page : L'hygiène au XIXeme siècle Sous le titre : Une autre origine du goitre.
Le 08/10/2009
Dans son livre "Ce que je n’oublierai jamais", Victoria Cordier raconte simplement et sans gloriole, sa vie et celle de son équipe de1941 à 1945. De Foncine le bas, en passant par la Grange à l’Olive, Combe David, la Norbière, jusqu'au Risoux et le Gy de l’Echelle, c’est un plaisir de retrouver ces sentiers qu’elle a parcourus à pied, à vélo, à cheval avec son équipe de "passeurs". Voici, tiré de son livre, le récit de deux de ses actions dangereuses et pittoresques : Chapitre : Entre deux Monts Page : Le maquis Vauthier Sous le titre : Victoria Cordier.
Le 10/09/2009
En 1798, notre député Lequinio, en voyage dans le Jura, s'etonne sans cesse de ce qu'il découvre. Avant d'arriver à Foncine, il passe aux Planches et compare les gorges de la Langouette à une rue étroite de Paris, dont les facades auraient le double de hauteur. Chapitre : Morillon, porte du Haut-Jura Page : Mourillons sur l'Esme Sous le titre : Lequinio à Foncine.
Le 05/09/2009
J.B.Munier consacre, dans l’un de ses livres, un chapitre sur les "Cavernes et grottes du canton des Planches en montagne". Deux de ces grottes se situent sur Foncine le Bas. De toutes celles du canton, ce sont les plus intéressantes. Elles viennent après la Grande Cheminée. la grotte du curé Morel, les cavernes à l’ours, Poutin, le Trou du chapeau, le Rocher. Elles sont de loin, les plus profondes et apparemment les moins connues. Voici les pages concernant ces deux grottes : Chapitre : Villages Page : Foncine le Bas Sous le titre : Grottes et caverne de Foncine.
Le 27/08/2009
Thaïs Paget est née à Foncine le Haut en 1816. D’abord institutrice à Sombacour, puis maîtresse des novices des sœurs blanches de la rue Picpus de Paris, elle devient sœur Cyrilla et le 15 décembre 1842 part pour les îles Sandwich. Le voilier fait naufrage au large des Malouines; c’est seulement en 1870 que son frère, Jean-Olympe sut ce qui s’était passé; il le raconta à l’abbé Léon Bourgeois : Chapitre : Routes et chemins Page : Du Haut-Jura au Québec Sous le titre : Les Soeurs Paget.
Le 22/08/2009
Joseph Marie Lequinio (1755 - 1814), le député breton qui voyageait dans le Jura en l’an VI, venait de passer à Champagnole qu’un incendie resté dans les mémoires, avait détruit. A Syam il avait constaté que les taupes avaient saccagé toutes les prairies. Il avait également remarqué d'autres curiosités. Il nous apprend qu'en 1798, une promenade le long du Rachet pouvait consoler un député de ses déboires. Chapitre : Entre deux Monts Page : Morillon, porte du Haut-Jura Sous le titre : Mourillons sur l'Esme.
Le 15/08/2009
On sait que le marquis Albert Eugène de Lullin seigneur de Genève Lullin, épousa en juillet 1622, Catherine de la Baume, dite aussi Catherine de Bruges, qu’il devint par ce mariage, seigneur de la Chaux des Crotenay où il vint habiter amenant avec lui la famille d’Avonay, et que sa Catherine fut inhumée dans l’église de la Chaux. On sait moins qu’il était, en 1668, gouverneur de Gray, où il se trouva en face de XIV et d’un autre franc-comtois, bien connu, Dom Juan de Watteville. Henry Mercier nous raconte dans son livre, d’abord la légende, puis l’histoire de Dom Juan de Watteville. Chapitre : Chaux des Crotenay Page : Les seigneurs de la Chaux Sous le titre : Le marquis de Lullin face à Louis XIV.
Le 15/06/2009
Une description de la contrebande, il y a 150 ans, tirée des "Nouveaux souvenirs de voyage" de Xavier Marmier Chapitre : Activités d'antan Page : La contrebande Sous le titre : La contrebande, vue par Xavier Marmier.
Le 10/06/2009
Joseph Marie Lequinio (1755-1814) est un breton qui se distingue durant la Révolution par son activité politique. En 1798 il est inspecteur des forêts. C’est sans doute ce qui lui permet de visiter le Jura et de rédiger un rapport qui lui vaut d’être encore cité souvent par les historiens de chez nous. Le Jura n’est pas la Bretagne et le surprend souvent. Les tuyés, qui sont pour lui des "tuyaux", l’étonnent. Il consacre cinq pages à la description des habitations. Voici un extrait où il décrit l'étrange cheminée : Chapitre : Activités d'antan Page : L'habitation de nos ancêtres Sous le titre : Les tuyés, vus par Lequinio.
Le 30/05/2009
Gilbert Cousin, dans sa "Description de la Franche Comté", nous décrit Nozeroy au XVIe siècle. Puis en suivant le cours de l'Ain et de la Saine qui s'y jette, arrive jusqu'à Foncine, avant de continuer sa route vers Saint-Claude et après avoir traversé le Grandvaux. Chapitre : Origine de certains noms et sobriquets Page : Gilbert Cousin, un humaniste Comtois Sous le titre : Nozeroy et ses environs, par Gilbert Cousin.
Le 20/05/2009
Voici un texte tiré des "Poésies Franc-Comtoises" de Max Buchon (1868), qui dépeint joliment ce qu'était la lessive autrefois. Chapitre : Activités d'antan Page : L'hygiène au XIXeme siècle Sous le titre : La lessive vue par un poète.
Le 15/05/2009
Chacun sait que la bataille d'Alésia s'est déroulée à Cornu, et non à Salins. La troisième bataille l’a démontré. Il serait cependant dommage que l’on oublie les quelques pages que Max Buchon consacre à Vercingétorix dans son "Histoire de Salins". Il est vrai que Max Buchon était un fanatique de son pays. Il est vrai aussi qu’il écrivait cette histoire en 1862, c’est à dire juste un siècle avant le portrait robot créé par André Berthier. Voici un extrait de son livre : Chapitre : Entre deux Monts Page : Le col du Gyps Sous le titre : Alésia selon Max Buchon.
Le 04/05/2009
Un sans-culotte fuyant la guillotine, quitte Paris pour gagner la Suisse et admire, en passant, le rachet, à Morillon. Chapitre : Routes et chemins Page : Nobles voyageurs Sous le titre : Jacques Antoine Dulaure.
Le 06/04/2009
C’est dans les années 1920 que l’électricité arrive dans les communes du canton des Planches. A Foncine le bas, c’est Albert VUILLET, avec ses fils Fernand et Maurice, qui s'occupe de ce projet. Chapitre : Villages Page : Foncine le Bas Sous le titre : Foncine électrifié.
Le 01/04/2009
Cela se passe en 1791 et c’est un suisse qui raconte son voyage. Son journal est doublement Intéressant puisqu'il nous décrit comment se passait un voyage en diligence, et que cette diligence passait, comme celle du grandvallier Bouvet, devant la Vierge de Morillon, puis par Maison Neuve devenu notre Pont de la Chaux. En voici des extraits: Chapitre : Activités d'antan Page : Les diligences Sous le titre : De Genève à Paris, par Morillon, en 1791.
Le 30/03/2009
Thérèse Bailly a eu la gentillesse de m'envoyer trois photos et quelques informations pour complèter la page sur la chocolaterie JACQUIN. Chapitre : Villages Page : Foncine le Bas Sous le titre : Famille Jacquin.
Le 23/03/2009
Un petit livre écrit par deux meuthiards en 1902, raconte comment fonctionnaient les fromageries autrefois. En voici quelques extraits : Chapitre : Activités d'antan Page : Mémoire de fruitier Sous le titre : La fromagerie il y a 300 ans.
Le 05/03/2009
Xavier Marmier sait raconter sa province, l’air pur de ses montagnes, le parfum de ses vallons, l‘agreste harmonie de ses bois. On est loin du réchauffement de la planète, des pollutions de toutes sortes ou des OGN. Chapitre : Activités d'antan Page : Le climat autrefois Sous le titre : La neige vue par Xavier Marmier.
Le 02/03/2009
Qui sont donc ces voituriers de marine dont parle Max Buchon dans son livre "le Matachin" ? Voici en quoi consistait leur travail: Chapitre : Activités d'antan Page : Les voituriers Sous le titre : Voituriers de Marine.
Le 25/02/2009
En 1845, Xavier Marmier dans ses souvenirs de voyage, nous décrit une activité d'appoint pratiquée par les habitants d'Entre les Fourgs durant l'Hiver : Cloutier. Page : Activités d'antan Sous le titre : Cloutier à Entre les Fourgs.
Le 23/02/2009
Entre 1815 et 1848, a lieu une nouvelle tentative de colonisation de la Guyane Française, en particulier dans le secteur de la rivière Mana. 200 colons venus du Jura s’y installent. Ils cultivent le rocou, le coton, la canne à sucre, et le clou de girofle. Mais la découverte de mines d’or fait oublier ces cultures. Henri A. Coudreau, dans ses "Etudes sur les Guyanes et l’Amazone" rapporte un cas particulier intéressant : Chapitre : Routes et chemins Page : Du Haut-Jura au Québec Sous le titre : du Jura à la Guyane.
Le 18/02/2009
Plusieurs articles de Serge Gay, racontent ce qui s’est passé entre Saint Laurent et Ilay durant l'été 1944. En voici quelques paragraphes : Chapitre : Entre deux Monts Page : Le maquis Vauthier Sous le titre : L'été 1944 entre Bonlieu et Saint-Laurent.
Le 12/02/2009
Voici, tiré une fois encore des souvenirs d'enfance de Micheline, une jolie description de l'automne aux Serrettes. Chapitre : Raconte toi Comtois Page : La vie aux Serettes Sous le titre : L'automne.
Le 09/02/2009
Les " Serrettes", c'est un petit coin à 1500 mètres du village, caché entre les sapins du Mont Noir et la Sainette. Au delà, il n’y a que des sentiers qui partent à travers bois. Les voitures ne vont pas plus loin. C’est ici qu’est née Micheline, qu’elle a grandi, qu’elle a vu vivre et travailler ses parents à une époque où on ne connaissait ni l’électricité ni l’essence. Elle s’en souvient et le raconte, à sa façon, et c’est un plaisir de la lire. Voici, toute crue, sa page sur la batteuse : Chapitre : Raconte toi Comtois Page : La vie aux Serettes Sous le titre : La batteuse à Foncine.
Le 05/02/2009
Boire pour ne pas devenir crétin, c’est J.B. Baillière un spécialiste du goitre, qui en 1867, après avoir observé la population jurassienne, donne ce curieux conseil. Chapitre : Raconte toi Comtois Page : La montagne jurassienne Sous le titre : Boire pour ne pas devenir crétin.
Le 02/02/2009
La chasse aux sorciers s'installe dans la Haut-Jura à la fin du XVIe siècle. Une quarantaine de procès se dérouleront sur une période d'environ soixante ans. Un texte tiré du Progrès de septembre 2007, nous rappelle qui était Henry Boguet, Grand Juge de Saint-Claude, qui menait cette inquisition. Chapitre : Activités d'antan Page : Superstitions Sous le titre : L'inquisition dans le Haut-Jura.
Le 26/01/2009
En 1754, Mandrin et sa bande traversent par 4 fois le Jura. En juillet, la troupe passera par Champagnole. Mandrin n'y commet aucune nuisance. Mais les dégâts "collatéraux" ont détruit une bonne partie de la vieille enceinte médiévale. Voici un article du "Progrès" qui rappelle ces 4 raids éclairs. Chapitre : Les chemins du sel Page : Le sel comtois Sous le titre : 1754, une année de feu.
Le 23/01/2009
Voici, toujours tirés du livre de Jean-Baptiste Munier, quelques textes d'archives qui attestent que les ours étaient présents dans nos montagnes au XIVe siècle. Page : Routes et chemins Sous le titre : La Saine arrose le pays des ours.
Le 22/01/2009
En glanant dans l"Histoire des Foncines" de Jean-Baptiste Munier, je trouve quelques passages qui viennent complèter le chapitre de ce site consacré aux mariages d'autrefois. Page : Activités d'antan Sous le titre : Mariages et Funérailles.
Le 19/01/2009
Un article du Progrès du 25 juillet 2007, donne quelques informations sur l'origine du nom du hameau des "Ruines". Chapitre : Villages Page : Foncine le Haut Sous le titre : Les Ruines.
Le 15/01/2009
La "Vie du Rail", dans son numéro de décembre 1965, consacre à JOUEF quatre pages très illustrées. On y lit qu'à cette époque, Foncine était considéré comme le "Royaume du jouet ferroviaire". Laissant de côté les paragraphes techniques, voici quelques lignes intéressantes et photos tirées de ce numéro. Chapitre : Villages Page : Foncine le Bas Sous le titre : Jouef et les lunetteries.
Le 26/12/2008
Une photo des conscrits de Foncine le Bas de 1924 et une photo des mobilisés de 1939 Chapitre : Foncine le Bas Page : L'école de Foncine le bas Sous le titre : Les conscrits de 1924.
Le 20/12/2008
Jean MICHEL donne quelques renseignements sur la famille d’Aubin POUX-BERTHE, qui a tenu une place importante à Foncine le bas, vers les années 1880- 1930. Par son épouse, Anne Pouillard, il appartient à cette famille qu’il connaît bien. Je suis heureux de pouvoir, grâce à lui, ajouter à la page sur les familles de Foncine, quatre photos de cette époque, et un texte tiré d’un récit écrit en 1883, concernant Achille POUX, celui qui a quitté Foncine avec sa famille pour la Pennsylvanie. Chapitre : Foncine le Bas Page : Les fonciniers en 1756 Sous le titre : Famille Poux.
Le 16/12/2008
Joseph Liboz (1906 - 1998) fut le dernier patron de la forge de Foncine le Bas. Ce bâtiment, qui fait parti du patrimoine du village, appartient à la famille Liboz depuis 1834. On trouve la trace de l'installation d'un martinet à cet emplacement, en 1790. Chapitre : Foncine le Bas Page : Les scieries de Foncine le Bas Sous le titre : La forge de Joseph Liboz.
Le 11/12/2008
Madame Longchamp vivait dans le hameau des Ruines près de Foncine le Haut. Dans sa jeunesse, elle descendait deux fois par jour, à pied, été comme hiver, travailler dans une lunetterie de Foncine le Bas. En 1986, elle racontait entre deux cigarettes, ses souvenirs de cette période à un journaliste du "Progrès". Chapitre : Foncine le Haut Page : Les Ruines Sous le titre : Lunetiers des Ruines.
Le 05/12/2008
Il y a des gens qui aiment les chevaux; d'autres les chiens; d'autres les chats, ... Combien y en a-t-il qui portent aux boeufs un intérêt analogue ? Le boeuf n'a ni le coûteux éclat du cheval, ni la servilité du chien, ni l'indolence du chat, ni la maussaderie de l'âne, et cependant le boeuf est sobre et robuste comme l'âne, songeur comme le chat, sympathique comme le chien et fort comme le cheval. Dans son livre "Le Matachin", Max Buchon (né en 1818 à Salins) rend au boeuf un bel hommage. Chapitre : Activités d'antan Page : Les voituriers Sous le titre : Un hommage au boeuf.
Le 25/11/2008
Une petite galerie de photos, prises dimanche 23 novembre, près des lacs du Maclu et de Bonlieu, sous la neige. Chapitre : Photos Page : Photos Neige Sous le titre : Première neige de 2008.
Le 18/11/2008
Son nom apparaît sur tous les livres parus depuis 50 ans et traitant d’Alésia. Il figure sur toutes les cartes. Ce col donnait passage à une "vie" importante et en l’an 52 avant J.C., il fut le témoin de la fin de la Gaule. Une des missions du château de Chaux des Crotenay était de protéger la route de Genève et donc ce col. Vous trouverez sur cette page quelques photos des vestiges de ce château. Chapitre : Villages Page : Entre deux Monts Sous le titre : Le col du Gyps.
Le 08/11/2008
Le 13 juin 1940 marque le début de la grande vague de l’exode des populations venues d’Alsace et de Lorraine. Elle atteint son paroxysme le 16 juin. Il y a ceux qui partent en train, comme le raconte Jean Cuynet dans son livre "La bataille du Rail en Franche Comté", et ceux qui sont jetés sur les routes. Durant ces jours sombres, la route de Malvaux mérita bien son nom. Chapitre : Raconte toi Comtois Page : Vacances en Grandvaux en août 1940 Sous le titre : Juin 1940 à Foncine le Bas.
Le 27/10/2008
Foncine le Bas vue d'en haut, avec des photos prises du clocher, lors des travaux de réfection de l'église, il y a 10 ans déjà. Chapitre : Foncine le Bas Page : L'église de Foncine le Bas Sous le titre : Foncine vue du clocher.
Le 23/10/2008
Voici, pour complèter la page "Portraits de Comtois", une nouvelle description du caractère du Haut-Jurassien, tirée du livre de Michel Grand-Clément. Il y est aussi question de Lamartine, dont les ancêtres étaient originaires de la région de Saint-Claude. Chapitre : Raconte toi Comtois Page : La montagne jurassienne Sous le titre : Portraits de comtois.
Le 20/10/2008
Entre 1275 et 1291, se tint trois chapitres généraux, chargés de la codification des règlements de l'Abbaye de Saint-Claude. Les moines devaient être habillés d'étamine, étoffe de laine ou lin de fil léger, couleur blanche ou écrue. Un article précise que, défense est faite aux religieux de prêter leurs robes aux farceurs. Ceci prouve que des farceurs se travestissaient à certains jours avec de doctes défroques, pour amuser le public. Michel Grand-Clément, dans son livre "Histoires populaires du Haut-Jura", tente de retrouver dans ces manifestations populaires de carnaval qui remontent au XIIIe siècle, l’origine des "Soufflaculs" de Saint-Claude. Chapitre : L'habitation de nos ancêtres Page : Autres coutumes Sous le titre : Les Soufflaculs.
Le 08/10/2008
La page sur Gilbert COUSIN est complétée par un chapitre intitulé : "Comment sommes nous cousins de Gilbert Cousin ?" Chapitre : Origine de certains noms et sobriquets Page : Gilbert Cousin, un humaniste Comtois Sous le titre : Comment sommes-nous cousins avec Gilbert Cousin.
Le 05/09/2008
Qui êtes vous Monsieur Asantcheeff ? C'est le titre d'un dossier de 23 pages, oeuvre de Gérard Hartmann, trouvé au cours d'une promenade sur internet. Les fonciniers qui se souviennent de Monsieur Asantcheeff qui vivait discrètement avec sa famille sur les bords du Galaveau, se sont peut-être posé la même question. Voici la réponse de Gérard Harmann, tirée de son dossier, les parties trop techniques étant écartées. Chapitre : Villages Page : Foncine le Bas Sous le titre : Monsieur Asantcheeff.
Le 26/07/2008
Un 14 juillet pluvieux à Kandersteg. Page : Itinéraires Sous le titre : De Champagnole à Kandersteg.
Le 21/07/2008
En octobre 1968, Antoinette BRENET, à peine sortie de la Sorbonne, arrive au lycée Laveran de Constantine. Elle y retrouve André Berthier, directeur de la circonscription archéologique de Constantine. Voilà réunis deux latinistes qui vont lire, relire et retraduire les textes de Jules César et de Salluste et découvrir qu'Alésia est à la Chaux des Crotenay et nulle part ailleurs ... Encore fallait-il le confirmer sur le terrain, et c'est là que débuta une guerre de trente ans. Elle me permettra d'emprunter deux pages de son livre "Les escargots de la Muluccha" où elle relate la découverte de notre canton, en 1963, par deux grands savants venus de Constantine. Chapitre : Rivières Page : La Saine Sous le titre : Que la nature est belle entre Saine et lemme.
Le 17/07/2008
Le 6 Avril 1951, j'avais pour la première fois les honneurs du journal officiel. Je figurais sur la liste des sous officiers de chancellerie inscrits au tour de départ pour l'Extrème-Orient avec le numéro 27 sur 51. J'allais passer 2 ans et demi dans un pays étonnant dont voici quelques souvenirs. Chapitre : Récits Page : Raconte toi Comtois Sous le titre : de Foncine à la Cochinchine.
Le 10/07/2008
Le livre "Alésia, citadelle du Jura" de Danielle PORTE consacre trois pages à Rapoutier-Dessus.. Il s’agit de l’un des sites spirituels celtiques, apparemment le plus beau, situés hors des murs de l’oppidum. Chapitre : Foncine le Bas Page : Les hameaux de Foncine le Bas Sous le titre : Rapoutier-Dessus ou Mycènes.
Le 30/05/2008
On sait peu de choses sur ce qui se passa aux Rousses pendant la Révolution. Les registres ont disparu. L'abbé Marc Berthet nous rapporte ce qu'il a pu lire dans les registres de l'abbé Dalloz. Chapitre : Foncine le Bas Page : La révolution à Foncine Sous le titre : La Révolution aux Rousses.
Le 14/05/2008
On trouve dans le livre de L'abbé Berthet, "Les Rousses" (1988), une étude de l'évolution de la circulation des personnes et des marchandises, depuis le XVIIIe siècle. Il y est question des taxes sur les marchandises transportées. Jusqu'à la conquête française, il n'y eut pas de douanes à proprement parler à la frontière. Le commerce était presque totalement libre. Toutefois, les péages prélevaient une taxe sur les marchandises. L'abbé Berthet nous rappelle de quelle manière ces pratiques ont évolué après le traité de Nimègue, avec la mise en place, par Colbert, pour la collecte de l'impôt, de la toute puissante "Ferme Générale", et enfin avec la création en 1791, de l'administration des Douanes. Chapitre : Routes et chemins Page : La construction des premières routes de Chapelle des Bois Sous le titre : Evolution du trafic routier.
Le 25/04/2008
Lisbonne, entre modernité et traditions, et aussi entre soleil et pluie ... une ville pleine de contrastes. Chapitre : Photos Page : Photos voyages Sous le titre : Photos de Lisbonne.
Le 11/04/2008
Les sapins du Mont-Noir sont exploités depuis que la région est habitée. Ils ont été utilisés d’abord par les particuliers, puis par les scieries, mais bien vite les plus beaux ont été réservés pour la Marine, civile ou plus souvent militaire. Il fallait donc les transporter et bien loin. L‘almanach Comtois de 2008 publie à ce sujet un article très intéressant. Chapitre : Activités d'antan Page : Les voituriers Sous le titre : Le transport du bois.
Le 04/04/2008
On lit dans l’Almanach Comtois de 2008 deux pages intéressantes sur un revenant du Lac de Bonlieu et je me permets de les emprunter pour tenir compagnie à celles consacrées au Lac à la Dame. Ce lac est superbe, bien plus beau que le nôtre. Se promener sur sa rive sud est un délice. Monter jusqu’au belvédère au coucher du soleil tout autant. Le revenant de Brigitte Rochelandet est certes un enfant de choeur comparé à nos sorciers et sorcières, ou à nos loups-garous. Mais le lac de Bonlieu a aussi ses légendes, témoin celle de Claude Vaudrey, le sire de l’Aigle, qui fut enlevé de son château directement au ciel sur son cheval blanc par la fée Burgondia et que l'on apperçoit quelques fois dans les airs au dessus du lac de Bonlieu, armé et casqué. Le magnifique coursier semble parfois effleurer le sol pour rebondir vers une cime. Ce lac a aussi son histoire. Chapitre : Les hameaux de Foncine le Bas Page : Le Lac à la Dame Sous le titre : Le Lac de Bonlieu.
Le 15/03/2008
C’est un petit lac, très poissonneux, de deux ou trois hectares et profond d’à peine 15 mètres. Sur sa rive nord un petit hameau, à l’extrémité ouest les Monnets, à l’autre extrémité une seule maison proche d’un pont qui donne passage au Seigne, ruisselet, qui s’en va rejoindre la Saine par Grataloup, au bas de Malvaux. Outre la route qui le relie à Foncine le Bas par les Fumey et à Fort du Plasne, ce hameau est proche d’un chemin forestier menant à la Vie du Four puis à Entre deux Monts. Ce chemin était encore très fréquenté en 1925. La Gabrielle, la sage femme de la Sange Renaud, comme le père Blondeau menuisier à Foncine le bas l’empruntaient régulièrement, à pied bien sûr. Chapitre : Foncine le Bas Page : Les hameaux de Foncine le Bas Sous le titre : Le Lac à la Dame.
Le 01/03/2008
Lucien RUTY est à la fois généalogiste et historien. Ses ancêtres vivaient, dès le XVème siècle, aux Ruines. C’est donc tout naturellement que dans ses livres on retrouve soit le hameau des Ruines, soit des habitants des Ruines, en opérations contre les Schwedes, ou avec Charles le Téméraire, les Croisés, Bonaparte, Napoléon ... Il me pardonnera de lui emprunter quelques extraits de son récit historique "Les sept vies du Burgonde" que certains fonciniers n’ont peut-être pas lus. Chapitre : Villages Page : Foncine le Haut Sous le titre : Les Ruines.
Le 17/02/2008
C’est au début des années 1900 que l’industrie du marbre fut la plus développée dans le Jura. Il y avait 3 grands sites : la région doloise, la région de Saint Amour, la région de Saint-Claude. Il y avait aussi de nombreuses petites carrières exploitées localement. Au Moyen-Age, Foncine le Bas faisait partie de ces sites et a produit des blocs à l'origine de sculptures prestigieuses telles le tombeau de Marguerite d'Autriche ou celui de Jean sans Peur. Chapitre : Foncine le Bas Page : Les scieries de Foncine le Bas Sous le titre : Foncine, un pays de marbre.
Le 14/02/2008
Le 31 mai 1793 la révolution française bascule : la convention, c'est à dire l'assemblée nationale, s'en prend à une partie d'elle-même. La faction montagnarde appuyée par la commune parisienne, se débarrasse des républicains modérés, les Girondins. Une vingtaine sont arrêtés, jugés sommairement et guillotinés. Les autres en fuite connaitront une fin tragique. Jean-Baptiste Louvet est l'un des rares députés girondins à passer à travers les mailles du filet. Devenu clandestin il se réfugie en Suisse via le Jura. Il se cachera comme beaucoup d'autres pendant plusieurs mois, au Creux-Maldru. Chapitre : Foncine le Bas Page : La révolution à Foncine Sous le titre : Un Girondin au Creux Maldru.
Le 08/02/2008
On sait que c'est Pierre Hyacinthe Caseaux, qui fabriquait du fil de fer grâce à l'eau du Bief de Chaille à Morez, qui a amené la lunetterie dans cette région. On sait moins que les lunettes étaient connues bien avant. Dans son "Histoire des Rousses", l'abbé Marc Berthet consacre quelques pages à cette vie antérieure qui ne manque pas d'intérêt. Page : Activités d'antan Sous le titre : Apparition de la lunetterie.
Le 28/01/2008
Comme beaucoup de ceux qui ont grandi à Foncine le Bas et qui ont dû s’expatrier, Claude Amanton se souvient avec émotion et nostalgie du temps où notre village "était encore relativement vierge et sauvage, où on ne parlait ni de remembrement ni de plan d’occupation des sols, où les oiseaux pouvaient encore nicher". Il vient de commettre ce qu’il appelle un "roman inspiré de faits historiques et dont les personnages sont imaginaires." L’action de ce roman se situe en partie en Algérie, au temps des "opérations de maintien de l’ordre" et en partie autour de la poste de Foncine le bas où il a grandi. Il a bien voulu m’autoriser à lui voler quelques paragraphes tirés de cette seconde partie. Je sais que certains de ceux qui ont quitté Foncine les liront avec plaisir. Chapitre : Raconte toi Comtois Page : La vie aux Serettes Sous le titre : Souvenirs d'enfance à Foncine.
Le 24/01/2008
Cet autre livre, d'Auguste Bailly, après un court roman, comporte treize nouvelles. Le quartier des Rochats, où l’auteur a vécu sa retraite, y est souvent cité. Le sont aussi les villages du Grandvaux et les chemins qui conduisent au Brassus en passant par le Mont-Noir et le Risoux. Les expressions, les attitudes d'il y a 150 ans, y sont étonnamment vivantes de réalisme. Ces textes sont souvent des farces burlesques, quelques unes sont plus émouvantes, voire tragiques. Le style imagé d’Auguste Bailly qui connaît bien son monde, nous offre une fois encore, une série de personnages au caractère trempé et de tableaux de la vie au Grandvaux, qui viennent complèter la collection que nous avions déjà. Comme chez Numa Magnin, la morale n'est jamais loin. Mais là où son compatriote parle du bien, Auguste Bailly termine souvent ses textes par une pointe de désespoir en soulignant l'injustice qui s'abat sur son personnage, parfois au delà de la mort, et en montrant souvent le côté sombre de l'esprit humain. Chapitre : Récits Page : Auguste Bailly Sous le titre : L'Homme Errant.
Le 17/12/2007
L'oeuvre poétique de Louis Pergaud se compose de deux recueils parus, le premier, "l'Aube", en 1904, le second, "l'Herbe d'Avril" en 1908, et d'un assez grand nombre de poèmes publiés dans de petites revues depuis longtemps oubliées ou demeurés inédits. Tous, à une exception près, sont antérieurs à "De Goupil à Margot". Voici quelques poèmes tirés de son deuxième recueil. Chapitre : Récits Page : Louis Pergaud Sous le titre : Poèmes de L. Pergaud.
Le 13/12/2007
Quelques extraits de "Saint-Esprit", choisis hors de la trame du roman, mais relatant la vie des hommes, celle de la faune, des oiseaux, des sapins … de tout ce qui peuple le Mont-Noir. "Saint-Esprit" n'a pas eu, comme "la Carcasse et le Tord Cou", les honneurs du cinéma, et il est maintenant bien oublié. C'est dommage ! Rappelons que tout ceci se passe avant 1926. Chapitre : Récits Page : Auguste Bailly Sous le titre : Saint-Esprit.
Le 12/12/2007
Dans cet extrait de "Saint-Esprit", la scène se déroule dans le café de Chapelle des Bois. Le personnage principal tente de convaincre son auditoire, de renoncer à remplacer le chalet communal, corporatif, par un chalet modèle. Il énumère les inconvénients qu'il devine dans ce progrès et rappelle les habitudes et les coutumes qui disparaîtront irrémédiablement avec lui. Chapitre : Récits Page : Auguste Bailly Sous le titre : Le vieux chalet.
Le 11/12/2007
Le tableau se passe à Fort du Plasne et les acteurs sont des granvalliers. C'est normal, l'auteur, Auguste Bailly (1878-1967) né à Lons-le-saunier, d’un père granvallier et d’une mère piémontaise, vivait à Saint-Laurent. Mais qui se souvient que "l'héroïne" est une foncinière et mieux encore de Foncine le bas. Alors les granvalliers me pardonneront d'emprunter à ce chef d'oeuvre quelques morceaux choisis, dans lesquels les fonciniers du bas, surtout ceux qui sont expatriés, se reconnaîtront. Chapitre : Récits Page : Auguste Bailly Sous le titre : La Carcasse et le Tord Cou.
Le 10/12/2007
Auguste Bailly (1878-1967) naît à Lons-le-saunier, d’un père grandvallier et d’une mère piémontaise. Il aurait été dommage de ne pas lui consacrer un chapitre sur ce site, puisque plusieurs de ses romans ("La Carcasse et le Tord-Cou", "Saint-Esprit", "L'homme errant") se déroulent non loin de notre région. En voici quelques extraits : Page : Récits Sous le titre : Auguste Bailly.
Le 10/11/2007
Nozeroy a célébré cette année le 500e anniversaire de la naissance de Gilbert COUSIN. Ceux qui se sont trouvés des ancêtres dans le secteur de Mouthe ou Nozeroy, ont sans doute découvert que cet homme célèbre était un peu leur lointain cousin, et ils seront heureux de lire ou de relire l'article, paru dans le Progrès de Lyon en 2005. Chapitre : Généalogie Page : Origine de certains noms et sobriquets Sous le titre : Gilbert Cousin, un humaniste Comtois.
Le 31/10/2007
L'impôt qui soulevait le plus de malédictions était la gabelle, parce qu'elle était aussi cruelle par les vexations de sa perception que meurtrière par l'énormité de son chiffre. C'est peut-être, selon Jean-Baptiste Munier, à cause d'elle que les jurassiens sont devenus contrebandiers. Chapitre : La contrebande Page : Les contrebandiers du sel Sous le titre : La Gabelle.
Le 22/10/2007
Quelles sont les origines de la Séquanie, de la Franche-Comté, de tel lieu ou de telle plante connue dans la région ? Des questions, auxquelles les légendes apportent souvent des réponses pittoresques. Voici un extrait du livre de Georges Bidalot : "Franche-Comté, terre de légendes". Chapitre : Activités d'antan Page : Superstitions Sous le titre : Les origines.
Le 16/10/2007
Ceux qui ont eu 15 ans à Foncine dans les années 30 se souviennent de la Zulma qui tirait les cartes et de son mari, le Boër, dont on se demandait d’où lui venait ce nom. Pierre Longchamp nous apporte la réponse. Chapitre : Raconte toi Comtois Page : La vie aux Serettes Sous le titre : La Zulma et le Boër.
Le 10/10/2007
Jadis, les superstitions pour retarder ou éviter la mort, ne manquaient pas. Il y avait les présages, signes inéluctables annonçant qu'elle était proche, et il y avait les mille et une petites choses, auxquelles il fallait prendre garde pour entraver son oeuvre. Toujours tirés du livre "Médecins, médecines et superstitions dans la Franche-Comté d'autrefois" voici un nouvel extrait. Chapitre : Activités d'antan Page : Superstitions Sous le titre : La mort et les superstitions.
Le 29/09/2007
Garder la santé, soulager la douleur, retarder la mort, tout cela sans recourir aux soins d'un médecin était un soucis quotidien pour nos ancêtres. Il suffisait pour cela de fabriquer soi-même ses remèdes à partir de recettes transmises de génération en génération. Parallèlement, le roi Louis XIV avait ordonné qu'il soit envoyé, chaque année, dans les campagnes, des remèdes destinés aux pauvres. Voici sur ces sujets, un extrait du livre "Médecins, médecines et superstitions dans la Franche-Comté d'autrefois" de Jean-Louis Clade. Chapitre : Activités d'antan Page : L'hygiène au XIXeme siècle Sous le titre : Remèdes royaux et remèdes miracle.
Le 01/09/2007
Pierre Longchamp, qui connaît bien Foncine et les fonciniers, a eu la gentillesse de m'envoyer une cassette sur laquelle il a enregistré oralement, toute une série d'anecdotes. Il raconte, entre autres, une visite durant l'été 1968, chez Mme Jules Jobard, que tout le monde, à Foncine, prénommait "tante Rose". Voici une copie de cette scène. Certains pourront y retrouver une atmosphère qu'ils connaissent. Chapitre : Récits Page : Raconte toi Comtois Sous le titre : Un après midi chez Tante Rose.
Le 15/08/2007
Le calendrier de l'abbé Léon Bourgeois-Moine, tiré de ses "Recherches historiques sur Chapelle des Bois" est complèté par une liste d'évènements, qui débute en 790, date à laquelle Charlemagne concède à Richebert, abbé de Condat, la forêt du Jura jusqu'à l'Orbe, et se termine en 1760. Chapitre : Villages Page : Chapelle des Bois Sous le titre : Chapelle des Bois, de 790 à 1760.
Le 08/08/2007
Philippe Vuillaume me transmet le parcours de son arrière grand père Félix VUILLAUME durant la guerre 1914-1918. Il était fromager de Foncine le Haut jusqu’en 1948. Chapitre : Villages Page : Foncine le Haut Sous le titre : Un foncinier dans la grande guerre.
Le 26/07/2007
Qui était ce TATI qui a laissé son nom à un pont routier de la RN5, entre le Pont de la Chaux et la Billaude ? Le "Progrès" donne la réponse dans un de ses numéros de mai 2007. Chapitre : Routes et chemins Page : Le tracé de la RN5 Sous le titre : Le Pont Tati.
Le 18/07/2007
Une série de photos du "Crêt de Chalam". Chapitre : Les invasions Page : La borne au lion Sous le titre : Le Crêt de Chalam.
Le 13/07/2007
Au départ de champagnole, un autre itinéraire vers la Suisse, à destination de Lauterbrunnen, près de Grindelwald, pour découvrir le Schiltorn, avant de revenir par le Val d'Hérens. Page : Itinéraires Sous le titre : de Champagnole à Lauterbrunnen (Suisse).
Le 03/07/2007
Désiré MONNIER (1788-1867), érudit autodidacte, connu pour ses nombreux écrits sur l’histoire de la Séquanie et du Jura, a écrit en 1823 "Mémoires et dissertations sur les antiquités nationales et étrangères" dont une grande partie se rapporte au Haut-Jura et à la Bresse. Voici quelques extraits. Chapitre : Activités d'antan Page : L'habitation de nos ancêtres Sous le titre : Autres coutumes.
Le 27/05/2007
Chapelle des Bois a vu naître de nombreux missionnaires, hommes et femmes. L'abbé Léon Bourgeois reproduit quelques lettres dans lesquelles les intéressés racontent leurs voyages. En voici quelques-uns. Chapitre : Routes et chemins Page : Du Haut-Jura au Québec Sous le titre : Les grands voyages des Chapelans.
Le 17/05/2007
Dans ses "Recherches historiques sur Chapelle des Bois", l'abbé Léon Bourgeois-Moine, a rédigé un calendrier qui, de 1761 à 1899, retrace une multitude d'évènements où la petite histoire se mêle à la grande. Tout est noté, depuis l'introduction de la filature du coton, des fromageries, des premiers lapins, les catastrophes naturelles, les problèmes d'empiètement avec nos voisins suisses, les travaux de l'église, la construction des routes ... Tous les drames de ce petit village sont notés au fil des ans au milieu d'une autre histoire, qui va de la prise de la Bastille à la Commune de Paris, en passant par les batailles Napoléonienne auxquels ont participé quelques chapelans, où par la guerre de 1870 où on apprend que le premier soldat français tué était de Petite-Chaux. Chapitre : Villages Page : Chapelle des Bois Sous le titre : Chapelle des Bois, de 1761 à 1799.
Le 07/04/2007
Cet hiver 2006 aura été estival, et le printemps débuta par une semaine hivernale. Le jour du printemps, le département était placé en alerte orange. On attendait 40 cm de neige dans la nuit, en plus de ce qui était déjà tombé les 3 jours précédents. Un temps idéal pour une petite sortie en traineau à chiens. Voici quelques photos du "printemps 2007". Chapitre : Photos Page : Photos Neige Sous le titre : Neige et chiens de Traineaux.
Le 05/04/2007
A la fin du XVIIe siècle, une invention fit son apparition dans les villes. Elle apporta un progrès considérable en permettant d'y circuler en sécurité la nuie venue. Celui qui fut à l'origine de ce progrès, était de chez nous, ou presque. Chapitre : Foncine le Bas Page : Jean-Baptiste Munier Sous le titre : L'invention du réverbère.
Le 08/03/2007
En 1815 le général Vionnet est au sommet de sa réussite. Napoléon a laissé sa place au roi Louis XVIII. Vionnet est fait général et a encore quinze années de carrière militaire devant lui. Cependant, il ne retrouve pas dans l’armée de la Restauration, l’état d’esprit de la Garde Impériale. Ses fonctions l’amènent à combattre ses anciens amis. Il est, dirait-on aujourd’hui, en contrat temporaire. On comprend que les cahiers où figuraient ses mémoires de cette dernière période, n’aient pas été beaucoup recherchés. Voici cependant quelques renseignements qui pourront remplir ce vide. Chapitre : Vionnet Page : Le Lieutenant Général Vionnet, Vicomte de Maringoné Sous le titre : Le Général Vionnet après 1814.
Le 23/02/2007
Le 22 juin 1940, Hitler décide d’occuper une partie de la France vaincue. Pour cela il impose une ligne de démarcation séparant la zone occupée, soumise à un gouverneur militaire allemand, de la zone non-occupée, restant sous l’autorité théorique du gouvernement de Vichy. Le tracé ne tint évidemment pas compte des intérêts légitimes des populations. Il fut pourtant quelques fois modifié. Il pouvait être facile de la franchir sans y prendre garde. Chapitre : Récits Page : Raconte toi Comtois Sous le titre : Vacances en Grandvaux en août 1940.
Le 16/02/2007
Dans les années 1750, selon le docteur Munier, "Fatigués de toutes les difficultés, de tous les procès sans cesse renaissants suscités par les seigneurs de Château Vilain, les habitants des Foncines et des Planches cherchèrent un terme". Le 25 février 1756 ils se réunirent et délibérèrent. Cette réunion eut lieu sur la place publique de Foncine le Haut. Le compte-rendu comporte 219 noms, on y trouve les noms d’une bonne partie des chefs de familles des Foncines et des Planches en 1756. Voici un essai concernant l'origine de quelques familles de Foncine le Bas. Chapitre : Villages Page : Foncine le Bas Sous le titre : Les fonciniers en 1756.
Le 03/02/2007
Au XVIIIe siècle, les médecins n'éprouvaient aucune difficulté à décrire les symptômes des maladies. Ils le faisaient à grands renforts de détails avant d'aboutir à un diagnostic. Il n'en allait pas de même quand ils abordaient le problème de l'origine des maladies. Certains médecins fondaient les causes sur toutes sortes d'élucubrations plus ou moins farfelues. Des siècles auparavant, la dernière épidémie de peste eut lieu en Franche-Comté (1636-1644). Là encore, la médecine restait impuissante et les efforts se limitaient à éviter la contagion. Pour cela, les magistrats mirent en place un "personnel de peste" pour veiller au respect des réglements. Chapitre : Activités d'antan Page : L'hygiène au XIXeme siècle Sous le titre : L'origine des maladies.
Le 25/01/2007
Situé dans la forêt du Croz, le belvédère du Bulay est perché sur un rocher à 1139 mètres d'altitude. Il domine la vallée de la Saine, le Grandvaux, son horizon sud est barré par les monts du Jura et le Risoux, par-dessus lequel émerge la chaîne du Mont-Blanc lorsque le temps est clair. Voici quelques photos de ce belvédère. Chapitre : Villages Page : Foncine le Haut Sous le titre : Le Bulay, phare du Haut Jura.
Le 22/01/2007
La liste des maires de Foncine le Bas est complétée par quelques lignes sur le premier d'entre eux, Alexis Bourgeois Greffier et son rôle d'agent national sous la révolution. Chapitre : Villages Page : Foncine le Bas Sous le titre : Les Maires de Foncine le Bas.
Le 31/12/2006
Ils n'ont vécu qu'un demi-siècle, mais ils resteront à jamais les témoins de l'entrée du Jura dans le XXe siècle. Créés à la fin du XIXe siècle, les trams et autres tacots ont disparu au début des années 50, victimes de l'évolution trop rapide de leur temps. Chapitre : Trains Page : Le temps du Tacot Sous le titre : Les chemins de fer vicinaux, symbole de l'ambition jurassienne.
Le 24/12/2006
Après la photo de classe de 1930 et celle de 1936, voici la photo de classe de 1939. Chapitre : Foncine le Bas Page : L'école de Foncine le bas Sous le titre : Ecole de Foncine le Bas en 1939.
Le 16/12/2006
Dans son livre "l'Arbézie", paru en 1997, Maryse Obez-Arbez, nous raconte avec beaucoup de coeur et d'une jolie manière, l'histoire insolite de cette frontière franco-suisse, déplacée au fil du temps, et de la famille Ponthus, qui sut tirer parti durant 33 ans, d'une situation unique. Chapitre : Jean-Baptiste Munier Page : Les bois du Risoux Sous le titre : L'Arbezie.
Le 11/12/2006
Dans la Petite Montagne jurassienne, le long de la vallée du Suran, non loin de Lons le Saunier, on se raconte encore de vieux souvenirs comme celui de la fabrication des allumettes de contrebande. Chapitre : Activités d'antan Page : La contrebande Sous le titre : La fabrication des allumettes de contrebande.
Le 07/12/2006
Il y a trois siècles et demi que la Franche-Comté est française. Elle aurait pu le devenir trois siècles et demi plus tôt, grâce à Jeanne de Bourgogne et à son mariage avec Philippe le Long, le second fils de Philippe le Bel. Chapitre : Jean-Baptiste Munier Page : La société féodale Sous le titre : Jeanne de Bourgogne.
Le 21/11/2006
Le cheval blanc, tantôt paissant aux abords de la source sacrée de la Sène, tantôt galopant, tel Pégase, à la cime de la montagne, est une tradition gauloise. Le Docteur Munier, ancien maire de Foncine le Haut, atteste que le cheval blanc est de notoriété publique, et cela vers 1850. Chapitre : Superstitions Page : Les chevaux de la légende Sous le titre : Le cheval ailé.
Le 16/11/2006
Nos parents et grands parents se souvenaient de l'inondation de 1910. La ferme de Morillon était noyée et isolée. Voici quelques extraits de journaux, relevés par Michel Vernus, qui dépeignent la situation dans le Jura à cette période. Chapitre : Foncine le Bas Page : Les hivers de Foncine Sous le titre : Les inondations de 1910.
Le 12/11/2006
La progression dans un cimetière n'est jamais promenade insouciante, même lorsqu'on n'a pas de tombe familière à visiter. Dès la grille pesante et grinçante, tandis que les pas crissent sur le gravier, l'allure est retenue, la voix se fait moins nuancée. Celui de Saint-Etienne de Coldre qui semble abandonné, est un endroit particulièrement surprenant. Chapitre : Activités d'antan Page : Mariages et funérailles Sous le titre : Saint-Etienne de Coldre.
Le 08/11/2006
Le contrebandier d'allumettes était une figure connue à la campagne. Marguerite Reynier raconte ses souvenirs sur ce trafic clandestin dans son ouvrage "Au beau vieux temps". Chapitre : Activités d'antan Page : La contrebande Sous le titre : La contrebande des allumettes.
Le 28/10/2006
C'est en 1875 que date un exploit accomplit par un de nos concitoyens, Paul Jacquemin, alors âgé de 17 ans. En 1874, aidé par un mécanicien de Lons le Saunier et par le charron Friaglia de Morez, il entreprit de construire une voiture à vapeur. Chapitre : Activités d'antan Page : Les diligences Sous le titre : La naissance de l'automobile.
Le 23/10/2006
Silhouettes insolites, profils surprenants, figures originales : Paul s'est efforcé de dépeindre en quelques traits de plumes certains personnages qu'il a côtoyés à Foncine à l'époque de son enfance. Chapitre : Raconte toi Comtois Page : La vie aux Serettes Sous le titre : Silhouettes insolites.
Le 20/10/2006
Au début du XIXeme siècle, la rue de Foncine le Bas qui va de l'ex boulangerie BARRAS à la poste, était bordée de deux rangées de maisons parallèles et semblables. En 1910, un incendie a détruit complètement les logements côté Galaveau, environ dix familles. Voici le récit qu'a fait de cet incendie un foncinier né en 1904. Chapitre : Villages Page : Foncine le Bas Sous le titre : L'incendie de Foncine le Bas.
Le 05/10/2006
Micheline a retrouvé dans son grenier quelques lettres datées de 1950. Voici quatre extraits de ces lettres qui racontent ce qu'était la neige il y a 50 ans. Chapitre : Villages Page : Foncine le Bas Sous le titre : Les hivers de Foncine.
Le 01/10/2006
Deux livres parus récemment, consacrés, l'un au patrimoine industriel des communes du Jura, l'autre au secteur Grandvaux et Malvaux du parc Régional du Haut-Jura, disent quelques mots sur Foncine le Bas. On y parle de la forge de Joseph Liboz, de la scierie du haut et des lunetteries. Chapitre : Foncine le Bas Page : Les scieries de Foncine le Bas Sous le titre : Le patrimoine de Foncine le Bas.
Le 08/09/2006
Une galerie de photos, noir et blanc, aimablement communiquées par Madame Gaïd Ribault. Page : Photos Sous le titre : Vues anciennes du Jura.
Le 05/09/2006
On assista au XVIIIe siècle, à des progrès considérables qui modifièrent profondément les valeurs de la société. Le développement des routes figurait dans ces évolutions et permit à la société de s'ouvrir aux influences extérieures. Chapitre : Routes et chemins Page : La construction des premières routes de Chapelle des Bois Sous le titre : Sur les routes du XVIIIe siècle.
Le 01/09/2006
Gaïd Ribault, arrière petite fille du Docteur René Chambelland, m'a transmis une copie des cahiers rédigés par son arrière-arrière grand-père, Louis. Il y dépeint avec détails la vie dans nos campagnes entre 1870 et 1890. Voici un extrait, consacré aux jeux que pratiquaient les enfants d'autrefois pour passer le temps en gardant les troupeaux. A suivre, un extrait du livre de Michel Vernus, "Paysans Comtois au XVIIIe siècle", consacré à une tradition comtoise : le jeu de quilles. Page : Activités d'antan Sous le titre : Les jeux d'autrefois.
Le 25/08/2006
Il se nommait Blondeau de Sivori et était de la Norbière. Qui était ce Blondeau avec une particule corse ? Chapitre : Villages Page : Chapelle des Bois Sous le titre : Un corse à la Norbière.
Le 19/08/2006
Au temps de César et Vercingétorix, on admirait déjà la Saine. Antoinette Brenet, collaboratrice de la première heure d'André Berthier, nous le rappelle en se référant à Sénèque dans son livre "Les escargots de Muluccha" consacré aux tribulations, puis au succès de son maître.Voici quelques paragraphes de ce livre qui intéresseront ceux qui aiment la Saine et ses cascades. Chapitre : Rivières Page : La Saine Sous le titre : La Saine il y a 2000 ans.
Le 03/08/2006
Aujourd'hui, une "récolteuse" est capable d'abattre, d'équarrir, de tronconner, 500 arbres par jour. C'est le rendement nécessaire pour rentabiliser le coût de ces machines. Elles ont remplacé les bûcherons tout comme auparavant les tracteurs avaient remplacé les chevaux. Voici un texte qui nous parle d'une époque pas très éloignée et pourtant si différente, où le respect de la nature et le goût du travail bien fait, primaient encore sur le commerce. Chapitre : Raconte toi Comtois Page : La vie aux Serettes Sous le titre : Le travail du bois.
Le 26/07/2006
Toujours au départ de champagnole, un autre itinéraire à nouveau vers la Suisse, à destination de Brienz, pour découvrir le Rothorn, avec le chemin de fer à crémaillère le plus ancien de Suisse, suivi d'une visite du musée suisse de l'habitat rural de Ballenberg et des gorges de l'Aar. Page : Itinéraires Sous le titre : De Champagnole à Brienz (Suisse).
Le 12/07/2006
Au départ de champagnole, un nouvel itinéraire vers la Suisse en direction de Grindelwald, avec un voyage sur les chemins de fer de la Jungfrau jusqu'à la gare la plus haute d'Europe (3454m), puis Zermatt avec une montée, toujours en train, à Gornergrat pour admirer le Cervin au milieu de 29 autres "quatre mille". Page : Itinéraires Sous le titre : De Champagnole à Grindelwald (Suisse).
Le 27/06/2006
Marcel Yerly, personnage hors du commun a passé 45 ans de sa vie à constuire des maquettes en bois. Machines agricoles, locomotives, bateaux, avions, motos et 90 peintures représentant des paysages jurassiens sont rassemblés dans une belle exposition, à Clairvaux. Chapitre : Photos Page : Vieux murs Sous le titre : Des machines à nourrir le monde.
Le 26/06/2006
Quelques lignes à propos de Madeleine Vionnet qui finalement, n'est pas notre cousine. Chapitre : Généalogie Page : Vionnet Sous le titre : Madeleine Vionnet.
Le 09/06/2006
Gaïd Ribault est l'arrière petite fille du Docteur René Chambelland, bien connu dans notre région pour ses études sur l'église et la baronnie de la Chaux des Crotenay. Il était le fils de Louis Chambelland, instituteur, originaire de Bulle. Elle a la gentillesse de me donner une copie des cahiers rédigés par son arrière-arrière grand-père, Louis, qui dépeint avec détails la vie dans nos campagne entre 1870 et 1890. Voici un extrait de ces textes où l'on découvre la vie des bergers et la manière qu'avait le fruitier, de faire les comptes de ses sociétaires, avant l'avènement du carnet. Chapitre : Activités d'antan Page : Mémoire de fruitier Sous le titre : Le lait et les bergers.
Le 23/05/2006
Tout le monde connait Lacuzon. Moins célèbre que lui, un autre patriote comtois se distingua dans la résistance contre Weimar. Né vers 1600 à Mouthe, Claude Cart-Broumet était surnommé "La Plaque", il doit ce surnom à une blessure à la joue qu'il masquait par une plaque de métal. Jean-Baptiste Munier, dans ses "Recherches historiques sur les Foncines" relate quelques uns de ses exploits, en même temps qu'il nous raconte comment les paysans de nos montagnes s'organisaient pour combattre l''ennemi. Chapitre : Routes et chemins Page : Les invasions Sous le titre : Cart Broumet ou La Plaque.
Le 15/05/2006
Un nouveau texte tiré du livre de Pierre Doudier "Foncine le Haut - 1815 - 1980" décrit le tracé compliqué de l'ancien chemin qui reliait les deux Foncines. Les études pour la construction de la nouvelle route commencèrent en 1840, les deux villages furent réunis en 1869. Chapitre : Routes et chemins Page : Les côtes chaudes Sous le titre : La grande route.
Le 15/04/2006
Micheline a passé son enfance à Foncine le Bas, à la ferme des Serrettes. Elle a eu la bonne idée de raconter ses souvenirs d'une jolie manière, dans un recueil de petits textes. Elle a la gentillesse de m'autoriser à en publier quelques uns. Voici pour commencer, 4 souvenirs. Chapitre : Récits Page : Raconte toi Comtois Sous le titre : La vie aux Serettes.
Le 13/04/2006
Le 26 avril 1944, le commandant Foucaud était abattu par les allemands à Saint Georges. Sa fille, madame Michèle MIREBEAU qui a eu connaissance du chapitre consacré sur ce site, à la mort de son père, a bien voulu envoyer une copie de l'allocution prononcée à l'occasion de l'inauguration de la rue du Commandant Foucaud, à Lons le Saunier le 8 mai 1982, ainsi que plusieurs journaux de l'époque qu'elle a conservés. Avec son autorisation et au moment où on va célébrer l'anniversaire de sa mort, je suis heureux de pouvoir rappeler, grâce à elle, qui était le commandant Foucaud et dans quelles conditions il est mort. Chapitre : Entre deux Monts Page : Le maquis Vauthier Sous le titre : Le commandant Foucaud.
Le 29/03/2006
Depuis longtemps la paroisse de Sirod, qui va de Champagnole aux Foncines appartient aux sires de SALINS. C'est Nicolette de Salins qui va, par son mariage avec Simon de Broye de COMMERCY, apporter la Chaux des Crotenay aux COMMERCY. Elle est fille de Hubert IV de Salins et petite fille de Hubert III de Salins qui est mort à Lausanne en revenant de la Croisade de 1147. Le docteur René Chambelland, dans son "historique de la Baronnie de la Chaux des Crotenay", nous explique comment se sont succéder les sires de la Chaux de 1200 jusqu'à la révolution. Chapitre : Chaux des Crotenay Page : Les seigneurs de la Chaux Sous le titre : Les sires de la Chaux de 1200 à la révolution.
Le 24/03/2006
René Favre, membre de la commission du patrimoine de la commune de Massongy (74), a lu "Les Comtois dans la tourmente" du père Doudier, avec d'autant plus d'intérêt que lui aussi fait des recherches sur l'immigration des fonciniers vers son village au cours de la guerre de dix ans. Ce sont quinze familles bourguignonnes, dont beaucoup de Foncine, qui s'y sont réfugiées. Voici ce qu'écrit René Favre. Page : Routes et chemins Sous le titre : Du Haut-Jura au Québec.
Le 13/03/2006
La Vouivre, dont le nom dérive du latin vipera, c'est la fée aux serpents; elle porte un diadème orné d'un rubis fabuleux, qu'elle n'enlève et ne pose que pour se baigner; ceux qui essaient à ce moment de dérober la pierre, sont attaqués et dévorés par des serpents, ou entrainés à tout jamais dans les profondeurs des eaux sombres. Voici deux textes sur cette créature du folklore jurassien. Chapitre : Activités d'antan Page : Superstitions Sous le titre : La Vouivre.
Le 08/03/2006
Qui sait si notre sort actuel, celui de tous les français, et peut-être des autres, n’aurait pas été différent sans le Jura ? Tout au moins sans un brave jurassien, qui le premier entra dans la Bastille le 14 juillet 1789. A lire dans le chapitre "Foncine le Bas", à la page "Révolution", sous le titre "Le héros oublié". Un autre texte toujours tiré des "Mystères du Jura" de Roger Jay, nous raconte quelques unes des nombreuses abbérations de la révolution, dont le Jura ne fut pas épargné. Chapitre : Foncine le Bas Page : La révolution à Foncine Sous le titre : Faux en tout genre.
Le 02/03/2006
"L’eau courante à domicile, l’eau sur l’évier à tous les étages, sont à l’heure actuelle une nécessité de confort moderne. Chacun comprendra le grand intérêt qu’il a à prendre une concession d’eau à sa cuisine, l’hygiène et le bien-être s’en trouveront accrus et toutes les ménagères apprécieront la commodité d’avoir ainsi à leur disposition 15 sceaux d’eau tombant à leur cuisine pour 4 sous par jour". C'est en ces termes que Victor Macle, maire de Foncine le Bas en 1937, cherchait à convaincre ses concitoyens de souscrire un abonnement au service de distribution d’eau potable. Chapitre : Villages Page : Foncine le Bas Sous le titre : L'arrivée de l'eau Courante à Foncine le Bas.
Le 28/02/2006
"le médecin des pauvres" de Xavier de Montepin fut longtemps le livre de chevet de tous les jurassiens. Le Hérisson c'est le domaine de Lacuzon et de ses deux adjoints, le capitaine Varroz et le curé Marquis. Leur refuge c'est l'imaginaire trou des Gangones. Ce fut également dans les environs que le maquis Vauthier demeura en 1944. Voici un extrait du livre de Xavier de Montepin, qui donne une description du lieu qu'ont fréquenté, à 300 ans d'intervalle, deux catégories de résistants à deux envahisseurs aux pratiques barbares identiques. Chapitre : Entre deux Monts Page : Le maquis Vauthier Sous le titre : De Vauthier à Lacuzon.
Le 10/01/2006
Vers la fin du XVIe siècle et jusque bien avant dans le XVIIe, une épidémie singulière se déclara dans cette région âpre et mystérieuse du Haut-Jura qui s'appelle le "Grandvaux" et que les vieilles chartes latines dénomment la vallée maudite, mala vallis. La promenade au clair de lune était alors déconseillée, particulièrement autour du lac des Rouges Truites, où rodaient d'inquiétants personnages. Voici, toujours à la page "Superstitions", un extrait du livre de Noël Amaudru. Chapitre : Activités d'antan Page : Superstitions Sous le titre : Le Grandvaux et ses sorciers.
Le 04/01/2006
Dans le Jura, l'eau est omniprésente sous toutes ses formes : lacs, rivières, cascades. Les sources nombreuses, ont de tous temps joué un rôle dans la vie des hommes. On les considérait comme sacrées dans les anciennes religions, mais elles furent également à l'origine de beaucoup de légendes, puisqu'on y trouve souvent d'étranges animaux venus s'y désaltérer. Voici, tirées des "Mystères du Jura" de Roger JAY, quelques-unes de ces légendes. Chapitre : Activités d'antan Page : Superstitions Sous le titre : Les chevaux de la légende.


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